[VOTRE AVIS] Les fumeurs de joint ont-ils du sang sur les mains ?

Jeudi 6 février, Bruno Retailleau lançait une campagne choc contre l'usage de stupéfiants en ciblant les consommateurs. Le ministre de l'Intérieur assume clairement une campagne de « rupture ». « Je sais que certains vont m’accuser de choquer et je l’assume, car je veux créer un électrochoc », a lancé le locataire de la Place Beauvau, ajoutant qu'il ne s'agit pas d'une campagne de sensibilisation mais de « culpabilisation ». En 2024, 53,5 tonnes de cocaïne ont été saisies (deux fois plus qu’en 2023) et plus de cent personnes sont mortes à cause du trafic. Ce qui fait dire à Bruno Retailleau : « Prendre un joint, c’est avoir du sang sur les mains. » Alors...
#ContreLeNarcotrafic l Chaque jour, des personnes payent le prix de la drogue que vous achetez. pic.twitter.com/QbNAxqW0kU
— Ministère de l'Intérieur (@Interieur_Gouv) February 7, 2025
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95 commentaires
On est deux fois irresponsable quand on se fait un pétard 1/on détruit son cerveau et on fait prendre aux autres des risques graves voire mortels 2/on finance le crime en bandes organisée Et certains finissent même par faire partie de la bande.
100% d’accord avec Retailleau qui tient un langage de vérité et de combat en opposition complète à tout le baratin laxiste, permissif et complaisant de la gauche pétard.
Reste maintenant à gagner la guerre.
SANG SUR LES MAINS
Tout le battage médiatico-politique, – et le verbiage qui en découle-, n’est que le subterfuge habituel, – qui consiste à pousser les hauts cris à tout propos – des truqueurs et des impuissants qui nous gouvernent pour ne pas traiter les sujets.
¤ 1 Pourquoi est-on amené à se droguer ?
¤ 2 Pourquoi les gangs pourvoyeurs de drogue prospèrent-ils, se multiplient-ils ? Quels moyens sont-ils mis en œuvre pour les éradiquer ?
¤ 1 Pourquoi est-on amené à se droguer ? Par lâcheté, par oisiveté, par vanité, par idéologie, par ignorance, par bêtise. Reconnaissons derrière tout cela les magnifiques conséquences de l’esprit « Mai68 » Merci Cohn Bendit et associés.
¤ 2 Pourquoi les gangs pourvoyeurs de drogue prospèrent-ils, se multiplient-ils ? Par ce qu’ON le veut bien. Parce que « certains » qui nous gouvernent ou qui font les Lois trouvent que ce n’est pas si grave que ça qu’eux mêmes s’en sniffent un petit rail pour se donner « un plus » avant le meeting ou se font un joint pour rigoler avec les copains que d’autres pensent que la légalisation résoudrait les problème sans voir qu’ils banaliseraient encore un peu plus l’usage des stupéfiants. Et parce que l’UE est une passoire : « Pétard et Coco sans Frontières »
Quels moyens sont-ils mis en œuvre pour les éradiquer ? Les moyens seront toujours insuffisants. La police ne peut être la solution de tous les problèmes. Ce qui manque le plus, c’est la volonté. Volonté populaire de vie saine. Volonté populaire de vivre libre de toute addiction. Volonté politique sans compromission. Au commencement est le Verbe. Celui de Retailleau va dans la bonne direction.
JOINT SANG SUR LES MAINS
Où l’on ressent bien que, à prendre l’expression au pied de la lettre, le niveau intellectuel est très bas de certains, – toujours les mêmes -. Il ne s’agit que d’une expression pour frapper les esprits, faire prendre conscience du sujet à ceux qui ne le seraient pas encore. Sauf que, CQFD, il n’est plus question, chez certains, que de l’expression et plus du sujet.
Outre la question de l’offre et de la demande (Ou de l’œuf et de la poule) il s’agirait de savoir pourquoi, exactement, certaines personnes, – à part les bobos héritiers de 1968 -, sont portées à se droguer : le sujet n’est jamais mis sur la table. Comme très souvent on ne cherche à traiter les conséquences sans s’occuper des causes.
En parallèle, pourquoi la France est-elle classée parmi les pays qui consomment le plus d’anxiolytiques et d’antidépresseurs ?
Les méthodes de management, le harcèlement organisationnel, la dégradation des conditions de travail (« open space » ?, etc.), stress, chefaillons,- bref la souffrance au travail-, peuvent-elles amener à un besoin de « se sentir mieux » par la drogue ? Est-ce une étape inconsciente similaire au suicide conscient des affaires France Telecom (devenu Orange) et autres Renault, Peugeot, BNP Paribas, IBM, HSBC, La Poste, EDF, Sodexho.
S’il n’y avait que les fumeurs de joints qui aient du sang sur les mains, par procuration, ce serait réduire l’ampleur du désastre et la responsabilité de ceux qui quotidiennement utilisent des drogues illicites et dangereuses et font fructifier une économie parallèle, puissante, sanguinaire et totalitaire, dont l’influence s’étend au sein même de nos institutions de plus en plus gangrenées par la corruption, le trafic d’influence, l’intimidation. Nous sommes dans une situation identique à celle des USA, en bien pire, pendant la période de la prohibition, ou le sang coulait à flot (souvenons nous du Massacre de la St-Valentin 1929 à Chicago), et qui concernait aussi bien les gangsters que ceux qui les faisaient vivre, en achetant et écoulant leur alcool frelaté, au détriment tacite de ceux qui le consommaient, que des gens biens, banquiers ou fabricants d’alcools, comme un certain Monnet Jean, père fondateur de l’Europe, qui fit sa fortune en vendant le Cognac (prohibé) de son papa, aux américains et ensuite, riche et puissant , mis ses jolies petites mains dans la fabrication du machin européen, autre machinerie létale, par procuration.
