Macron

La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.

Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.

Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.

C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.

Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
« La France sort de la crise sanitaire avec une situation des finances publiques parmi les plus dégradées de la zone euro. » Cette attaque en règle

Maintenant que cette affaire commence à se trouver sous les feux de la rampe, nombre de parlementaires montent au créneau.

Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.

La France, après avoir réduit de moitié la délivrance des visas aux ressortissants algériens, a rétabli le flux.

Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…

Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.

Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…

La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.

Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.

Macron aura eu tort, depuis 2017, sur à peu près tout, de l’OTAN aux banlieues en passant par la repentance coloniale ou le mépris de classe. Le Mali n’échappe pas à la règle.

C’est donc une attaque en règle contre la souveraineté des États que l’Union européenne déploie en pleine touffeur estivale, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron.

Il faut ainsi lire avec attention le texte longuement mûri, publié le 17 juillet sur Facebook par le président de la région Rhône-Alpes. On lit derrière l’ambition personnelle de Wauquiez l’influence d’un Zemmour.
On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale.
« La France sort de la crise sanitaire avec une situation des finances publiques parmi les plus dégradées de la zone euro. » Cette attaque en règle

Maintenant que cette affaire commence à se trouver sous les feux de la rampe, nombre de parlementaires montent au créneau.

Cette fois l’exécutif est inquiété par la justice pour la gestion calamiteuse des premiers mois de la pandémie.

La France, après avoir réduit de moitié la délivrance des visas aux ressortissants algériens, a rétabli le flux.

Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…

Faute d’être grand par sa politique, Macron se fait grand par procuration.

Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…
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