[STRICTEMENT PERSONNEL] À l’Ouest, du nouveau !

Quoi que l’on pense de l’homme fort qui préside depuis trois mois aux destinées de la première puissance du monde, oui, quelque opinion que l’on ait de Donald Trump, en tant que personne, de sa vulgarité, de sa brutalité, voire de sa grossièreté, de son amour immodéré pour la finance, de son indifférence et plus souvent de son hostilité à tout ce qui est intellectuel, artistique, culturel, de ses goûts en matière de décoration, de ses talents oratoires, de son ignorance crasse en matière de littérature, de peinture et plus généralement de toutes les formes et les genres artistiques, quelques points, essentiels, doivent être rappelés.
Une élection démocratique
C’est l’honneur de la démocratie américaine et la preuve du respect de ce grand pays pour ses principes fondateurs que tribunaux et Cour suprême aient fait prévaloir la souveraineté du peuple sur toute autre considération. Donald Trump était empêtré dans vingt affaires, vingt procès qui n’auraient pas forcément tourné à son avantage. La Justice des États-Unis a refusé d’outrepasser ses droits et d’interdire à une majorité présumée d’électeurs de voter pour le candidat de leur choix. D’autres magistrats, dans d’autres pays (suivez mon regard), du côté de Bucarest et même à Paris, n’ont pas eu de tels scrupules et se sont arrogé le droit de fouler aux pieds le terrain politique où ils n’ont rien à faire.
Un homme politique qui tient ses promesses
Donald Trump, mauvais perdant en 2020, est devenu, en novembre 2024, le commandant en chef, très légitimement élu, des États-Unis. S’il y a un point que nul ne saurait contester, c’est que le président élu s’est attaché, à peine entré à la Maison-Blanche, à mettre en œuvre le programme que, candidat, il avait proposé aux citoyens nord-américains, qu’une majorité des votants avait approuvé. Le cas est trop rare pour n’être pas signalé et souligné. Un homme politique qui tient les promesses faites et reste fidèle aux engagements pris est une rareté, et pas seulement dans les régimes autoritaires… Qu’en adviendra-t-il ? C’est une autre affaire, qui se joue en ce moment même sous nos yeux.
America First
America First (« l’Amérique d’abord »), l’Amérique avant tout. L’Amérique au-dessus de tout, über alles comme ont peut-être dit eux aussi, dans une autre langue et un autre contexte, les ancêtres germaniques du Donald. Personne ne pourra avancer de bonne foi que le candidat Trump n’avait pas annoncé la couleur. Président des États-Unis, il défend sous les cris d’orfraie du reste du monde, éberlué, les intérêts et le statut de son pays, comme devrait le faire tout chef d’État digne de ce nom. Il préconise et facilite la relocalisation, le développement et la modernisation de l’industrie nationale. Il ne voit pas pourquoi les Américains seraient contraints d’acheter des voitures allemandes produites au Mexique ou au Canada, et moins encore pourquoi la Chine continuerait impunément à inonder le marché américain de ses produits les plus grossiers et les plus avancés, également fabriqués à bas prix. Il incite les entrepreneurs que les barrières qu’il élève à l’entrée de son pays inquiètent, rebutent ou dissuadent à venir s’y installer. Bref, il manifeste une préférence éhontée pour son pays. Faut-il l’en blâmer ? Ne faudrait-il pas plutôt suivre son exemple ?
Et l'Europe ?
Le président Trump ne croit pas aux institutions internationales, politiques ou humanitaires. Il faut bien dire que depuis des années les premières ont fait la preuve de leur inadaptation et de leur impuissance, les autres voyant dans la tirelire de l’Oncle Sam une inépuisable vache à lait.
