Marine Le Pen

Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?

Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.

La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.

Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.

Marine serait le dernier espoir pour certains là où Zemmour porterait un nouvel espoir pour d’autres.

Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…

En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »

L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.

En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.

Au second tour Marine Le Pen perdrait contre Emmanuel Macron avec 46,50 % contre 53,50 %. Un écart qui se resserre à deux semaines du premier tour.

Il s’agit bien d’une guerre fratricide, dans la mesure où Reconquête!, ne cache plus sa volonté de croître et sur le cadavre des Républicains, et sur les cendres que pourrait laisser une deuxième défaite de Marine Le Pen à l’issue du second tour, face à Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.

La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.

Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.

Très actif, ce conseil des sages. Mais surtout très politique.

« Les maires voudraient bien donner leur signature, mais ils ne veulent pas porter préjudice à leur collectivité », alerte l’eurodéputé RN Philippe Olivier, au

La survie de notre démocratie et peut-être de notre paix civile est entre les mains, non pas de nos parlementaires et du Président, mais dans celles de ces élus de la « proximité » que sont les maires de France. En ont-ils tous bien conscience ?
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.

Lorsqu’il s’agit de la candidate du RN, tout se passe comme si la femme disparaissait devant le nom Le Pen.

Si l’équipe Macron retient sérieusement l’hypothèse d’un second tour face à Éric Zemmour, avant même la publication de ce sondage, c’est qu’elle constitue bien un tournant dans la campagne.
Le candidat Reconquête est donc en bonne position pour accéder au second tour de la présidentielle, pour la première fois depuis l’annonce de sa candidature en novembre dernier.

Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.

Nos deux camps doivent être en mesure de se rassembler pour le deuxième tour de l’élection présidentielle et des élections législatives.

Mieux vaut en rire ! Le titre de notre vidéo hebdomadaire mettant en scène les gaffes et les ratages de nos gouvernants et autres donneurs de leçons n’a jamais été autant d’actualité.

Alors qu’Éric Zemmour et Marine Le Pen s’affrontent par meetings interposés à Lille et à Reims, l’ancien président du FN revient sur son état de

Marine Le Pen, de retour de Reims, a accueilli Boulevard Voltaire à son QG de campagne. L’occasion, pour elle, de revenir sur ses propos polémiques, publiés dans Le Figaro et Causeur.

Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?

Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.

La dynamique est donc là : pour Marine Le Pen, ce n’est pas encore perdu, tandis que pour Emmanuel Macron, c’est désormais loin d’être gagné.

Au second tour, l’écart avec Macron se resserre à 53 % d’intentions de vote, contre 47 % dans le sondage CNews de ce 4 avril. C’est 13 points de plus que ses scores d’il y a cinq ans.

Marine serait le dernier espoir pour certains là où Zemmour porterait un nouvel espoir pour d’autres.

Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…

En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »

L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.

En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.

Au second tour Marine Le Pen perdrait contre Emmanuel Macron avec 46,50 % contre 53,50 %. Un écart qui se resserre à deux semaines du premier tour.

Il s’agit bien d’une guerre fratricide, dans la mesure où Reconquête!, ne cache plus sa volonté de croître et sur le cadavre des Républicains, et sur les cendres que pourrait laisser une deuxième défaite de Marine Le Pen à l’issue du second tour, face à Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron peut se permettre le luxe d’enjamber l’élection et n’a aucun intérêt à initier une mobilisation, qui pourrait se faire à ses dépens.

La CFDT, qui organisait une rencontre avec les différents candidats à la présidentielle, a décidé d’évincer la candidate du Rassemblement national ainsi qu’Éric Zemmour de leur rassemblement.

Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.

Très actif, ce conseil des sages. Mais surtout très politique.

« Les maires voudraient bien donner leur signature, mais ils ne veulent pas porter préjudice à leur collectivité », alerte l’eurodéputé RN Philippe Olivier, au

La survie de notre démocratie et peut-être de notre paix civile est entre les mains, non pas de nos parlementaires et du Président, mais dans celles de ces élus de la « proximité » que sont les maires de France. En ont-ils tous bien conscience ?
S’il y a un mot qu’on entend plus que les autres dans cette campagne, c’est le mot « ralliement ». À l’évidence, trois parcs à éléphants ont des trous dans le grillage.

Lorsqu’il s’agit de la candidate du RN, tout se passe comme si la femme disparaissait devant le nom Le Pen.

Si l’équipe Macron retient sérieusement l’hypothèse d’un second tour face à Éric Zemmour, avant même la publication de ce sondage, c’est qu’elle constitue bien un tournant dans la campagne.
Le candidat Reconquête est donc en bonne position pour accéder au second tour de la présidentielle, pour la première fois depuis l’annonce de sa candidature en novembre dernier.

Combien de fois a-t-on entendu les bonnes consciences qui saturent les antennes publiques se plaindre du machisme dans le milieu politique ? On ne cite jamais, dans ces cas-là, l’exemple de Marine Le Pen.

Nos deux camps doivent être en mesure de se rassembler pour le deuxième tour de l’élection présidentielle et des élections législatives.

Mieux vaut en rire ! Le titre de notre vidéo hebdomadaire mettant en scène les gaffes et les ratages de nos gouvernants et autres donneurs de leçons n’a jamais été autant d’actualité.

Alors qu’Éric Zemmour et Marine Le Pen s’affrontent par meetings interposés à Lille et à Reims, l’ancien président du FN revient sur son état de

Marine Le Pen, de retour de Reims, a accueilli Boulevard Voltaire à son QG de campagne. L’occasion, pour elle, de revenir sur ses propos polémiques, publiés dans Le Figaro et Causeur.
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