Union Européenne
Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.
Le maire de Béziers, élu avec le soutien du FN, répond, en exclusivité, à nos questions sur ses rapports avec le parti de Marine Le Pen. Sans langue de bois.
Le masque de la communication politicienne doit tomber, car seul compte le combat de la civilisation contre la barbarie.

Les Polonaises se font moins violer que les Allemandes… On se demande vraiment pourquoi, non ?
Le monde vit dans un système économique où profits et bonus vont aux banquiers alors que les pertes sont assumées par les gouvernements et les clients.

L’attentat qui a frappé Barcelone la semaine dernière est le septième de ce type dans l’Union européenne.
La France, partenaire historique de l’Allemagne et alliée de longue date de la Turquie, se distingue par son silence criant dans ce dossier.

Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.

Il s’agit simplement d’un « arrangement administratif » entre la France et l’Espagne.
Après les attentats qui ont touché la Catalogne, Christian Estrosi demande l’aide de l’Europe pour que les communes se protègent contre le terrorisme.
En fait, M. Macron n’a guère le choix, car il lui faut trouver de l’argent, mais il est en train de s’enliser dans la même impuissance que M. Hollande.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Je demeure coi devant la collusion de nos élites, le collaborationnisme de la bureaucratie et le quiétisme de mes compatriotes.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.

En plus des députés FN et FI, les godillots en marche sont là ! Et ils nous représentent…

Comme souvent, Emmanuel Macron reste ambigu, il dit une chose et son contraire, sans qu’on sache si ce mélange correspond à une tactique ou à une conviction.
Les médias n’ont pas beaucoup parlé de l’aide proposée par les Premiers ministres de Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie au gouvernement italien…
S’il suffisait d’imprimer des billets et de s’endetter pour que marche l’économie, ce serait à la portée de tous les États.
Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés.

Il faut tordre le cou à une idée toute faite : le calendrier scolaire n’est pas dicté par des raisons principalement pédagogiques.
Le bureau du Parlement européen, qui n’a pas de représentant eurocritique, utilise sa suprématie pour éliminer l’opposition.

Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.

Véritable poudrière, cette région de notre continent ne s’est toujours pas remise des conflits qui ont conduit au démantèlement de feu la Yougoslavie.
Il serait temps que les arrogants commissaires européens soient remis à leur place, et pas seulement par les gouvernements polonais et hongrois.
Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.
Le maire de Béziers, élu avec le soutien du FN, répond, en exclusivité, à nos questions sur ses rapports avec le parti de Marine Le Pen. Sans langue de bois.
Le masque de la communication politicienne doit tomber, car seul compte le combat de la civilisation contre la barbarie.

Les Polonaises se font moins violer que les Allemandes… On se demande vraiment pourquoi, non ?
Le monde vit dans un système économique où profits et bonus vont aux banquiers alors que les pertes sont assumées par les gouvernements et les clients.

L’attentat qui a frappé Barcelone la semaine dernière est le septième de ce type dans l’Union européenne.
La France, partenaire historique de l’Allemagne et alliée de longue date de la Turquie, se distingue par son silence criant dans ce dossier.

Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.

Il s’agit simplement d’un « arrangement administratif » entre la France et l’Espagne.
Après les attentats qui ont touché la Catalogne, Christian Estrosi demande l’aide de l’Europe pour que les communes se protègent contre le terrorisme.
En fait, M. Macron n’a guère le choix, car il lui faut trouver de l’argent, mais il est en train de s’enliser dans la même impuissance que M. Hollande.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Je demeure coi devant la collusion de nos élites, le collaborationnisme de la bureaucratie et le quiétisme de mes compatriotes.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.

En plus des députés FN et FI, les godillots en marche sont là ! Et ils nous représentent…

Comme souvent, Emmanuel Macron reste ambigu, il dit une chose et son contraire, sans qu’on sache si ce mélange correspond à une tactique ou à une conviction.
Les médias n’ont pas beaucoup parlé de l’aide proposée par les Premiers ministres de Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie au gouvernement italien…
S’il suffisait d’imprimer des billets et de s’endetter pour que marche l’économie, ce serait à la portée de tous les États.
Le Président Macron a donné aux Français et à l’Europe, en ce 27 juillet, un visage inattendu.
Tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés.

Il faut tordre le cou à une idée toute faite : le calendrier scolaire n’est pas dicté par des raisons principalement pédagogiques.
Le bureau du Parlement européen, qui n’a pas de représentant eurocritique, utilise sa suprématie pour éliminer l’opposition.

Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.

Véritable poudrière, cette région de notre continent ne s’est toujours pas remise des conflits qui ont conduit au démantèlement de feu la Yougoslavie.
Il serait temps que les arrogants commissaires européens soient remis à leur place, et pas seulement par les gouvernements polonais et hongrois.
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