Union Européenne
Lors d’un vote à main levée, les eurodéputés réunis en session plénière à Bruxelles ont voté la levée de l’immunité de l’eurodeputé Nicolas Bay, à la suite d’une demande du parquet d’Évreux, en Normandie.
Depuis l’automne dernier, les relations entre les deux États connaissent de nombreux soubresauts.
Une résolution qui marque une volte-face important dans les rapports entre l’institution européenne et le Maroc.

Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.

Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.

Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

Hasard du calendrier, les deux allers-retours de ce grand Européen qu’est Emmanuel Macron au Qatar pour la Coupe du monde ont coûté environ 500.000 euros au contribuable…
Un détail a fait réagir dans le milieu des parlementaires européens. En effet, dans sa déclaration, Dimitris Avramopoulos cite Ursula von der Leyen, actuelle présidente de la Commission européenne, indiquant : « J’avais obtenu l’aval de von der Leyen »

Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…

Des sacs de billets de banque retrouvés au domicile bruxellois d’une vice-présidente du Parlement européen – la socialiste grecque Éva Kaïlí – ainsi que chez

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.

Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.
Au cours des seize perquisitions menées par la police dans la capitale belge, « environ 600.000 euros en liquide » ainsi que « du matériel informatique et des téléphones portables » ont été saisis.

Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

« La construction européenne est purement idéologique. (…) Cette idéologie a construit le cadre d’une dictature qui musèle ses oppositions et brime les peuples. »

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…

C’est beau, c’est grand, ça se veut généreux ; c’est surtout d’un simplisme aussi confondant que malhonnête.

Si cette fameuse construction européenne n’était que bonheur quotidien doublé d’un chemin pavé de violettes – ce qui aurait fini par se savoir, tôt ou tard, il y aurait eu des fuites –, comment expliquer ce manque d’assurance face à des interlocuteurs dont le seul crime consiste manifestement à avoir été élus par les Français ?

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Les dernières controverses entre la France et l’Italie manifestent un conflit idéologique entre un gouvernement mondialiste et euro-béat et un gouvernement national et euro-réaliste mais, plus profondément, il s’agit d’un conflit entre la légitimité démocratique et un système juridique et idéologique.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.
Lors d’un vote à main levée, les eurodéputés réunis en session plénière à Bruxelles ont voté la levée de l’immunité de l’eurodeputé Nicolas Bay, à la suite d’une demande du parquet d’Évreux, en Normandie.
Depuis l’automne dernier, les relations entre les deux États connaissent de nombreux soubresauts.
Une résolution qui marque une volte-face important dans les rapports entre l’institution européenne et le Maroc.

Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.

Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.

Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

Hasard du calendrier, les deux allers-retours de ce grand Européen qu’est Emmanuel Macron au Qatar pour la Coupe du monde ont coûté environ 500.000 euros au contribuable…
Un détail a fait réagir dans le milieu des parlementaires européens. En effet, dans sa déclaration, Dimitris Avramopoulos cite Ursula von der Leyen, actuelle présidente de la Commission européenne, indiquant : « J’avais obtenu l’aval de von der Leyen »

Le gouvernement italien, malgré la pression internationale et surtout bruxelloise, entend mettre sur pied une politique de régulation stricte de l’immigration clandestine…

Des sacs de billets de banque retrouvés au domicile bruxellois d’une vice-présidente du Parlement européen – la socialiste grecque Éva Kaïlí – ainsi que chez

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Empêtrés jusqu’aux oreilles dans l’affaire McKinsey, pour le moins légers à Strasbourg, nos macronistes trouvent encore et toujours les moyens de donner des leçons et de dégager les importuns.

Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.
Au cours des seize perquisitions menées par la police dans la capitale belge, « environ 600.000 euros en liquide » ainsi que « du matériel informatique et des téléphones portables » ont été saisis.

Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

« La construction européenne est purement idéologique. (…) Cette idéologie a construit le cadre d’une dictature qui musèle ses oppositions et brime les peuples. »

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

Sa manie de voter des résolutions sur tout et n’importe quoi, comme s’il était un mélange d’ONU régionale et de super ONG…

C’est beau, c’est grand, ça se veut généreux ; c’est surtout d’un simplisme aussi confondant que malhonnête.

Si cette fameuse construction européenne n’était que bonheur quotidien doublé d’un chemin pavé de violettes – ce qui aurait fini par se savoir, tôt ou tard, il y aurait eu des fuites –, comment expliquer ce manque d’assurance face à des interlocuteurs dont le seul crime consiste manifestement à avoir été élus par les Français ?

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Les dernières controverses entre la France et l’Italie manifestent un conflit idéologique entre un gouvernement mondialiste et euro-béat et un gouvernement national et euro-réaliste mais, plus profondément, il s’agit d’un conflit entre la légitimité démocratique et un système juridique et idéologique.

Si l’on résume, ce bateau, c’est la patate chaude ou le mistigri que tous les gouvernements se refilent en douce, aucun d’entre eux ne pouvant décemment expliquer à leurs électorats respectifs que l’immigration illégale est chose si merveilleuse qu’on ne saurait davantage s’en priver.
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