Macron

Jamais le déficit de la France n’aura atteint un tel sommet. Merci Macron, l’homme qui signe à tour de bras des chèques largement sans provision.

Il essaime cette idée depuis le début de son premier quinquennat. La France était trop petite pour lui, les Français désespérément limités.

Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…

Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.

Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.

Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.

Dans un entretien choc, Michel Onfray évoque la destruction de la France, la nécessité du Frexit face à l’extension de l’empire maastrichtien et, à travers Macron, « l’avènement d’un genre d’antéchrist politique ».

La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…

La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.

Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Tout y est, toutes les caractéristiques, toutes les ficelles, les petites et les grandes arnaques du régime.

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.

On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.

La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.


Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.

Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.

Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.

Totalement déchaîné, l’homme s’est mis en caleçon et exhorte la foule du haut de son estrade.

Nos lecteurs se préparent à un hiver difficile. La faute à qui ? « Macron a tout fait pour que nous en arrivions là », estime notre lectrice Evelyne Guérin.

Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…

Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,

Jamais le déficit de la France n’aura atteint un tel sommet. Merci Macron, l’homme qui signe à tour de bras des chèques largement sans provision.

Il essaime cette idée depuis le début de son premier quinquennat. La France était trop petite pour lui, les Français désespérément limités.

Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…

Le vrai méchant, dans cette affaire, c’est Fournas. La preuve ? Ceux qui nous dirigent ont cru nécessaire de participer à ce montage éhonté avec ce sens de l’intérêt général, de la vérité et de la mesure qui les caractérise.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Il faut reconnaître que le Président Macron a de quoi être envieux. Alors que la popularité de l’hôte de l’Élysée s’abîme, que son pouvoir vacille à l’Assemblée, le président chinois vient encore de renforcer son autorité, ce dimanche 23 octobre.

Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

Affaibli à l’Assemblée, affaibli dans l’opinion, contesté jusqu’au sein de ses troupes, désormais entouré de deux personnalités inquiétées par la Justice, Macron apparaît ballotté par la bourrasque alors que s’ouvre la session parlementaire.

Pour l’heure, l’avertissement d’Emmanuel Macron provoque les moqueries de l’opposition : « chiche » ,s’amuse Marine Le Pen.

Dans un entretien choc, Michel Onfray évoque la destruction de la France, la nécessité du Frexit face à l’extension de l’empire maastrichtien et, à travers Macron, « l’avènement d’un genre d’antéchrist politique ».

La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…

La joie du président de la République devant les mâts qui défigureront le paysage marin durant des décennies est tout de même troublée.

Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Tout y est, toutes les caractéristiques, toutes les ficelles, les petites et les grandes arnaques du régime.

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.

On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.

La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.


Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.

Notre bon Président tire avec le plus d’habileté possible un épais rideau de mots entre nous, simples citoyens, et ses responsabilités écrasantes dans cette crise.

Il faut désormais entendre le mot défense, non comme on dit « défense de la patrie », mais plutôt comme on dit « défense de fumer ». Un Conseil où on nous défend de faire des choses, faute de pouvoir nous défendre tout court.

Totalement déchaîné, l’homme s’est mis en caleçon et exhorte la foule du haut de son estrade.

Nos lecteurs se préparent à un hiver difficile. La faute à qui ? « Macron a tout fait pour que nous en arrivions là », estime notre lectrice Evelyne Guérin.

Notre Président a donc bien les mains libres en Algérie pour négocier le vrai dossier chaud, celui de l’immigration…

Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