Contrairement aux présidents démocrates, si ouverts sur le monde qu’ils en deviennent parfois interventionnistes et se lancent inconsidérément dans des conflits coûteux en hommes, en argent et à l’issue parfois désastreuse, le président Trump n’aime pas la guerre. C’est l’une de ses constantes. A-t-il eu tort de prévenir ses partenaires, pour ne pas dire ses vassaux, qu’ils seraient bien inspirés de ne pas se croire automatiquement, quoi qu’il arrive, et jusqu’à la fin des temps, couverts par le parapluie américain, comme en 1917, comme en 1942, comme depuis 1945, comme dans La Soupe aux canards, film burlesque et génial des Marx Brothers ? Ne serait-ce pas aux quelque 450 millions d’Européens, répartis entre une trentaine d’États, puissances moyennes, dont deux détiennent par chance l’arme nucléaire, petits pays ou confettis minuscules, de s’organiser et, s’ils veulent garder le droit à la parole, voire à l’existence, de créer une armée commune, ce qui suppose également, pour que cela ait du sens, une diplomatie, un commandement, des objectifs et des équipements communs (quitte à ce qu’ils ne soient pas systématiquement made in USA ?) That is the question. C’est le conseil d’ami que leur donne Trump.
Trump considère les actuels dirigeants européens avec un mépris peu dissimulé qui n’exclut pas un reste d’amitié. Tel qui croit pouvoir vanter une relation privilégiée avec lui n’est à ses yeux qu’un rigolo distrayant, tel autre un ectoplasme en forme de paillasson et le troisième un parfait inconnu. Une exception notable est constituée par Giorgia Meloni, qui a su tisser un lien affectif et effectif avec le leader républicain aujourd’hui président.
Européens, Français, où en sommes-nous aujourd’hui ?
Comme depuis un siècle déjà, répartis, partagés et divisés entre ceux qui redoutent et dénoncent l’impérialisme américain et ceux qui tremblent à l’idée que l’Amérique nous laisse tomber avant de revenir, éternel Zorro, sauver le Vieux Continent - ou ce qu’il en restera.
On avait classé Trump, un peu vite, parmi les isolationnistes. À la surprise générale, le vice-président Vance et le secrétaire d’État Rubio, porte-paroles du maître, se sont ingérés sans vergogne dans notre paysage politique pour regretter à son de trompe que la majorité des consternants gouvernants européens - France, Grande-Bretagne, Allemagne en tête - se révèlent incapables de remplir leurs missions et leurs devoirs le plus élémentaires : assurer dans un monde chaotique et d’abord face à une grande invasion, pacifique mais destructrice qui s’aggrave de notre désastre démographique, la prospérité, la sécurité, l’unité, la fierté, la cohésion nationale et la continuité de notre civilisation.
Insoucieux des distinctions entre droite et gauche, des cordons sanitaires et autres remèdes de bonnes femmes, les missi dominici de Washington ont affirmé clairement leur soutien aux partis et aux dirigeants, quels qu’ils soient, qui se sont engagés dans la défense des peuples premiers que nous sommes devenus, menacés par la détérioration, puis la dénaturation, puis la négation, puis la haine et la chute finale de notre civilisation, de notre culture, de notre indépendance et de nos libertés, bref, de tout ce qui a fait le charme, le prix et la singularité, entre XVIIIe et XXe siècles, de nos chers et vieux pays. Le vent nouveau qui nous vient aujourd’hui d’outre-Atlantique fortifie les chances de succès du sursaut salutaire qui s’amplifie de Paris à Bucarest et de Londres à Berlin, en passant par Rome et Budapest !
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48 commentaires
Trump a les défauts de ses qualités… ils foncent ;pas toujours à bon escient, mais au final, son bilan est déjà largement positif.
Mr Jamet…
J’ai lu votre éditorial..
Je vois que vous vous faites des ennemis ( tout au moins des critiques).
Vous rappelez ce que disent les journaux déçus de son élection, qu’ils n’avaient pas souhaitée…mais nous ne sommes pas Américains..alors pouquoi se chagriner ..personnellement j’aurais voté pour Trump…
Sans doute les abonnés ne sont-ils pas allés jusqu’au bout de
« Strictement Personnel « ..lassés de tout ces dénigrements gratuits…
Pensez-y à l’avenir…Nous voulons votre avis..pas celui des médias véreux..et de la presse décadente..
