Emmanuel Macron

Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.

Une guerre contre les virus est une guerre particulière, mais c’est une guerre.

L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

Le lendemain du jour où il a obtenu aux forceps le vote d’une loi prétendue bioéthique qui contient les pires entorses non seulement à la morale chrétienne mais à un fonds anthropologique multimillénaire qu’il est habituel d’appeler la loi naturelle.

Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.

Et le vaccin contre la trouille ? Faudrait peut-être le mettre en chantier, lui aussi !

Emmanuel Macron laissera, à ce rythme, l’image du Président le plus brutal de la Ve République…
La visite présidentielle a été vue par certains comme du « racolage électoral » à huit mois de l’élection présidentielle.

Dans cette déclaration du président de la République, faite sur la route du Tour de France dans les Pyrénées, le mot « cynisme » est employé. Celui qui dit qui l’est.

Le Président est l’un des premiers responsables de cette inflation langagière lorsqu’il assure, à propos de l’épidémie : « Nous sommes en guerre ! »


La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.

Que demander de plus ? Une pression, peut-être…

Cette politique migratoire est à l’image du chef de l’État : quand un sujet le gêne, il est apparemment ferme dans ses déclarations, mais fluctuant, tiède, voire pleutre dans ses actes.

D’abord, pourquoi sur fond de tour Eiffel ? On n’avait jamais vu ça.


L’Union européenne sombre de plus en plus dans une crise structurelle, mais Emmanuel Macron continue plus que jamais à croire dans l’avenir de cette organisation

Les Français sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !

Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…

La gifle infligée à Emmanuel Macron est un geste condamnable. Néanmoins, la désacralisation de sa fonction a contribué au passage à l’acte.

Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…

Dès le début du quinquennat, à chaque poussée de fièvre (et c’est d’ailleurs le mot qui résumera ce mandat), Emmanuel Macron sombre dans cette dérive.

En parlant ainsi de « sentiment d’insécurité », Emmanuel Macron pense montrer aux Français qu’il partage leurs inquiétudes, quand il ne fait que preuve d’une cécité coupable.

Bref, Emmanuel Macron nous fait son Chirac mâtiné de Mitterrand, entre clins d’œil appuyés aux jolies crémières et grandes phrases creuses prononcées d’un ton pénétré.

Le poids de son bilan, l’altération de son image et l’impossibilité de se reposer sur son propre mouvement, dont la légitimité est inexistante après quatre années d’apathie, le mettent au pied du mur.

Voilà en effet des décennies que nous sommes gouvernés par des pis-aller… en attendant, sans doute, un candidat providentiel, c’est-à-dire un miracle.

La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.

Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.

Une guerre contre les virus est une guerre particulière, mais c’est une guerre.

L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

Le lendemain du jour où il a obtenu aux forceps le vote d’une loi prétendue bioéthique qui contient les pires entorses non seulement à la morale chrétienne mais à un fonds anthropologique multimillénaire qu’il est habituel d’appeler la loi naturelle.

Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.

Et le vaccin contre la trouille ? Faudrait peut-être le mettre en chantier, lui aussi !

Emmanuel Macron laissera, à ce rythme, l’image du Président le plus brutal de la Ve République…
La visite présidentielle a été vue par certains comme du « racolage électoral » à huit mois de l’élection présidentielle.

Dans cette déclaration du président de la République, faite sur la route du Tour de France dans les Pyrénées, le mot « cynisme » est employé. Celui qui dit qui l’est.

Le Président est l’un des premiers responsables de cette inflation langagière lorsqu’il assure, à propos de l’épidémie : « Nous sommes en guerre ! »


La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.

Que demander de plus ? Une pression, peut-être…

Cette politique migratoire est à l’image du chef de l’État : quand un sujet le gêne, il est apparemment ferme dans ses déclarations, mais fluctuant, tiède, voire pleutre dans ses actes.

D’abord, pourquoi sur fond de tour Eiffel ? On n’avait jamais vu ça.


L’Union européenne sombre de plus en plus dans une crise structurelle, mais Emmanuel Macron continue plus que jamais à croire dans l’avenir de cette organisation

Les Français sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !

Il est vrai que l’actuelle alliance de fait russo-chinoise, singulièrement déséquilibrée aux dépens de Moscou, n’a pu prendre corps que par l’incurie d’une administration américaine en proie à un tropisme antirusse remontant aux heures de l’URSS…

La gifle infligée à Emmanuel Macron est un geste condamnable. Néanmoins, la désacralisation de sa fonction a contribué au passage à l’acte.

Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…

Dès le début du quinquennat, à chaque poussée de fièvre (et c’est d’ailleurs le mot qui résumera ce mandat), Emmanuel Macron sombre dans cette dérive.

En parlant ainsi de « sentiment d’insécurité », Emmanuel Macron pense montrer aux Français qu’il partage leurs inquiétudes, quand il ne fait que preuve d’une cécité coupable.

Bref, Emmanuel Macron nous fait son Chirac mâtiné de Mitterrand, entre clins d’œil appuyés aux jolies crémières et grandes phrases creuses prononcées d’un ton pénétré.

Le poids de son bilan, l’altération de son image et l’impossibilité de se reposer sur son propre mouvement, dont la légitimité est inexistante après quatre années d’apathie, le mettent au pied du mur.

Voilà en effet des décennies que nous sommes gouvernés par des pis-aller… en attendant, sans doute, un candidat providentiel, c’est-à-dire un miracle.

La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.
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