Union Européenne
La justice vient de saisir deux millions d’euros au Rassemblement national sur sa dotation annuelle. Réaction de Marine Le Pen au micro de Boulevard Voltaire.

Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Pour ta présence, pour ton tempérament indomptable, pour ton indéfectible amitié, merci à toi à jamais « Diable de Montretout » !

La France a vu les drapeaux aux couleurs de l’inter-LGBT flotter sur l’Assemblée nationale. Juridiquement, peut-on afficher des couleurs d’une communauté autre que la nation

on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.

La crise de la zone euro se répandra en 2019 comme une traînée de poudre dans le monde entier surendetté…
Les peuples seraient-ils frappés d’une maladie mentale qui toucherait une majorité de leurs membres ?
Il y a fort à parier que des fermetures « sèches » de commissariats suivront.

Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.

Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».

La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».

M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…

La situation économique du pays est malheureusement le point faible de l’Alliance populiste porteuse d’espoirs pour l’Europe.

Première case cochée. Le 2 juin dernier, le Premier ministre socialiste a refusé de prêter serment sur la Bible et devant un crucifix. Une première en Espagne…

Et alors ? Et alors ? Macron est arrivé, pressé de la secourir.

Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.

Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
Alors que le président de la République reçoit, à l’Élysée, le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte à l’issue d’une crise diplomatique sur la question
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie

En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…

Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Nicolas Bay, député français au Parlement européen et coprésident du groupe ENL (Europe des nations et des libertés), revient sur l’actualité de ces derniers jours

Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.

Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au

l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.

Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.

Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.
La justice vient de saisir deux millions d’euros au Rassemblement national sur sa dotation annuelle. Réaction de Marine Le Pen au micro de Boulevard Voltaire.

Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Pour ta présence, pour ton tempérament indomptable, pour ton indéfectible amitié, merci à toi à jamais « Diable de Montretout » !

La France a vu les drapeaux aux couleurs de l’inter-LGBT flotter sur l’Assemblée nationale. Juridiquement, peut-on afficher des couleurs d’une communauté autre que la nation

on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.

La crise de la zone euro se répandra en 2019 comme une traînée de poudre dans le monde entier surendetté…
Les peuples seraient-ils frappés d’une maladie mentale qui toucherait une majorité de leurs membres ?
Il y a fort à parier que des fermetures « sèches » de commissariats suivront.

Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.

Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».

La proposition de Macron n’est que la reprise, sous une autre forme, mais plus dangereuse, des « Hot spots ».

M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…

La situation économique du pays est malheureusement le point faible de l’Alliance populiste porteuse d’espoirs pour l’Europe.

Première case cochée. Le 2 juin dernier, le Premier ministre socialiste a refusé de prêter serment sur la Bible et devant un crucifix. Une première en Espagne…

Et alors ? Et alors ? Macron est arrivé, pressé de la secourir.

Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.

Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
Alors que le président de la République reçoit, à l’Élysée, le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte à l’issue d’une crise diplomatique sur la question
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie

En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…

Et en France ? Macron ne se risquera pas à poser la question…
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Nicolas Bay, député français au Parlement européen et coprésident du groupe ENL (Europe des nations et des libertés), revient sur l’actualité de ces derniers jours

Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.

Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au

l’Aquarius, navire de l’association SOS Méditerranée s’est présenté dans la matinée du 10 juin avec sa cargaison d’êtres humains, et pas qu’un peu : 629.

Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.

Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.
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