Emmanuel Macron

Plus gardiens de squares que policiers, ce sont ainsi des centaines d’agents qui, à cause des choix idéologiques de leurs élus, ne contribueront que de très loin à la sécurité publique.
Interrogée par BFM TV, Justyna, la militante a, quant à elle, argué que le Président ne devrait pas utiliser de mots pareils.
Le budget de la police devrait être augmenté de 15 milliards d’euros sur cinq ans…

Par ce geste, le frondeur souhaite interpeller la préfète…

« On peut passer à autre chose, maintenant ? L’élection présidentielle à venir, par exemple. Les errances de ce gouvernement concernant différents thèmes : sécurité, économie, santé, culture, etc. Refusez l’élection covidentielle ! »

Pour Eric Revel, « le drapeau du « En même temps » a hystérisé la société française ».

À côté de l’hystérisation macronienne, tant de sagesse et de prudence rassure. Mais qu’un Premier ministre belge en poste depuis un an seulement fasse la leçon au Président français au début de sa présidence du Conseil de l’Union est tout de même humiliant.

« Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, donc on va continuer à le faire », a déclaré Emmanuel Macron au Parisien. Ces propos

Vous allez me dire que Macron n’a pas osé dire : « On va emmerder les non-vaccinés car tel est mon bon plaisir. »

Conclusion partielle du raisonnement : refuser un vaccin non obligatoire, c’est donc plus grave que d’assassiner des Français ? Plus grave que d’appeler au meurtre en chanson ? Plus grave que de violer, de piller, de saccager ce qui reste de notre cher beau pays ?

Dire que lorsque François Hollande est parti, on a dit qu’au moins, Emmanuel Macron habiterait la fonction…

Il est donc attendu en direct de Bruxelles sur le sujet, nonobstant la campagne tricolore du candidat non déclaré…

Par ces mots, vous divisez les Français et pour cela vous serez jugé responsable !

Dans ce long entretien accordé à nos confrères du Parisien, il y a autrement plus intéressant : sa vision de l’Europe, par exemple.

Il y a le niveau de langage incompatible avec la fonction ; il y a le mépris et l’arrogance, des marqueurs de ce mandat ; il y a l’atteinte au devoir constitutionnel de maintenir l’unité de la nation.

Le Covid aura été la chance inespérée, la bouée offerte au successeur et ancien collaborateur de Hollande : il en a saisi l’occasion avec délices.

Aucun habillage cosmétique n’y fera rien : la brutalité de cette phrase décomplexée est prodigieusement inquiétante.

Une courte phrase au sujet de l’islamisme et de l’insécurité (169 mots, 1,4 % de son propos) était bien là pour nous rassurer de la profonde conscience qu’il a de nos maux…

Toute la question est de savoir si les Français préféreront rester dans ce monde Potemkine covidé dans lequel nous maintient Emmanuel Macron…
Malgré ce retrait, la polémique n’est pas terminée.

Ce qu’il y avait de choquant dans cette image, c’était la disparition du drapeau français : les deux ne pouvaient-ils pas coexister, comme dans nos mairies ? Non : l’un remplaçait l’autre.

Comme si la France préférait vivre dans le ressentiment plutôt que de tourner la page – comme font beaucoup de Britanniques anciennement anti-Brexit -, et d’essayer de reconstruire des relations de bon voisinage.

Au passage, il a tout de même trouvé le temps de nous souhaiter une bonne année. Cette dernière commence mal.

Même s’il en rêvait et en rêve sans doute encore, Emmanuel Macron ne sera donc pas le « président de l’Europe », titre qui n’existe pas, mais seulement le brasseur d’idées à soumettre à ses alter ego…

First of all, bien évidemment, la reine Élisabeth. La plus ancienne en fonction en Europe…

Ce tweet nous indique l’axe de campagne prévisible du Président-candidat : imprimer dans les esprits l’idée qu’il a tout réussi, tout surmonté, dépassé tous les obstacles, et que ces obstacles étaient grands.

Joyeux Noël à nos soldats, loin de chez eux, qui portent les couleurs de la France…

Valérie Pécresse à l’Élysée serait un nouveau Macron avec des victoires électorales !