S’il n’y avait pas de consommateurs, de facto des clients, il n’y aurait pas de lourdes conséquences allant jusqu’aux crimes . Autant coupables que ceux qui fournissent la drogue, qui fournissent des prostitués, qui fournissent des enfants innocents à des prédateurs. Il n »y a pas de causes sans effets et pas d’effets sans les causes. C’est élémentaire, me semble-t-il !?
La loi de l’offre et de la demande est universel, pas de demande pas d’offre. La lutte contre ces empoisonneurs est particulièrement difficile en cause les sommes d’argents en œuvre, Comment supprimer dans certains foyers les revenus des dealers tout en préservant la paix sociale si on réussi a couper ces revenus.
Des règlements de comptes pour
la plupart. Au moins nous n’avons pas à déplorer les morts, sauf quelques victimes. Collaterales.
C’est bien celui qui se drogue qui fait travailler le dealer, ou je me trompe ? Se droguer n’est en aucun cas une obligation et sans aller jusqu’à dire que le drogué a du sang sur les mains, il est bien un peu la source du problème.
Je ne suis pas consommateur car nos parents nous avaient bien mis en garde.
Pour moi c’est le renforcement drastique des peines à l’encontre des dealers, et s’il n’y a pas assez de place en prison appliquer au moins les amendes colossales prévues par la loi !
Je ne comprends pas le laxisme de la justice à ce sujet, c’est l’argent le moteur de la guerre, alors il faut frapper les contrevenants là où ça fait mal…
Pour les consommateurs je ne vois que les amendes (plus modestes) et stages de sensibilisation !
« Je ne comprends pas le laxisme de la justice à ce sujet, » C’est pourtant simple. La justice est soumise aux politiques. Question : combien de consommateurs parmi eux? Question : pourcentage du chiffre d’affaires de la drogue finissant dans l’escarcelle des partis politiques? Tant qu’on n’aura pas mis au jour ces réponses, inutile d’envisager une quelconque lutte contre la drogue.
On ne plaindra pas la maffia qui s’entre-tue en faisant du trafic de drogue! Néanmoins, plus ce trafic est répandu, plus il y a de consommateur et, bizarre, personne ne parle n des morts dus à la drogue (combien par an?) ni des coûts pour la sécurité sociale, qui, comme elle est en déficit, ne soigne même plus ses vieux (cela fait partie des cours dispensés dans les facs de médecine: on ne soigne plus à partir de l’âge de 70 ans)!
Dès que l’on allume un écran on est envahi de pub ou de messages ne buvez pas, ne fumez pas, ne mangez pas trop ne roulez plus et cela continue ils n’ont que cela a faire cette ignoble bande d’escrocs de la politique, emmerder, punir et piller les Français qui travaillent encore pour engraisser toutes ces pourritures d’ici et d’ailleurs.
Pour ce sujet précisément, commencez par nettoyer les hémicycles et autres structures publiques les choses iront déjà beaucoup mieux.
comme toujours, on tape, ou plutôt, auparavant on cherche sur qui on va taper, c’est à dire celui qui ne se rebellera pas lors de l’interpellation verbalisation. Je ne vois pas le petit bourgeois appeler ses potes en cas de descente de police. On connaissait le « taxer les solvables « , on a maintenant punir les désarmés
C’est l’histoire de l’œuf et de la poule : Y a-t-il de la demande parce qu’il y a des dealers ou y a-t-il des dealers parce qu’il y a de la demande ? Est-ce que les buralistes ont du sang sur les mains, qui vendent des produits qui donne le cancer du poumon ? Est que les bistrotiers ont du sang sur les mains, qui vendent des produits qui provoquent des cirrhoses et de delirium ? La prohibition aux états Unis n’a rien changé et, au bout de 13 ans, l’Etat a baissé les bras… Tout est une question d’éducation, et comment voulez vous éduquer des jeunes quand certains de leurs profs se vantent de leur « fumette » et arrivent dans les classes avec des vêtements dont la simple inhalation de l’odeur pousse les élève à se mettre a rigoler sans qu’il sachent pourquoi…
.
Il y a de la demande parce qu’il y a des dealers. Puis, lorsque les gens son t accros, il y a des dealers parce qu’il y a de la demande.
Il n’est pas nouveau que de la drogue circule dans les collèges.
Et le cannabis est fréquent chez les jeunes. Je ne suis pas certaine que ce soit du aux profs (même si je trouve anormal que les profs fument de la drogue)
Or, contrairement à ce qui se dit, c’est le marche pied pour des drogues dures.
Ce sont tous ces politiques qui nous gouvernent ou ont gouverné qui ont du sang sur les mains facile d’accuser les consommateurs pour se dédouaner et rien fait pour enrayer le phénomène bien au contraire