[VOTRE AVIS] Les fumeurs de joint ont-ils du sang sur les mains ?

95 commentaires

1. Les responsables sont tous les politiques qui nous gouvernent depuis 70 ans.
   Ils ont fait de la France un papier buvard à toutes les dérives .
   Honte à eux et ils vont payer dans les urnes..

2. Dans l’océan Atlantique , en regard de notre belle Bretagne il y a une île, on pourrait y stocker un paquet de personnes , sûrement qu’Uvdl n’irait pas y vérifier si les droits de l’homme y sont correctement appliqués…
   Quant aux consommateurs , six mois à casser des cailloux faire des routes ,sous la pluie , la neige , le soleil , lanière de leur donner le temps de réfléchir et pas cher pour notre pauvre Sécu .

3. Disons qu’ils y participent

4. J’ai plus de la soixantaine, et j’ai grandi dans les quartier nords de Marseille: KALLISTE, LA GAVOTTE, LA SOLIDARITE etc..
   J’ai vu les évolutions de ces cités passées de agréables à misérables. Pas à cause du chômage, non. Mais à cause ds trafics. J’ai toujours vécu au milieu de pieds noirs, de blacks, d’arabe, sans avoir connu de mésentente. Mais j’ai aussi vu arriver une autre population, celle des trafics, celle de la violence, celle de l’argent facile, et j’ai vu ces cités dépérir et ses habitants « originelle » fuir (dont ma famille) pour d’autres endroits plus tranquilles, mais pas trop éloignés.
   Puis, dans ma nouvelle cité « calme », j’ai vu arriver ces BMW (dans les années 70/80 ce n’était pas commun) conduites par des jeunes bien vêtus de fringues de marque. Ils sont venus et ont commencé à distribuer gratos des joints, en disant d’y gouter, que c’était de la bonne etc etc. J’ai vu certains de mes potes et de mes connaissances essayer ces nouveaux trucs, GRATOS!! J’ai eu beau l’eur dire que ça n’allait pas le rester, le gratos, mais ils voulaient faire comme les autres.
   Et la lèpre s’est répandue dans ma cité. Comme le gratos ne l’était plus, bien entendu, ils se sont rabattus sur d’autres produits pas cher: la colle, l’essence… Je les ai vus dépérir comme la cité elle même, le nez collé dans le sac plastique ou dans les vapeur d’essence des cyclomoteurs. J’ai vu des jeunes bien dépérir, et je les ai vu prendre le chemin de l’hôpital ^psychiatrique EDOUARD TOULOUSE de Marseille 15, arrondissement.
   Puis je suis parti au service militaire. Dans ma chambrée de 8, j’étais le seul à ne pas fumer. De fait j’étais l’exclu du groupe, mais je m’en foutais, j’avoue. On me tendait un joint, je le prenais et je le passais immédiatement.
   Pourtant j’étais fumeur, l’armée me donnait gratos des paquets de TROUPES (la gauloise quoi..).
   Je n’étais pas un ange, mais je le dis, à plus de 60 ans, je n’ai jamais tiré ne serait ce qu’une goulée (comme on dit dans le sud) de ce produit ou d’un autre, car l’image de quelques potes internés en hôpital psy, m’est toujours restée!
   Et le le dis, ces gens sont responsables de ce qu’ils font. Tu veux toucher à ça ?, fais le, mais assumes le!

   • On dirait ma vie! J’ai le même âge moi j’ai grandi dans le 13eme st just, les oliviers st paul frais vallon ,ai été au lycée nord et même parcours,y compris pour la  » non fumette, » plein de copains d’enfance dcd par l’hero dans les années 80..je n’ai jamais touché à rien..peur de cette déchéance ..je n’avais que ma mère et nous ne roulons pas sur l’or,mais en 1968 il y avait toujours à manger pour mes potes quelque soit leur origine…alors le couplet sur les familles mono parentales,l’égalité des chances et « autres bilevesees ».. très peu pour moi…

   • je m’appelle Domnique Voiney (avec un y), j’avais 17 ans en 1968 et on traînait les bistrots parisiens, mais jamais de ma vie je n’ai fumé de joint, contrairement à ma lointaine cousine (toubib!) . Par contre, la gauloise, oui, un temps, pour y revenir plus tard, une fois enfants préservés/élevés..

5. Je suis un baby boomer, aux yeux d’innombrables personnes, je suis de la génération des amateurs de drogues…
   Vraiment ?
   Je ne fume pas, je n’ai jamais fumé, encore moins je n’ai touché à quelconques drogues, même pas un joint… Quelle chance !
   Cependant, j’ai vu un neveu détruire sa vie, ainsi que celle de ses parents… Handicapé depuis ses 23 ans, à cause de sa consommation de joints puis de drogues en général et même en particulier !
   Fort, si j’ose dire, de cette expérience familiale, je n’éprouve aucun sentiment d’excuses en tous genres, ni ne fais l’effort, envers les amateurs de joints, pire encore pour les drogués évidemment.

   • Je suis exactement dans le même cas que vous : même génération, je n’ai jamais fumé, ni pris de drogue et j’ai un neveu dont la schizophrénie a été déclenchée par la consommation de drogue.
     Les consommateurs de drogue doivent être lourdement sanctionnés : s’il n’y a plus de demande, il n’y aura plus de commerce.
     Certains me rétorquent que les drogués sont des malades : eh bien, on les soigne!

     • Moi aussi j’ai un proche dont la schizophrénie a été déclenchée par le cannabis, il a fini par se jeter du haut de la tour Eiffel et certains voudraient que ce soit en vente libre.