Mon père, résistant dès son adolescence (et son frère maquisard), a toujours détesté les amères loques comme il les appelait;
Il n’a jamais accepté d’ avoir vu l’un de ses mais tué par une bombe pas loin de lui (lui qui s’était planqué dans un fossé et qui de fait n’a rien eu), lui qui a vu une partie de sa famille privée de toit grâce (sic) à des bombardements sur des villes françaises n’ayant plus un seul allemand sur leur sol.
Il n’a jamais voulu aller et fêter le débarquement de Normandie, qui, pour lui, était un début de colonisation de la france.
Il est vrai qu’ayant été élevée dans ce contexte, que ce soit Trump ou quelqu’un d’autre, j’ai du mal à apprécier les gouvernants (je ne parle pas du peuple) de ce pays (ainsi que la GB).
Mon père est décédé il y a quelques années, bien sûr.
Dommage, j’aurais pu savoir ce qu’il pensait de ce nouveau gouvernement.
Pour ma part, il y a des choses qui me déplaisent notamment = cette sensation qu’ont les amères loques d’être des vêtements de soie , leur « moi-moi-moi », cette façon de faire du chantage aux autres pays.
Mais j’avoue apprécier hautement le choix de Robert Jr Kennedy comme ministre de la Santé.
Ne pas attribuer aux enfants les erreurs et maladresses de leurs grand’parents ! ( non repentance) . Surtout chez ces amerloques qui sont et étaient de grands enfants un peu nigauds…Ma maman, tout récemment orpheline de sa mère à 14 ans, a dû courir comme une dératée s’enfuir avec ses petites soeurs (6 ans la plus jeune) se cacher dans les roseaux du bord de Saône lorsque ces imbéciles made in US ( et leurs alliés british) ont décidé de bombarder un train en stationnement derrière chez eux, train supposé bourré de soldats allemands en replis vers le Nord, et en réalité bourré d’explosifs qui ont détruit toute la moitié arrière de la maison ; ça n’était même pas corrélé au maquis que son oncle (disparu en déportation), accompagné de frère et cousins dirigeait dans les bois au sud .
Trump était un gamin devenu sérieux ; il fait le poids, il est franc, direct et tenace : faisons-lui confiance ! Mieux vaut un Trump que le panier de crabes qu’on se traîne depuis 1981 (voire 1974)..
Je partage votre avis Monsieur Jamet : quel que soit ce vent venu de l’Ouest, il défrise « nos consternants gouvernants européens ». Il nous reste à saisir le mouvement de ce vent salutaire et y entrer.
Nous avons ici des vulgarités dissimulées sous des costards de « petits hommes gris », c’est bien pire que les outrances que l’on reproche à Trump.
Voilà le personnage parfaitement résumé. Notre issue possible aussi ? Mais une UE plus autoritaire que jamais ?
Créer une armée européenne ? M. James est-il dans la ligne éditoriale de BV ? Car l’armée étant la face ultime de notre souveraineté, cela en serait fini de la France ? Je n’ose y croire…
Lui au moins il n’a pas « Trump-é » son peuple ! Il fait ce qu’il a dit
Il défend avec pugnacité son pays et ses idées
Faisons fi de ses outrances ! Il nous faudrait un dirigeant comme lui plutôt que le dangereux fou qui nous gouverne. Boutons l’infâme et qu’il disparaisse à jamais de l’histoire de notre nation ! J’envie les us d’avoir un tel dirigeant
Pendant ce temps , en France , on se fait macronner .
J’adore et j’adhère totalement à votre propos.
BARON M
Je signe vos commentaires des deux mains…
Trump est Américain…là bas, c’est toujours le Far West…il n’y a rien de vulgaire dans son comportement…
AMERICA FIRST..bravo !!
Ah,..combien j’aimerais entendre , ne serait-ce qu’une fois
LA FRANCE D’ABORD !! LES. FRANÇAIS D’ABORD.. !!!
Pauvres de nous ..menés et trompés par des MINABLES depuis 1974…
,.
