Emmanuel Macron

Et, bien sûr, le contribuable français qui a brutalement découvert l’état déplorable de son système de soin lors de la crise du Covid-19 sera tenu de financer encore un peu plus les nouvelles « avancées sociétales » en vue.

Peu importe la réalité, ce qui compte, c’est l’image que vous allez en donner. Et l’une des meilleures techniques pour modifier la perception de la réalité du client sans en avoir l’air, c’est de lui raconter une belle histoire. Le storytelling.

Rien de mieux que ce thème à la fois grandiose et utilisé d’une manière si creuse pour servir le show macronien, jupitérien et en même temps humble, digne et en même temps ému aux larmes…

Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.

Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.

Il est réélu grâce à une majorité hétéroclite de rencontres, animée par des objectifs antagonistes que le fameux « en même temps macronien » ne pourra pas concilier !

Les élections législatives doivent permettre au parti de Marine Le Pen de constituer un groupe solide à l’Assemblée nationale entre LFI et LREM.

Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.

En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…

C’est reparti pour cinq ans. Il va falloir tenir. Nous vous proposons cinq bonnes résolutions pour résister.

Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.

On ne fera pas que mourir sur commande et travailler jusqu’à 65 ans, sous Macron II…

L’évêque de Bayonne revient, pour Boulevard Voltaire, sur le quinquennat d’Emmanuel Macron, mais également sur les prises de position de certains membres du clergé en

Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.

C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.

Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.

Julien Odoul se dit satisfait de la grande sérénité affichée par Marine Le Pen lors de ce débat.

Un sujet est absent du débat, que beaucoup d’internautes attendaient, notamment au moment où Emmanuel Macron parlait des emprunts de Marine Le Pen auprès d’une banque russe, c’est l’affaire McKinsey.

Une telle réunion est-elle légale ? Paradoxalement, elle pourrait contrevenir à la loi confortant les principes de la République, anciennement loi contre le séparatisme.

Les acteurs sont les mêmes qu’il y a cinq ans, mais le film risque d’être très différent.

« Si Marine Le Pen est élue le 24, c’est une option à prendre en compte, ce sera la faute de qui ? » Le presque élu manque tomber de son fauteuil. « Ben, des Françaises et des Français. » Ah ah. Pas des Allemands ou des Anglais.

L’Église ne sait manifestement plus trop à quel saint se vouer et pour qui appeler à voter.

Alors que le deuxième tour approche, de nombreux électeurs de droite s’apprêtent à voter pour le Président-candidat. Au moment d’entrer dans l’isoloir, peut-être devraient-ils se demander si, tout comme lui, ils voient en Marseille l’avenir de la France ?

Il théorise le flottement comme mode d’action, l’opportunisme comme ambition, l’échine souple comme ligne politique. Cet homme-là, on le sait maintenant, n’a aucune réelle conviction.

« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une

Emmanuel Macron réélu, le pays ne se relèvera jamais de dix ans, que dis-je, de quinze années (depuis François Hollande) de destruction de notre modèle culturel, social, de nos valeurs et de tout ce qui fait France.

En 2017 il n’y avait eu que 10 % des électeurs de Mélenchon à avoir voté Le Pen; s’ils sont 21 % le 24 avril, les lignes pourraient bouger.

Et, bien sûr, le contribuable français qui a brutalement découvert l’état déplorable de son système de soin lors de la crise du Covid-19 sera tenu de financer encore un peu plus les nouvelles « avancées sociétales » en vue.

Peu importe la réalité, ce qui compte, c’est l’image que vous allez en donner. Et l’une des meilleures techniques pour modifier la perception de la réalité du client sans en avoir l’air, c’est de lui raconter une belle histoire. Le storytelling.

Rien de mieux que ce thème à la fois grandiose et utilisé d’une manière si creuse pour servir le show macronien, jupitérien et en même temps humble, digne et en même temps ému aux larmes…

Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.

Le score réalisé par Emmanuel Macron au soir de ce second tour est plus que jamais la concrétisation de la fracture béante qui divise la France en deux.

Il est réélu grâce à une majorité hétéroclite de rencontres, animée par des objectifs antagonistes que le fameux « en même temps macronien » ne pourra pas concilier !

Les élections législatives doivent permettre au parti de Marine Le Pen de constituer un groupe solide à l’Assemblée nationale entre LFI et LREM.

Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.

En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…

C’est reparti pour cinq ans. Il va falloir tenir. Nous vous proposons cinq bonnes résolutions pour résister.

Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.

On ne fera pas que mourir sur commande et travailler jusqu’à 65 ans, sous Macron II…

L’évêque de Bayonne revient, pour Boulevard Voltaire, sur le quinquennat d’Emmanuel Macron, mais également sur les prises de position de certains membres du clergé en

Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.

C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.

Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.

Julien Odoul se dit satisfait de la grande sérénité affichée par Marine Le Pen lors de ce débat.

Un sujet est absent du débat, que beaucoup d’internautes attendaient, notamment au moment où Emmanuel Macron parlait des emprunts de Marine Le Pen auprès d’une banque russe, c’est l’affaire McKinsey.

Une telle réunion est-elle légale ? Paradoxalement, elle pourrait contrevenir à la loi confortant les principes de la République, anciennement loi contre le séparatisme.

Les acteurs sont les mêmes qu’il y a cinq ans, mais le film risque d’être très différent.

« Si Marine Le Pen est élue le 24, c’est une option à prendre en compte, ce sera la faute de qui ? » Le presque élu manque tomber de son fauteuil. « Ben, des Françaises et des Français. » Ah ah. Pas des Allemands ou des Anglais.

L’Église ne sait manifestement plus trop à quel saint se vouer et pour qui appeler à voter.

Alors que le deuxième tour approche, de nombreux électeurs de droite s’apprêtent à voter pour le Président-candidat. Au moment d’entrer dans l’isoloir, peut-être devraient-ils se demander si, tout comme lui, ils voient en Marseille l’avenir de la France ?

Il théorise le flottement comme mode d’action, l’opportunisme comme ambition, l’échine souple comme ligne politique. Cet homme-là, on le sait maintenant, n’a aucune réelle conviction.

« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une

Emmanuel Macron réélu, le pays ne se relèvera jamais de dix ans, que dis-je, de quinze années (depuis François Hollande) de destruction de notre modèle culturel, social, de nos valeurs et de tout ce qui fait France.

En 2017 il n’y avait eu que 10 % des électeurs de Mélenchon à avoir voté Le Pen; s’ils sont 21 % le 24 avril, les lignes pourraient bouger.
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