Édouard Philippe

Le masque, c’est décidément le sparadrap de nos deux Dupond de l’exécutif…

Le Premier ministre a plus que nuancé les annonces présidentielles.

Seulement, ce qui est concevable quand on vend de la lessive, de l’audit ou des hôtels l’est beaucoup moins quand on traite de l’humain et, il faut bien le dire, de la mort.

C’est de la science-fiction ! Vous prêtez au gouvernement de mauvaises pensées ! Vraiment ?

Jusque-là, ces discussions sont de bonne guerre et l’on voit mal comment le bonhomme Philippe pourrait incarner la « suite et fin » du quinquennat Macron.

« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.

Au début de la crise, vous auriez pu vous adresser à nous en nous disant, par exemple…

L’Histoire retiendra qu’en ce samedi 28 mars 2020, onze jours après le début du confinement en France, le Premier ministre a voulu essayer d’effacer les accusations de retard, d’impréparation et de mensonges…

Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.

La responsabilité d’Emmanuel Macron dans ce nouveau fiasco démocratique est entière.

Le président du Sénat avait déjà demandé au gouvernement, le 9 janvier, d’attendre l’issue de la conférence de financement avant de soumettre au Parlement le

Vous croyiez que le Conseil des ministres extraordinaire de ce samedi avait pour but de préparer les mesures contre l’expansion du coronavirus ? Pas seulement.

Si Édouard Philippe aimait vraiment cette ville qui souffre particulièrement en ce moment, il démissionnerait aussitôt de son poste de Premier ministre.

Ne pas réagir, c’est, pour les dirigeants LR, entériner l’alliance des Républicains et des macronistes et renoncer à leur crédibilité pour l’avenir.

Édouard Philippe et le gouvernement vont désormais paraître (c’est, en tout cas, leur espoir) comme des modèles de négociateurs sociaux…

Cet « âge pivot » était l’invention du Premier ministre. Son retrait qui, il y a quelques jours, était impensable sonne pour lui comme un désaveu.

Rien d’étonnant, de la part du leader de La France insoumise qui mène un combat politique et s’efforce d’affaiblir le gouvernement. Mais il joue un jeu dangereux, dont l’exécutif peut chercher à profiter.


Le rebond de popularité d’Emmanuel Macron dans l’électorat de droite n’aura duré que le temps de son hommage des Invalides…

Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.

En somme, qui soutient encore la réforme des retraites ? La génération Delevoye.

Une fois de plus, nos dirigeants, en montrant leurs muscles, soulignent le talon d’Achille qui les rend vulnérables.

Ils ont peur des réactions, s’ils dévoilent leurs arrière-pensées : que c’est la Commission européenne qui pousse la France à faire des milliards d’euros d’économies sur les retraites…

Quelles que soient les mesures retenues, on peut se douter qu’elles ne passeront pas comme une lettre à la poste.

Et le chaos ne fait que commencer, car l’équipe au pouvoir a démontré qu’elle n’a ni compétence ni autorité, l’une ne pouvant même pas compenser l’autre.

Ironie de l’histoire, Le Parisien note qu’à Melun, dès le début de l’après-midi, certains émigrés cherchaient déjà la gare de bus pour rejoindre Paris.

Une politique de la facilité, du court terme, pour répondre aux besoins des grands groupes, plutôt que de développer les formations ou de revaloriser certains métiers difficiles…

Pour Édouard Philippe, les responsables des violences de Chanteloup-les-Vignes ne seraient qu’une « petite bande d’imbéciles et d’irresponsables ». Une déclaration qui a fait réagir

Le masque, c’est décidément le sparadrap de nos deux Dupond de l’exécutif…

Le Premier ministre a plus que nuancé les annonces présidentielles.

Seulement, ce qui est concevable quand on vend de la lessive, de l’audit ou des hôtels l’est beaucoup moins quand on traite de l’humain et, il faut bien le dire, de la mort.

C’est de la science-fiction ! Vous prêtez au gouvernement de mauvaises pensées ! Vraiment ?

Jusque-là, ces discussions sont de bonne guerre et l’on voit mal comment le bonhomme Philippe pourrait incarner la « suite et fin » du quinquennat Macron.

« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.

Au début de la crise, vous auriez pu vous adresser à nous en nous disant, par exemple…

L’Histoire retiendra qu’en ce samedi 28 mars 2020, onze jours après le début du confinement en France, le Premier ministre a voulu essayer d’effacer les accusations de retard, d’impréparation et de mensonges…

Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.

La responsabilité d’Emmanuel Macron dans ce nouveau fiasco démocratique est entière.

Le président du Sénat avait déjà demandé au gouvernement, le 9 janvier, d’attendre l’issue de la conférence de financement avant de soumettre au Parlement le

Vous croyiez que le Conseil des ministres extraordinaire de ce samedi avait pour but de préparer les mesures contre l’expansion du coronavirus ? Pas seulement.

Si Édouard Philippe aimait vraiment cette ville qui souffre particulièrement en ce moment, il démissionnerait aussitôt de son poste de Premier ministre.

Ne pas réagir, c’est, pour les dirigeants LR, entériner l’alliance des Républicains et des macronistes et renoncer à leur crédibilité pour l’avenir.

Édouard Philippe et le gouvernement vont désormais paraître (c’est, en tout cas, leur espoir) comme des modèles de négociateurs sociaux…

Cet « âge pivot » était l’invention du Premier ministre. Son retrait qui, il y a quelques jours, était impensable sonne pour lui comme un désaveu.

Rien d’étonnant, de la part du leader de La France insoumise qui mène un combat politique et s’efforce d’affaiblir le gouvernement. Mais il joue un jeu dangereux, dont l’exécutif peut chercher à profiter.


Le rebond de popularité d’Emmanuel Macron dans l’électorat de droite n’aura duré que le temps de son hommage des Invalides…

Il n’est pas besoin d’être un journaliste ou un analyste confirmé pour affirmer que, depuis longtemps, le climat civique français n’a jamais été aussi pourri et désespéré.

En somme, qui soutient encore la réforme des retraites ? La génération Delevoye.

Une fois de plus, nos dirigeants, en montrant leurs muscles, soulignent le talon d’Achille qui les rend vulnérables.

Ils ont peur des réactions, s’ils dévoilent leurs arrière-pensées : que c’est la Commission européenne qui pousse la France à faire des milliards d’euros d’économies sur les retraites…

Quelles que soient les mesures retenues, on peut se douter qu’elles ne passeront pas comme une lettre à la poste.

Et le chaos ne fait que commencer, car l’équipe au pouvoir a démontré qu’elle n’a ni compétence ni autorité, l’une ne pouvant même pas compenser l’autre.

Ironie de l’histoire, Le Parisien note qu’à Melun, dès le début de l’après-midi, certains émigrés cherchaient déjà la gare de bus pour rejoindre Paris.

Une politique de la facilité, du court terme, pour répondre aux besoins des grands groupes, plutôt que de développer les formations ou de revaloriser certains métiers difficiles…

Pour Édouard Philippe, les responsables des violences de Chanteloup-les-Vignes ne seraient qu’une « petite bande d’imbéciles et d’irresponsables ». Une déclaration qui a fait réagir
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