   • Né en 36 j’ai fumé entre 16 et 25 ans. J’ai alors suivi le cours des Nageurs de la Royale. Faute de souffle j’ai failli être recalé et j’ai cessé tout tabac de suite. Merci la Marine !

6. Pour se donner bonne conscience, les fumeurs parlent de pétard « récréatif « . En fait, ce pétard est un bâton de dynamite.

   • Regardez dans les films – même à « grand spectacle » – à quel point la drogue (le joint) passe pour un geste du quotidien.

7. Il y a une cinquante d’années, devant les ravages du tabac, l’Etat a entrepris des campagnes publicitaires de sensibilisation aux méfaits de celui-ci. Cela a eu d’importants effets positifs puisque la consommation de tabac a fortement diminué depuis. Il était même anormal que l’Etat si prompte à se mêler de tout et de rien, ne se soit pas emparer du sujet de la toxicomanie jusqu’ici. Bruno Retailleau se saisit de ce sujet par les deux bouts. Les dealers qu’il a entrepris de pourchasser et les consommateurs avec cette campagne. Je crois qu’il faudra du temps et de la patience et de nombreuses campagnes de pubs. Mais il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre.

   • Tout à fait, mais je trouve que leur nouvelle campagne publicitaire est nulle

     • Comme toutes les autres, les fumeurs rigolent. La vraie solution ? Le prix ! Mais l’Etat est vicieux, c’est par touches annuelles « indolores » qu’il y va !

   • Seule certitude : le coût de ces « récréations » va faire un bond !

   • Comme je le dis plus haut, il faut entreprendre une action prohibitive (comme aux USA)

8. Le mois dernier, j’ai ramassé, c’est le terme exact ,un petit gars de 14 ans qui baignait en plein après midi dans son vomis. Je pense qu’il faut punir les petits Bourges qui se fument un joint en soirée « pour se détendre « mais pour ce petit, que faire? C’est pas une prune ni dix qui vont le sortir de la dépendance.

9. La drogue ruine le mental de la jeunesse, à 15 ans ils ont y ont pratiquement tous touchée, entre des parents séparés et la droguerie pour commencer , ils laissent un boulevard au fondamentalisme musulman qui leur fournit le poison et qui s enrichit, et d un autre coté tous les bobos s en mette aussi plein les narines ,ils sont évidemment aussi des responsables et il faut taper au porte monnaie de manière très forte

10. Bof règlements de compte entre allogènes pour des différents commerciaux.
    Quand on touche le milieu de la drogue ; on doit s’exposer aux inconvénients

    • Oui mais que faites-vous des victimes dites collatérales qui n’ont rien demandé à personne ?

11. Pourquoi pas cette vidéo, même si je doute fortement que cela incite les consommateurs à tête vide à moins se droguer ! Quand aux têtes à capuches qui dealent, c’est perdu d’avance : seul le fric les intéresse, pour se sentir puissant, pour vivre en caïd avec un calibre en se croyant supérieur aux honnêtes citoyens qu'(ils méprisent. Pour ceux-là, la taule est la seule solution pour les calmer (en version Bukele bien entendu).

    • La dechéance de la nationalité française pour les binationaux délinquants devrait être la norme

      • Comment peut-on accepter la notion de binationalité ?

12. C’est leur argent qui finance le terrorisme.

13. En désignant les consommateurs on tente de faire oublier toutes les personnes en amont, et ça fait du monde. Du monde qui beaucoup plus de sang sur les mains et aussi énormément d’argent planqué off-shore mais de ça la campagne évite soigneusement d’en parler, on se demande bien pourquoi.

    • Plus facile de s’en prendre aux consommateurs que d’empêcher le traffic une façon aussi de taxer via des amendes..Encore un clip inutile et coûteux pour faire croire qu’on lutte..mais nous,électeurs ne sommes plus duppes..

    • C’est vrai. Sans offre, il n’y aurait pas de demande. L’État n’a jamais fait le nécessaire pour VRAIMENT stopper le trafic de cocaïne et autres drogues dures, par lâcheté mais aussi par intérêt, celui de l’économie parallèle.

14. Bien sûr : s ‘ il n ‘ y avait pas de consommateurs , il n ‘ y aurait pas de vendeurs ,donc pas de drogue en circulation ; quel est l ‘ intérêt de s ‘ adonner à un vice qui vous fait périr à petits feux , et même parfois , très brutalement ? sans compter les nuisances et autres calamités que les drogués peuvent faire subir aux autres comme on a pu le constater maintes et maintes fois ….

15. Les responsables sont les politiques, principalement de gauche.
    Du temps de la « French Connection », la drogue partait pour les US et pas la France.
    Aujourd’hui la drogue est distribué principalement par la communauté magrébine, et presque en toute quiétude.
    La demande n’est pas déconnectée de l’ambiance anxiogène crée par la mauvaise gestion des gouvernements, donc des politiques qui défilent depuis 81. Ils n’ont jamais rien fait de rééllement contre. Ils nous ont seulement livré aux inepties d’un truc que l’on appelle « Commission européenne » qui nous détruit chaque jour et nous emmène vers un esclavage arabo-musulman.

    • Effectivement, selon la charia , l’usage de drogue est un crime et interdit par le coran.
      Les pays musulmans punissent plus fortement les trafiquants, que les pays occidentaux.

      • Mon Coran, acheté à la Grande Mosquée de Paris en 59, n’y fait nullement allusion.

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