Édouard Philippe

Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
Finalement, Macron n’a rien à apprendre de Bouteflika !

Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…

Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.

Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.

Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.

Arrive donc l’heure du bâton, et le père Fouettard s’appelle Édouard Philippe. Mieux vaut, en effet, que ce soit un « républicain » renégat plutôt qu’un socialiste.

Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.

Pour Boulevard Voltaire, Xavier Raufer commente les annonces destinées à durcir les sanctions contre les casseurs annoncées par Édouard Philippe. Entre autres hypothèses évoquées par
L’acte VIII des gilets jaunes, samedi dernier, a été une nouvelle fois émaillé d’incidents : à en croire les images de l’ex-boxeur Christophe Dettinger et

On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »

Quelques millions d’écriture à déchiffrer par un ordinateur qui, comme les boules du Loto, sortira par magie les dix propositions les plus populaires.

La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !

Ooouuuuhhhhhhh, attention, sujet dangereux ! Pâmoison des syndicats et des partenaires sociaux, frissons dans les rangs de la majorité, urticaire dans l’opposition…

Le gouvernement possède-t-il des informations sûres ? Joue-t-il la dramatisation pour dissuader les manifestants de se rendre à Paris et dégager sa responsabilité au cas où se produiraient vraiment des incidents tragiques ?

Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…

La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
Pas certain, cependant, que cela ne suffise à éteindre l’incendie allumé par Emmanuel Macron…

Le général de Villiers bénéficie d’une autre stature qu’Édouard Philippe pour incarner la fonction de Premier ministre de la France.

Le départ d’Édouard Philippe n’est plus, maintenant, qu’une question de temps : avant ou après Noël ?

« Honte » peut-être, mais le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, pour ce qui les concerne, peuvent-ils se féliciter de l’image qu’ils ont donnée et de la posture qu’ils ont adoptée ?

En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…

Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.

Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?

Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.

Il aurait voulu insinuer dans les esprits que le christianisme, notamment le catholicisme, est responsable de l’antisémitisme qu’il ne s’y serait pas pris autrement.

Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
Finalement, Macron n’a rien à apprendre de Bouteflika !

Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…

Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.

Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.

Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.

Arrive donc l’heure du bâton, et le père Fouettard s’appelle Édouard Philippe. Mieux vaut, en effet, que ce soit un « républicain » renégat plutôt qu’un socialiste.

Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.

Pour Boulevard Voltaire, Xavier Raufer commente les annonces destinées à durcir les sanctions contre les casseurs annoncées par Édouard Philippe. Entre autres hypothèses évoquées par
L’acte VIII des gilets jaunes, samedi dernier, a été une nouvelle fois émaillé d’incidents : à en croire les images de l’ex-boxeur Christophe Dettinger et

On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »

Quelques millions d’écriture à déchiffrer par un ordinateur qui, comme les boules du Loto, sortira par magie les dix propositions les plus populaires.

La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !

Ooouuuuhhhhhhh, attention, sujet dangereux ! Pâmoison des syndicats et des partenaires sociaux, frissons dans les rangs de la majorité, urticaire dans l’opposition…

Le gouvernement possède-t-il des informations sûres ? Joue-t-il la dramatisation pour dissuader les manifestants de se rendre à Paris et dégager sa responsabilité au cas où se produiraient vraiment des incidents tragiques ?

Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…

La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
Pas certain, cependant, que cela ne suffise à éteindre l’incendie allumé par Emmanuel Macron…

Le général de Villiers bénéficie d’une autre stature qu’Édouard Philippe pour incarner la fonction de Premier ministre de la France.

Le départ d’Édouard Philippe n’est plus, maintenant, qu’une question de temps : avant ou après Noël ?

« Honte » peut-être, mais le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, pour ce qui les concerne, peuvent-ils se féliciter de l’image qu’ils ont donnée et de la posture qu’ils ont adoptée ?

En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…

Le mécontentement est bien là. Et il repose sur des données objectives et indiscutables.

Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?

Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.

Il aurait voulu insinuer dans les esprits que le christianisme, notamment le catholicisme, est responsable de l’antisémitisme qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
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