Union Européenne

La Suisse l’a montré tout au long de son Histoire : elle est tout sauf molle !

Pas moins de quatre études différentes, dont la dernière provenant de l’université de Wageningen aux Pays-Bas, prévoient des conséquences désastreuses pour la sécurité alimentaire européenne.

Le Président français propose, encore, des mesures dramatiques pour un pays, le sien, déjà submergé.
Une décision qui avantage la France, désireuse de relancer sa filière nucléaire, mais aussi la Pologne et la République tchèque…

Les réseaux sociaux vaccino-sceptiques bruissent. Monter des convois au départ de toutes les régions françaises en direction de Paris. Bloquer la capitale. Repartir vers Bruxelles rejoindre des manifestants venus des quatre coins de l’Europe

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Vouloir remettre en cause le siège strasbourgeois du Parlement européen, inscrit dans les traités, procède en fait d’une volonté délibérée d’étouffer toute véritable renaissance européenne sur les bords du Rhin.

Paradoxal de préconiser, pour un continent vieillissant qui crève de ne pas avoir d’enfants au point que ses gouvernants, comme en Allemagne, se disent forcés d’importer ceux des autres, une mesure favorisant toujours moins de natalité.
Malte est, en effet, le dernier pays européen où l’avortement n’est pas légal. Pour la France, c’est un positionnement qui ne passe pas.

Quelle naïveté ! Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille.

À côté de l’hystérisation macronienne, tant de sagesse et de prudence rassure. Mais qu’un Premier ministre belge en poste depuis un an seulement fasse la leçon au Président français au début de sa présidence du Conseil de l’Union est tout de même humiliant.

Tweet tout chaud, datant du 6 janvier, du très dynamique Jean-Baptiste Djebarri, ministre délégué chargé des Transports : « In Europe we trust »…

Il est donc attendu en direct de Bruxelles sur le sujet, nonobstant la campagne tricolore du candidat non déclaré…

Dans ce long entretien accordé à nos confrères du Parisien, il y a autrement plus intéressant : sa vision de l’Europe, par exemple.

J’ai souvenir qu’on nous parlait de subsidiarité. Seulement voilà, lorsque les pays adhèrent à l’Union européenne, comme la Pologne l’a fait en 2004, ils doivent désormais mettre leurs lois en conformité avec les règlements du régime de Bruxelles…

Ce qu’il y avait de choquant dans cette image, c’était la disparition du drapeau français : les deux ne pouvaient-ils pas coexister, comme dans nos mairies ? Non : l’un remplaçait l’autre.

Même s’il en rêvait et en rêve sans doute encore, Emmanuel Macron ne sera donc pas le « président de l’Europe », titre qui n’existe pas, mais seulement le brasseur d’idées à soumettre à ses alter ego…
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.

Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.

Finalement, il n’est peut-être pas mauvais d’envoyer dans nos Parlements quelques agrégés de philo. Et pas seulement des banquiers ou des commerciaux.

La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.

La souveraineté européenne est la solution d’Emmanuel Macron, la France se fondant, se sublimant même dans une entité supérieure : l’Europe.

Les Allemands et, par voie de conséquence (!), les Européens ont-ils hérité d’une main de fer dans un gant de fer ?

L’affirmation d’une Europe en apparence plus forte et souveraine n’est qu’une nouvelle étape vers le dépouillement des attributs de souveraineté des États-nations et l’achèvement du nouvel ordre mondial.

La question de la politique de vaccination semble avoir été le déclencheur de l’intervention de McGregor, traitant les dirigeants de son pays de « laquais de l’Union européenne » après avoir qualifié de « risible » le « discours sur l’obligation de prescrire » des vaccins.

Marine Le Pen se construit, peu à peu, une stature internationale ou, tout du moins, européenne.
Les racines chrétiennes des sociétés contemporaines sont bien réelles, et la suppression de mots comme « Noël » cherche à les occulter, en dépit du réel.

La langue est l’expression d’une vision politique et sociale, et ce guide infame ne fait que confirmer la dérive idéologique d’une institution européenne censée représenter le « bien commun ».

