Emmanuel Macron

Bilan du Président élu pour regonfler l’économie française : 44 % des Français considèrent que leur situation économique personnelle s’est détériorée sous son mandat.

Tout déconstruire, tout détruire. Pourquoi faire compliqué ?

Les propositions présentées ne sont en aucune manière représentatives du programme du futur candidat, mais servent plutôt à l’influencer. On en frémit !

Fazende a apprécié notre franchise dans l’affaire du général de La Chesnais. « Bravo à Boulevard Voltaire de « passer l’info ». Cela vous honore et oriente de plus en plus nos réflexions vers un constat effroyable : la France est sous dictature ! »

Pause momentanée ? Les deux chefs d’État semblent d’accord pour la poursuite d’un dialogue qui concerne avant tout l’Europe. À Macron de convaincre ses partenaires européens que c’est bien leur problème, plus que celui des Américains…
Le président du groupe LR à l’Assemblée nationale Damien Abad a, en effet, posté un véritable panégyrique à l’endroit de la candidate LR, la comparant à Simone Veil, Christine Lagarde et Joséphine Baker.

L’équipe de campagne n’a pas encore fait savoir si ce « Avec vous » serait accompagné d’un astérisque renvoyant à la liste des Français exclus de cette belle solidarité.
Une élection est une affaire de chiffres, mais aussi de psychologie et de dynamique : pour Emmanuel Macron, janvier s’achève aussi mal qu’il a commencé.

Il faut revenir à des déclarations plus anciennes d’Emmanuel Macron pour comprendre qu’au-delà du calcul électoral, il y a un vrai projet idéologique.

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Le feu qui crépite dans la cheminée du petit salon, le vaisselier antique et ciré de la veille dans la salle à manger…

Il n’est pas glorieux pour le Président en exercice d’instrumentaliser à son profit la douleur des rapatriés qui ont subi ces événements.

En 2022, on compte sur l’imagination débordante d’Emmanuel Macron pour nous surprendre.

Car en même temps, le Président sortant, promis en tête de gondole au premier tour de la prochaine élection présidentielle, connaît une forte baisse de popularité.

Le socle électoral d’Emmanuel Macron commence-t-il à se fendiller ? A moins de 90 jours du premier tour, un sondage et deux mauvaises nouvelles menacent la course à l’Elysée du président de la République.

Il semblerait que pour Emmanuel Macron aussi, ça commence à patiner dur…

Dès que des clarifications et des leaderships se dessineront à droite et à gauche, les choses bougeront.

Désormais, Marine Le Pen fait quasiment jeu égal avec Valérie Pécresse dans les intentions de vote de ce second tour.

Paradoxal de préconiser, pour un continent vieillissant qui crève de ne pas avoir d’enfants au point que ses gouvernants, comme en Allemagne, se disent forcés d’importer ceux des autres, une mesure favorisant toujours moins de natalité.

Quelle naïveté ! Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille.

Ces élections auront-elles lieu dans des conditions normales ? C’est votre interrogation principale et elle en dit long sur le climat qui règne en France après cinq ans de pouvoir d’Emmanuel Macron. Car la confiance ne se décrète pas, elle se mérite.

L’entrée en campagne d’Emmanuel Macron lui-même pourrait jouer en faveur d’une remobilisation des électorats de ses concurrents : il n’est actuellement si haut que par la grâce de cette abstention forte, mais il a certainement fait le plein de ses soutiens.

L’enquête mensuelle Elabe, publiée le 13 janvier dans Les Échos, mentionne un décrochage de 4 points en janvier de la cote de confiance d’Emmanuel Macron.

Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?

L’opinion semble se déconfiner et demander des comptes sur les absurdités, les contradictions et l’instrumentalisation de la crise à des fins politiques.

Il nous aura tout fait : tous les genres, tous les styles.

Ses déclarations sur son désir d’emmerder les non-vaccinés s’inscrivent donc dans la continuité de la stratégie qu’il développe depuis six mois.

Entre 35.000 et 40.000 élus sur 42.000 refusent de donner leur signature aux candidats à la présidentielle. Ils évoquent mille raisons mais, au fond, ils n’en ont qu’une : ils ont peur.

