Police

Le 5 mai, un policier a été abattu par un dealer lors l’un d’un contrôle anti-stupéfiant à Avignon (Vaucluse). Réaction de Michel Thooris, qui dénonce

Ironie du sort, le même jour, Libé bavait en une sur les violences policières…
Tous le savent : ils et elles sont des cibles.
Le mis en cause a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte.

« Le Beauvau de la sécurité » examinera ensuite le problème de la couleur des voitures de police. Transparentes, si possible…
Le commissariat de Sarcelles (Val-d’Oise) a été pris pour cible, jeudi 25 février, dans la soirée, par une trentaine de personnes, relate France Info. Les

Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.

À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».

Selon Le Point, des syndicats policiers sont furieux après avoir appris que l’acteur Omar Sy aurait été invité pour participer au « Beauvau de la sécurité

Souvent accusés de dérapages ou de bavures, les policiers sont régulièrement pointés du doigt dans le débat public et ciblés dans les manifestations. L’association Hors

La France a donc la police qu’elle mérite.
Selon une enquête de l’institut OpinionWay pour 20 Minutes, 47 % des 18–30 ans « n’ont pas confiance » en la police, contre « 33 %
« Cette violence chronique est le résultat de la remise en cause de la légitimité de la police nationale »

Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.

Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Cyril Hemardinquer dénonce la « réinterprétation par l’ultra-gauche et une partie de la caste journalistique » de cette loi qui ne réprimait pas le fait de filmer des
Les policiers de la base pourraient bien créer eux-mêmes la rupture.

Triste journée qui révèle l’étendue des violences qui font le quotidien des policiers.

Aux policiers du XVIIIe,Macro Caesar a annoncé le versement d’une « indemnité spécifique ».

Un dealer a été relâché sur ordre de la Justice après que celle-ci a soupçonné les policiers d’avoir effectué un contrôle au faciès. Selon Michel

Plongée au cœur de la manifestation des policiers, sous les fenêtres du préfet Lallement, et du ras-le-bol des forces de l’ordre qui se sentent abandonnées

alors puisque les fleurs, c’est périssable et les bonbons, c’est tellement bon, les syndicats de police ont entrepris de distribuer ici des glaces, là des sucettes, avec en fond sonore le générique des Bisounours.

Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.

Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.

Le débat est lancé : la police nationale est-elle raciste ? Réaction de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire. « Évidemment, la police n’est

L’un d’entre eux ira même jusqu’à comparer les centres de rétention administrative aux camps de concentration.

Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.

« Il n’est pas étonnant, dans un tel contexte médiatico-politique, que des collègues se fassent tirer dessus à balles réelles. » Michel Thooris réagit au

Le 5 mai, un policier a été abattu par un dealer lors l’un d’un contrôle anti-stupéfiant à Avignon (Vaucluse). Réaction de Michel Thooris, qui dénonce

Ironie du sort, le même jour, Libé bavait en une sur les violences policières…
Tous le savent : ils et elles sont des cibles.
Le mis en cause a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte.

« Le Beauvau de la sécurité » examinera ensuite le problème de la couleur des voitures de police. Transparentes, si possible…
Le commissariat de Sarcelles (Val-d’Oise) a été pris pour cible, jeudi 25 février, dans la soirée, par une trentaine de personnes, relate France Info. Les

Aujourd’hui, plusieurs questions de fond empêchent les policiers de sortir des centres de formation parfaitement préparés à leur futur métier.

À la fois racoleur et fortement médiatique, le spectacle aura au moins l’intérêt de distraire un peu le peuple et de le sortir de sa torpeur « covidesque ».

Selon Le Point, des syndicats policiers sont furieux après avoir appris que l’acteur Omar Sy aurait été invité pour participer au « Beauvau de la sécurité

Souvent accusés de dérapages ou de bavures, les policiers sont régulièrement pointés du doigt dans le débat public et ciblés dans les manifestations. L’association Hors

La France a donc la police qu’elle mérite.
Selon une enquête de l’institut OpinionWay pour 20 Minutes, 47 % des 18–30 ans « n’ont pas confiance » en la police, contre « 33 %
« Cette violence chronique est le résultat de la remise en cause de la légitimité de la police nationale »

Les marges de manœuvres présidentielles à l’occasion de son « Beauvau de la sécurité » seront étroites.

Il est vrai que pour qui veut déstabiliser la police nationale, et donc le pouvoir en place, l’IGPN, à qui il est fait le reproche de protéger les policiers sur lesquels elle est amenée à enquêter, constitue une cible de choix.
Cyril Hemardinquer dénonce la « réinterprétation par l’ultra-gauche et une partie de la caste journalistique » de cette loi qui ne réprimait pas le fait de filmer des
Les policiers de la base pourraient bien créer eux-mêmes la rupture.

Triste journée qui révèle l’étendue des violences qui font le quotidien des policiers.

Aux policiers du XVIIIe,Macro Caesar a annoncé le versement d’une « indemnité spécifique ».

Un dealer a été relâché sur ordre de la Justice après que celle-ci a soupçonné les policiers d’avoir effectué un contrôle au faciès. Selon Michel

Plongée au cœur de la manifestation des policiers, sous les fenêtres du préfet Lallement, et du ras-le-bol des forces de l’ordre qui se sentent abandonnées

alors puisque les fleurs, c’est périssable et les bonbons, c’est tellement bon, les syndicats de police ont entrepris de distribuer ici des glaces, là des sucettes, avec en fond sonore le générique des Bisounours.

Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.

Depuis son arrivée au pouvoir, Macron a davantage abaissé et humilié la France que chacun de ses prédécesseurs. Pire : il la casse.

Le débat est lancé : la police nationale est-elle raciste ? Réaction de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire. « Évidemment, la police n’est

L’un d’entre eux ira même jusqu’à comparer les centres de rétention administrative aux camps de concentration.

Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.

« Il n’est pas étonnant, dans un tel contexte médiatico-politique, que des collègues se fassent tirer dessus à balles réelles. » Michel Thooris réagit au
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