La Suisse l’a montré tout au long de son Histoire : elle est tout sauf molle !

Pas moins de quatre études différentes, dont la dernière provenant de l’université de Wageningen aux Pays-Bas, prévoient des conséquences désastreuses pour la sécurité alimentaire européenne.

Le Président français propose, encore, des mesures dramatiques pour un pays, le sien, déjà submergé.
Une décision qui avantage la France, désireuse de relancer sa filière nucléaire, mais aussi la Pologne et la République tchèque…

Les réseaux sociaux vaccino-sceptiques bruissent. Monter des convois au départ de toutes les régions françaises en direction de Paris. Bloquer la capitale. Repartir vers Bruxelles rejoindre des manifestants venus des quatre coins de l’Europe

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Vouloir remettre en cause le siège strasbourgeois du Parlement européen, inscrit dans les traités, procède en fait d’une volonté délibérée d’étouffer toute véritable renaissance européenne sur les bords du Rhin.

Paradoxal de préconiser, pour un continent vieillissant qui crève de ne pas avoir d’enfants au point que ses gouvernants, comme en Allemagne, se disent forcés d’importer ceux des autres, une mesure favorisant toujours moins de natalité.
Malte est, en effet, le dernier pays européen où l’avortement n’est pas légal. Pour la France, c’est un positionnement qui ne passe pas.

Quelle naïveté ! Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille.

À côté de l’hystérisation macronienne, tant de sagesse et de prudence rassure. Mais qu’un Premier ministre belge en poste depuis un an seulement fasse la leçon au Président français au début de sa présidence du Conseil de l’Union est tout de même humiliant.

Tweet tout chaud, datant du 6 janvier, du très dynamique Jean-Baptiste Djebarri, ministre délégué chargé des Transports : « In Europe we trust »…

Il est donc attendu en direct de Bruxelles sur le sujet, nonobstant la campagne tricolore du candidat non déclaré…

Dans ce long entretien accordé à nos confrères du Parisien, il y a autrement plus intéressant : sa vision de l’Europe, par exemple.

J’ai souvenir qu’on nous parlait de subsidiarité. Seulement voilà, lorsque les pays adhèrent à l’Union européenne, comme la Pologne l’a fait en 2004, ils doivent désormais mettre leurs lois en conformité avec les règlements du régime de Bruxelles…

Ce qu’il y avait de choquant dans cette image, c’était la disparition du drapeau français : les deux ne pouvaient-ils pas coexister, comme dans nos mairies ? Non : l’un remplaçait l’autre.

Même s’il en rêvait et en rêve sans doute encore, Emmanuel Macron ne sera donc pas le « président de l’Europe », titre qui n’existe pas, mais seulement le brasseur d’idées à soumettre à ses alter ego…
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.

Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.

Finalement, il n’est peut-être pas mauvais d’envoyer dans nos Parlements quelques agrégés de philo. Et pas seulement des banquiers ou des commerciaux.

La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.

La souveraineté européenne est la solution d’Emmanuel Macron, la France se fondant, se sublimant même dans une entité supérieure : l’Europe.

Les Allemands et, par voie de conséquence (!), les Européens ont-ils hérité d’une main de fer dans un gant de fer ?

L’affirmation d’une Europe en apparence plus forte et souveraine n’est qu’une nouvelle étape vers le dépouillement des attributs de souveraineté des États-nations et l’achèvement du nouvel ordre mondial.

La question de la politique de vaccination semble avoir été le déclencheur de l’intervention de McGregor, traitant les dirigeants de son pays de « laquais de l’Union européenne » après avoir qualifié de « risible » le « discours sur l’obligation de prescrire » des vaccins.

Marine Le Pen se construit, peu à peu, une stature internationale ou, tout du moins, européenne.
Les racines chrétiennes des sociétés contemporaines sont bien réelles, et la suppression de mots comme « Noël » cherche à les occulter, en dépit du réel.

La langue est l’expression d’une vision politique et sociale, et ce guide infame ne fait que confirmer la dérive idéologique d’une institution européenne censée représenter le « bien commun ».
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