Le portrait que Dominique Jamet dresse de l’homme Donald est extrêmement sombre et, à titre personnel je ne le partage pas! Quels que soient les critiques justifiées et non quasi caricaturales, qu’on puisse faire de Donald Trump, je le préfère largement à celui qui est sensé être son homologue en France: Macron! Si j’étais Américain j’aurai sans la moindre hésitation voté Donald Trump! Libre à Dominique Jamet de considérer Donald Trump pour un rustre, mais, j’espère qu’un jour, le plus tôt sera le mieux, un personnage de la trempe de Trump puisse nettoyer les écuries d’Augias en France. Quand bien même cela puisse consterner Dominique Jamet! Le « distingué » Macron est vraiment le pire qui pouvait arriver à la France. N’ayant jamais voté pour le Young Leader de Davos je n’ai aucune responsabilité dans la catastrophe qu’est le « distingué » Macron.
« le “distingué” Macron est vraiment le pire qui pouvait arriver à la France. N’ayant jamais voté pour le Young Leader de Davos je n’ai aucune responsabilité dans la catastrophe qu’est le “distingué” Macron.
Désolée réponse partie trop vite!
“le “distingué” Macron est vraiment le pire qui pouvait arriver à la France. N’ayant jamais voté pour le Young Leader de Davos je n’ai aucune responsabilité dans la catastrophe qu’est le “distingué” Macron. » = je me retrouve dans vos paroles
La démocratie c’est la souveraineté populaire , le peuple souverain élit le ou les représentants qu’il veut , c’est le cas aux Etats Unis , ce n’est plus le cas en France .
L’électeur américain a un bulletin de vote qui est aussi un bulletin de grand jury populaire en matière judiciaire.
L’électeur français a un bulletin de vote limité aux candidats que les juges ont bien voulu laisser participer à l’élection en créant au besoin le droit nécessaire pour les éliminer .
En France la souveraineté est partagée entre les électeurs et les juges , voir le dernier livre de Pierre Rossanvallon -La légitimité démocratique – ou l’on voit les juges devenir la nouvelle avant garde éclairée du peuple , et ces juges (nationaux et européens) ne sont pas élus.
Et enfin la souveraineté de la France est en partie diluée dans l’UE , monstre post-démocratique qui veut devenir un Etat fédéral, et n’est pour l’instant qu’un “machin” chargé de détruire les vieux Etats qui la composent .
Totalement d’accord avec votre article. Le président Trump semble brut de décoffrage mais tient ses promesses envers ses électeurs ce qui n’est jamais le cas en France notamment. Lui il aime son pays et n’attend pas d’être à l’étranger en déplacement pour lui cracher dessus. Les américains ont de la chance et espérons qu’un vent salutaire venu d’outre atlantique souffle sur l’Europe et surtout sur la France défigurée par l’incompétence gouvernementale de ces 30 dernières années.
La démocratie c’est la souveraineté populaire , le peuple souverain élit le ou les représentants qu’il veut , c’est le cas aux Etats Unis , ce n’est plus le cas en France .
L’électeur américain a un bulletin de vote qui est aussi un bulletin de grand jury populaire en matière judiciaire , l’électeur français a un bulletin de vote limité aux candidats que les juges ont bien voulu laissé se présenté .
En France la souveraineté est partagée entre les électeurs et les juges , voir le dernier livre de Pierre Rossanvallon -La légitimité démocratique – ou l’on voit les juges devenus la nouvelle avant garde éclairée du peuple , et ces juges (nationaux et européens) ne sont pas élus.
Et enfin la souveraineté de la France est en partie diluée dans l’UE , monstre post-démocratique qui veut devenir un Etat fédéral, et n’est pour l’instant qu’un « machin » chargé de détruire les vieux Etats qui la composent .
La France a cruellement besoin d’un Trump pour remettre » l’église au milieu du village » . Ce vent de patriotisme et de démocratie qui nous vient d’outre atlantique est en effet salutaire et devrait générer un sursaut nécessaire, plutôt que des critiques incendiaires envers un homme qui aime son pays, le défend et prône la paix… ( excusez du peu !)
J’aime assez cet article de Monsieur Jamet qui dit ce qu’il a à dire sur le sujet et avec justesse. Certes, la primatie du billet vert relativise l’aide américaine qui a su tout au long des siècles précités en tirer bien des avantages. Cet aide n’a pas été tout à fait philanthropique au demeurant. Mais dans l’ensemble, c’est bien vu. Avec nos gouvernants actuels en Europe et chez-nous en France, on a vraiment du souci à se faire. La démocratie en a pris un sacré coup et la suite sera à l’avenant. Hélas !