Bilan du Président élu pour regonfler l’économie française : 44 % des Français considèrent que leur situation économique personnelle s’est détériorée sous son mandat.

Tout déconstruire, tout détruire. Pourquoi faire compliqué ?

Les propositions présentées ne sont en aucune manière représentatives du programme du futur candidat, mais servent plutôt à l’influencer. On en frémit !

Fazende a apprécié notre franchise dans l’affaire du général de La Chesnais. « Bravo à Boulevard Voltaire de « passer l’info ». Cela vous honore et oriente de plus en plus nos réflexions vers un constat effroyable : la France est sous dictature ! »

Pause momentanée ? Les deux chefs d’État semblent d’accord pour la poursuite d’un dialogue qui concerne avant tout l’Europe. À Macron de convaincre ses partenaires européens que c’est bien leur problème, plus que celui des Américains…
Le président du groupe LR à l’Assemblée nationale Damien Abad a, en effet, posté un véritable panégyrique à l’endroit de la candidate LR, la comparant à Simone Veil, Christine Lagarde et Joséphine Baker.

L’équipe de campagne n’a pas encore fait savoir si ce « Avec vous » serait accompagné d’un astérisque renvoyant à la liste des Français exclus de cette belle solidarité.
Une élection est une affaire de chiffres, mais aussi de psychologie et de dynamique : pour Emmanuel Macron, janvier s’achève aussi mal qu’il a commencé.

Il faut revenir à des déclarations plus anciennes d’Emmanuel Macron pour comprendre qu’au-delà du calcul électoral, il y a un vrai projet idéologique.

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Le feu qui crépite dans la cheminée du petit salon, le vaisselier antique et ciré de la veille dans la salle à manger…

Il n’est pas glorieux pour le Président en exercice d’instrumentaliser à son profit la douleur des rapatriés qui ont subi ces événements.

En 2022, on compte sur l’imagination débordante d’Emmanuel Macron pour nous surprendre.

Car en même temps, le Président sortant, promis en tête de gondole au premier tour de la prochaine élection présidentielle, connaît une forte baisse de popularité.

Le socle électoral d’Emmanuel Macron commence-t-il à se fendiller ? A moins de 90 jours du premier tour, un sondage et deux mauvaises nouvelles menacent la course à l’Elysée du président de la République.

Il semblerait que pour Emmanuel Macron aussi, ça commence à patiner dur…

Dès que des clarifications et des leaderships se dessineront à droite et à gauche, les choses bougeront.

Désormais, Marine Le Pen fait quasiment jeu égal avec Valérie Pécresse dans les intentions de vote de ce second tour.

Paradoxal de préconiser, pour un continent vieillissant qui crève de ne pas avoir d’enfants au point que ses gouvernants, comme en Allemagne, se disent forcés d’importer ceux des autres, une mesure favorisant toujours moins de natalité.

Quelle naïveté ! Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille.

Ces élections auront-elles lieu dans des conditions normales ? C’est votre interrogation principale et elle en dit long sur le climat qui règne en France après cinq ans de pouvoir d’Emmanuel Macron. Car la confiance ne se décrète pas, elle se mérite.

L’entrée en campagne d’Emmanuel Macron lui-même pourrait jouer en faveur d’une remobilisation des électorats de ses concurrents : il n’est actuellement si haut que par la grâce de cette abstention forte, mais il a certainement fait le plein de ses soutiens.

L’enquête mensuelle Elabe, publiée le 13 janvier dans Les Échos, mentionne un décrochage de 4 points en janvier de la cote de confiance d’Emmanuel Macron.

Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?

L’opinion semble se déconfiner et demander des comptes sur les absurdités, les contradictions et l’instrumentalisation de la crise à des fins politiques.

Il nous aura tout fait : tous les genres, tous les styles.

Ses déclarations sur son désir d’emmerder les non-vaccinés s’inscrivent donc dans la continuité de la stratégie qu’il développe depuis six mois.

Entre 35.000 et 40.000 élus sur 42.000 refusent de donner leur signature aux candidats à la présidentielle. Ils évoquent mille raisons mais, au fond, ils n’en ont qu’une : ils ont peur.
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