Plus gardiens de squares que policiers, ce sont ainsi des centaines d’agents qui, à cause des choix idéologiques de leurs élus, ne contribueront que de très loin à la sécurité publique.
Interrogée par BFM TV, Justyna, la militante a, quant à elle, argué que le Président ne devrait pas utiliser de mots pareils.
Le budget de la police devrait être augmenté de 15 milliards d’euros sur cinq ans…

Par ce geste, le frondeur souhaite interpeller la préfète…

« On peut passer à autre chose, maintenant ? L’élection présidentielle à venir, par exemple. Les errances de ce gouvernement concernant différents thèmes : sécurité, économie, santé, culture, etc. Refusez l’élection covidentielle ! »

Pour Eric Revel, « le drapeau du « En même temps » a hystérisé la société française ».

À côté de l’hystérisation macronienne, tant de sagesse et de prudence rassure. Mais qu’un Premier ministre belge en poste depuis un an seulement fasse la leçon au Président français au début de sa présidence du Conseil de l’Union est tout de même humiliant.

« Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, donc on va continuer à le faire », a déclaré Emmanuel Macron au Parisien. Ces propos

Vous allez me dire que Macron n’a pas osé dire : « On va emmerder les non-vaccinés car tel est mon bon plaisir. »

Conclusion partielle du raisonnement : refuser un vaccin non obligatoire, c’est donc plus grave que d’assassiner des Français ? Plus grave que d’appeler au meurtre en chanson ? Plus grave que de violer, de piller, de saccager ce qui reste de notre cher beau pays ?

Dire que lorsque François Hollande est parti, on a dit qu’au moins, Emmanuel Macron habiterait la fonction…

Il est donc attendu en direct de Bruxelles sur le sujet, nonobstant la campagne tricolore du candidat non déclaré…

Par ces mots, vous divisez les Français et pour cela vous serez jugé responsable !

Dans ce long entretien accordé à nos confrères du Parisien, il y a autrement plus intéressant : sa vision de l’Europe, par exemple.

Il y a le niveau de langage incompatible avec la fonction ; il y a le mépris et l’arrogance, des marqueurs de ce mandat ; il y a l’atteinte au devoir constitutionnel de maintenir l’unité de la nation.

Le Covid aura été la chance inespérée, la bouée offerte au successeur et ancien collaborateur de Hollande : il en a saisi l’occasion avec délices.

Aucun habillage cosmétique n’y fera rien : la brutalité de cette phrase décomplexée est prodigieusement inquiétante.

Une courte phrase au sujet de l’islamisme et de l’insécurité (169 mots, 1,4 % de son propos) était bien là pour nous rassurer de la profonde conscience qu’il a de nos maux…

Toute la question est de savoir si les Français préféreront rester dans ce monde Potemkine covidé dans lequel nous maintient Emmanuel Macron…
Malgré ce retrait, la polémique n’est pas terminée.

Ce qu’il y avait de choquant dans cette image, c’était la disparition du drapeau français : les deux ne pouvaient-ils pas coexister, comme dans nos mairies ? Non : l’un remplaçait l’autre.

Comme si la France préférait vivre dans le ressentiment plutôt que de tourner la page – comme font beaucoup de Britanniques anciennement anti-Brexit -, et d’essayer de reconstruire des relations de bon voisinage.

Au passage, il a tout de même trouvé le temps de nous souhaiter une bonne année. Cette dernière commence mal.

Même s’il en rêvait et en rêve sans doute encore, Emmanuel Macron ne sera donc pas le « président de l’Europe », titre qui n’existe pas, mais seulement le brasseur d’idées à soumettre à ses alter ego…

First of all, bien évidemment, la reine Élisabeth. La plus ancienne en fonction en Europe…

Ce tweet nous indique l’axe de campagne prévisible du Président-candidat : imprimer dans les esprits l’idée qu’il a tout réussi, tout surmonté, dépassé tous les obstacles, et que ces obstacles étaient grands.

Joyeux Noël à nos soldats, loin de chez eux, qui portent les couleurs de la France…

Valérie Pécresse à l’Élysée serait un nouveau Macron avec des victoires électorales !
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