Je cherchais qui avait dit : « chacun chez soi, et les vaches seront bien gardées ». Et bien , c’est Donald Trump !
excellent, le nouveau pape devrait s’en inspirer « aide toi et le ciel t’aidera » !
Cicéron…avait dit à chacun son métier..
Mai si Trump a dit ça ..je dis qu’il a raison…
Que la France se mêle des affaires de la France..et ainsi tout ira pour le mieux…
Avis à Macron…l’incompétent…
M.JAMET vous adoptez la méprisante stratégie de Paris Match qui tient lieu à se dédouaner d’un comportement macabre pour mieux l’exploiter.
Votre idéologie vous enferme et votre mepris pour le président Trump vous rend ridicule, vous en êtes presqu’à oublier à quel point vous détestiez l’idée même d’une Georgia Meloni. Lâchez du lest, détendez vous et comptenplez le changement en marche.
Tavalette, on n’a pas dû lire le même article. Si Monsieur Jamet au tout début présente Donald Trump pour ce qu’il est, un être assez brut de coffre en somme, il n’en demeure pas moins qu’il lui rend grâce du fait que ce qu’il avait annoncé aux Américains, il le fait. Je ne vois aucun mépris là-dedans.
@Lélue58
Le portrait que dresse Dominique Jamet de l’homme Donald Trump est beaucoup plus sombre que celui d’un « être assez brut de coffre ». A mes yeux, Dominique Jamet n’a pas pu cacher l’étendue de l’aversion que lui inspire l’homme Donald Trump! Mais, malgré les défauts qu’on peut trouver chez Trump, il vaudrait beaucoup mieux qu’en France un tel personnage soit à l’Elysée plutôt que celui qui s’y trouve depuis 8 ans!
Tout à fait d’ accord avec vous! Certains commentaires sont parfois surprenants!
Certains commentaires laissent à penser que leurs auteurs »ont pas lu l’intégralité de l’edito ou bien qu’ils ont perdu toute capacité à comprendre ce qu’ils lisent. Et ça c’est très inquiétant.
1 – Selon ce journaliste, TRUMP est l’un des pires « dirigeants » qu’un pays puisse avoir ! …
2 – Il se « rappelle » d’un seul coup que TRUMP fait ce qu’il dit durant sa campagne présidentielle ! …
Croyez-vous que ce journaliste ferait le « même constat » pour macron ? …
Exact !! MMe Tvalette ferait bien « de tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de parler » comme le dit un certain dicton !! voilà pourquoi nous avons Macron à cause d’électeurs nombriliques et sous intellectuels !!
Bravo Tavalette
Tiens tiens le coucher du soleil s’est levé !!
Donald Trump n’est pas plus « vulgaire, brutale, voire grossier » que Macron, ou un certain nombre de politiciens français ou européens !
Donald Trump est d’abord américain, et nous aimerions bien que que Macron soit d’abord pro-français avant d’être pro-européen, voire pro-mondialiste.
Donald Trump travail d’abord pour l’Amérique, et nous aimerions bien que que Macron travaille d’abord pour la France et les français avant de travailler pour l’Europe, voire le monde.
Donald Trump sait ce qu’il faut faire pour l’Amérique, détruite par les « democrats » depuis Obama jusqu’à Biden… Et nous aimerions bien que Macron sache ce qu’il faut faire pour la France, les français, qu’il déteste, avant d’essayer de changer l’Europe, voire le monde.
L’anti-trumpisme est ridicule, c’est l’arme des gauchistes, allant du rose pâle au rouge vif en passant par les Vert-de-gris, sans oublier les LR-wauquiéristes, qui ne savent pas ou plus ce qui est bon pour la France, les français !
J’adhère totalement. J’en ai un peu marre de ces insultes à l’encontre de Donald Trump. Notre foutriquet ne lui arrive pas à la cheville.
Mais bon, à sa façon, M. Jamet n’en fait pas moins l’éloge du président américain.
Excellent article monsieur Jamet.