Une adolescente enlevée et violée à Nersac (Charente)

La Charente libre indique que l'affaire est « sous embargo médiatique ».
Brève 1

On apprend par La Charente libre que le 31 janvier dernier, une adolescente de 17 ans qui allait prendre son bus le matin a été enlevée à Nersac (Charente). Emmenée de force dans une voiture par un homme encagoulé, elle a été violée dans un bois, avant de réussir à s’enfuir. L’information a mis dix jours à émerger. « L’affaire est sous embargo médiatique, et ni la mairie ni les autorités n’ont communiqué à ce sujet », écrit La Charente libre, relayée par FdeSouche. La brigade de recherches d’Angoulême mène l’enquête tandis que les habitants de Nersac s’inquiètent pour la sécurité de leurs enfants et que court la rumeur d’une autre agression préalable.

Vos commentaires

61 commentaires

  1. Parmi les membres de ce gvt certains (la liste) est longue sont sur le coup de la justice pour des faits similaires. Alors les silences radio pour ce genre de délits n’ont rien d’étonnant. Ceci explique cela. Il en est de même pour la pseudo éducation sexuelle des marmots. Il les préparent à leur libre utilisation pour plus tard (ils seront formatés) pour assouvir « légalement » leur fantasme. Tout cela est un tout avec le même dénominateur commun.

  2. et une de plus mais chutttt !!!! les journalistes bobos/gauchos mettent l’info sous le tapis heureusement B.V nous informe ,alors partageons pour que tout le monde ait l’info !

  3. C’est curieux l’ensemble de la classe politique semble ignorer ce qui reste selon leur silence qu’un fait divers !
    Courage à toutes celles qui subissent, la caste politique et médiatique vous ignore.

  4. Combien de cas dramatiques comme celui là sont tus par les médias et les politiques de tout bord, c’est
    scandaleux. Je le dis souvent mais il faut aller sur les sites ACTU 17 police & réalités et Fdesousche pour s’informer des réalités quotidiennes .

  5. C’est la routine. On finira bien par s’habituer à ces « incivilités ».
    Douce France, cher pays de mon enfance, qu’es-tu devenue, je ne te reconnais plus…

  6. Il y a des pays qui décident de ce que le peuple a le droit de savoir. Il y a des pays où l’utilisation de certains mots est interdite. Il y a des pays où l’on est effacé des médias pour ses idées. Il y a des pays où l’on ferme des chaînes de TV par le fait du prince.
    J’en connais même un qui a pour devise « liberté, égalité, fraternité ».

  7. Nous avons eu droit au sentiment d’insécurité, au sentiment de laxisme judiciaire, puis au sentiment de submersion migratoire. Aurons-nous droit au sentiment d’embargo médiatique ? J’ai le sentiment que oui.

    • À ce stade, je n’ai plus de sentiments mais une certitude : les dirigeants s’occupent avant tout de leur carrière. Une nouvelle forme de népotisme existe : on place les potes là où ça nous arrange le mieux. Dernier exemple : après Fabius, voilà Ferrand. Dormez tranquilles, bonnes gens, le système est bien verrouillé.
      Notre pays est gangrené, décadent, sur-surendetté.
      À part un coup de grisou, nous sommes fichus.

  8. Une fois l’individu arrêté, l’arrestation sera t’elle elle aussi sous embargo? L’avenir nous le dira. Cela dit, si le violeur est de type caucasien et s’il devait avoir eu des accointances (même ténues) avec l’extrême droite, il n’y aura pas d’embargo! J’en prends le pari!

    • Dans certains pays , asie et pays du golfe , la presse a obligation de donner les détails suivants .
      Âge profession, prénoms et nationalité des mis en cause dans les faits divers

  9. Je n’ai même plus envie de commenter tellement cette chienlit me dégoute. Tous ces médiats de gauche me font vomir.

  10. L’information a mis dix jours à émerger. On ne peut pas en vouloir à la Presse qui a trois cas par jour à traiter…..Alors chacun son tour ! Patience !

  11. Pourquoi un embargo médiatique ? L’agresseur serait une personne connue ? de la ville ou de la région ? Pauvre petite dont on ne peut même pas imaginer la terreur et la souffrance.

    • On cherche probablement à cacher, vainement, tout ce qui peut dénoncer ce qu’est devenu le quotidien des Français, meurtres, attaques au couteau, égorgements, viols, actes de barbarie, viols et meurtres d’enfants, tortures, vols, chantages, incendies, menaces, enlèvements … tout ce qu’on peut imaginer. Tout ce qui transforme notre quotidien en enfer et les responsables de cet enfer, criminels, politiques et magistrats, doivent être dissimulés, cachés, passés sous silence. Cette situation épouvantable a été ramenée à un simple sentiment d’insécurité par un précédent garde des sceaux, il ne s’agit tout bonnement que du délire des Français dotés d’une imagination débordante, un peu dépressifs, peut-être un peu portés sur la bouteille, qui inventent des choses qui n’existent pas, qui fantasment des crimes imaginaires, le tout récupéré par une extrême droite fascisante qui n’hésite pas à user de moyens ignobles pour arriver à ses fins. Et ce n’est près de changer.

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