Union Européenne


Alors qu’on vient d’apprendre que le passe sanitaire risque d’être voté sans débat ni amendement, demain, au Parlerment européen, Gilbert Collard alerte sur les dangers

Même en matière de stratégie vaccinale, l’Union européenne, arc-boutée à son idéologie, ivre de son impuissance, pousse un peu plus la Russie hors d’Europe.

Une liberté retrouvée pour les uns, une servitude volontaire pour les autres.

La réalité rattrape toujours les fautes, les chimères et fictions des politiques…

L’utilisation du vaccin AstraZeneca est suspendu dans une dizaine de pays européens, dont la France. Que peut faire l’Europe, à qui Joe Biden vient de

Quinze ans pour s’apercevoir d’un problème que nous dénonçons à cor et à cri, dans l’indifférence générale : à ce rythme, Pékin a encore de belles années devant elle.

C’est tellement important, le couple franco-allemand. En attendant : Papiere, bitte!

Le taux de vaccination dans l’Union européenne ne dépasse pas 3 % de la population, quand il atteint 30 % en Grande-Bretagne, et bien mieux encore en Israël.

Les peuples sondés sont de plus en plus rétifs à la politique sanitaire de leurs gouvernements respectifs, tandis que celui de France demeure le plus sceptique quant à la politique en question.

Il en est des avions de chasse comme des vaccins et, bien entendu, de tant d’autres choses.

De toute façon, on devine qu’avec la proverbiale célérité de nos administrations, il s’écoulera encore beaucoup de sérum dans les tubulures de nos services de réanimation avant que ce Spoutnik-là ne soit mis en orbite chez nous…

Il est à parier que, pendant longtemps encore, l’anglais régnera dans les instances européennes et internationales.
L’urgente priorité du moment est que tous les citoyens prennent connaissance de cette invitation pressante du Conseil de l’Europe si, d’aventure, on s’acheminait vers une obligation de fait à se faire vacciner.

Juan Guaidó ne peut plus prétendre bloquer les divers fonds détenus par la Banque du Venezuela dans plusieurs pays de l’Union européenne.

Dans la bulle bruxelloise, la migration est la chasse gardée des ONG et des députés européens les plus idéologiques.

La Grande-Bretagne refuse d’accorder à l’Union européenne le rang d’État souverain en privant son ambassadeur au Royaume-Uni de tous les droits et privilèges diplomatiques.

Les voyageurs en provenance d’un pays hors de l’Union européenne ? Le gouvernement compte sur leur responsabilité et sur leur sens de l’honneur. Les Français apprécieront…

France : capitale Berlin. Chef d’État : Angela Merkel.

Alors que le Royaume-Uni conserve sa souveraineté, l’Espagne récupère une libre circulation des personnes et des biens.

Du sang et des larmes, pendant qu’on y est !

L’Union européenne bureaucratique, laboratoire de la globalisation, déjà mitée par la Pologne et la Hongrie, commence à sentir le sapin.

Au-dessus du souverain, il n’y a personne. En dessous, il n’y a que des vassaux.
Le monde à venir sera militarisé. Nous avons le devoir d’en tenir compte, sous peine d’être définitivement marginalisé.

Sans doute pétrifiée, la Commission européenne se résigne et tente d’organiser la débâcle autrement qu’elle ne l’avait fait jusque-là.

Il est temps, désormais, de savoir si scandale il y a et, s’il y a scandale, que des mesures judiciaires soient prises à tous les niveaux.

Doit-on accepter qu’une immigration sauvage, incontrôlée, débarque en toute impunité sur le territoire européen ?

C’est l’Italie qui a raison : une dette aussi lourde que la sienne, mais aussi que la nôtre, quoique moindre, est un boulet qui nous empêchera à jamais de retrouver les chemins de la croissance et de la prospérité.


Alors qu’on vient d’apprendre que le passe sanitaire risque d’être voté sans débat ni amendement, demain, au Parlerment européen, Gilbert Collard alerte sur les dangers

Même en matière de stratégie vaccinale, l’Union européenne, arc-boutée à son idéologie, ivre de son impuissance, pousse un peu plus la Russie hors d’Europe.

Une liberté retrouvée pour les uns, une servitude volontaire pour les autres.

La réalité rattrape toujours les fautes, les chimères et fictions des politiques…

L’utilisation du vaccin AstraZeneca est suspendu dans une dizaine de pays européens, dont la France. Que peut faire l’Europe, à qui Joe Biden vient de

Quinze ans pour s’apercevoir d’un problème que nous dénonçons à cor et à cri, dans l’indifférence générale : à ce rythme, Pékin a encore de belles années devant elle.

C’est tellement important, le couple franco-allemand. En attendant : Papiere, bitte!

Le taux de vaccination dans l’Union européenne ne dépasse pas 3 % de la population, quand il atteint 30 % en Grande-Bretagne, et bien mieux encore en Israël.

Les peuples sondés sont de plus en plus rétifs à la politique sanitaire de leurs gouvernements respectifs, tandis que celui de France demeure le plus sceptique quant à la politique en question.

Il en est des avions de chasse comme des vaccins et, bien entendu, de tant d’autres choses.

De toute façon, on devine qu’avec la proverbiale célérité de nos administrations, il s’écoulera encore beaucoup de sérum dans les tubulures de nos services de réanimation avant que ce Spoutnik-là ne soit mis en orbite chez nous…

Il est à parier que, pendant longtemps encore, l’anglais régnera dans les instances européennes et internationales.
L’urgente priorité du moment est que tous les citoyens prennent connaissance de cette invitation pressante du Conseil de l’Europe si, d’aventure, on s’acheminait vers une obligation de fait à se faire vacciner.

Juan Guaidó ne peut plus prétendre bloquer les divers fonds détenus par la Banque du Venezuela dans plusieurs pays de l’Union européenne.

Dans la bulle bruxelloise, la migration est la chasse gardée des ONG et des députés européens les plus idéologiques.

La Grande-Bretagne refuse d’accorder à l’Union européenne le rang d’État souverain en privant son ambassadeur au Royaume-Uni de tous les droits et privilèges diplomatiques.

Les voyageurs en provenance d’un pays hors de l’Union européenne ? Le gouvernement compte sur leur responsabilité et sur leur sens de l’honneur. Les Français apprécieront…

France : capitale Berlin. Chef d’État : Angela Merkel.

Alors que le Royaume-Uni conserve sa souveraineté, l’Espagne récupère une libre circulation des personnes et des biens.

Du sang et des larmes, pendant qu’on y est !

L’Union européenne bureaucratique, laboratoire de la globalisation, déjà mitée par la Pologne et la Hongrie, commence à sentir le sapin.

Au-dessus du souverain, il n’y a personne. En dessous, il n’y a que des vassaux.
Le monde à venir sera militarisé. Nous avons le devoir d’en tenir compte, sous peine d’être définitivement marginalisé.

Sans doute pétrifiée, la Commission européenne se résigne et tente d’organiser la débâcle autrement qu’elle ne l’avait fait jusque-là.

Il est temps, désormais, de savoir si scandale il y a et, s’il y a scandale, que des mesures judiciaires soient prises à tous les niveaux.

Doit-on accepter qu’une immigration sauvage, incontrôlée, débarque en toute impunité sur le territoire européen ?

C’est l’Italie qui a raison : une dette aussi lourde que la sienne, mais aussi que la nôtre, quoique moindre, est un boulet qui nous empêchera à jamais de retrouver les chemins de la croissance et de la prospérité.
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