Donald Trump
Si Trump a le clash façon bulldozer, Macron, lui, serait plutôt du genre à retenir ses coups, à la jouer fourbe.

Cette crise révèle que les États-Unis n’ont plus les ressources pour à la fois conquérir le monde, assurer leur sécurité aux frontières, refinancer leurs infrastructures autant que leur déplorable système de santé.
Pour justifier sa décision, Trump a indiqué que le travail était accompli et que Daech était vaincu. Le problème, c’est que ce n’est pas tout à fait vrai.

Au fait, qu’en est-il véritablement de ce feuilleton judiciaire ?
Il suffit de taper le mot « idiot » sur Google Images pour voir apparaître moult photos de Trump ou de ses deux fils. Sacrés algorithmes…

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.

Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.

Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.

Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.

Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.

Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?


Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.

Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.

Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
Trump a perdu la Chambre mais a renforcé son influence au Sénat.
Après la fusillade qui a visé une synagogue à Pittsburgh, aux États-Unis, Donald Trump a été accusé de faire monter l’antisémitisme dans son pays. Réaction
Trump a mis le turbo, quadrillant le territoire. À mardi prochain pour le résultat.

Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.

Les démocrates affirment que les discours de Trump sont à l’origine des colis piégés tandis que Donald Trump répond que les mensonges des médias sont la cause de cette violence.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.

Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
Si Trump a le clash façon bulldozer, Macron, lui, serait plutôt du genre à retenir ses coups, à la jouer fourbe.

Cette crise révèle que les États-Unis n’ont plus les ressources pour à la fois conquérir le monde, assurer leur sécurité aux frontières, refinancer leurs infrastructures autant que leur déplorable système de santé.
Pour justifier sa décision, Trump a indiqué que le travail était accompli et que Daech était vaincu. Le problème, c’est que ce n’est pas tout à fait vrai.

Au fait, qu’en est-il véritablement de ce feuilleton judiciaire ?
Il suffit de taper le mot « idiot » sur Google Images pour voir apparaître moult photos de Trump ou de ses deux fils. Sacrés algorithmes…

Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.

Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.

Trump, c’est une réincarnation de Jessie James, ce bandit au grand cœur qui pillait les banques pour redonner l’argent aux pauvres.

Il était une fois un royaume écrasé par le soleil et assis sur un paysage martien.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.

Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.

Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.

Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?


Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…

La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.

Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.

Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
Trump a perdu la Chambre mais a renforcé son influence au Sénat.
Après la fusillade qui a visé une synagogue à Pittsburgh, aux États-Unis, Donald Trump a été accusé de faire monter l’antisémitisme dans son pays. Réaction
Trump a mis le turbo, quadrillant le territoire. À mardi prochain pour le résultat.

Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.

Les démocrates affirment que les discours de Trump sont à l’origine des colis piégés tandis que Donald Trump répond que les mensonges des médias sont la cause de cette violence.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.

Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
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