Union Européenne

Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.

L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.

Mais pour arriver à ses fins, pourra-t-il réellement faire l’économie d’un référendum ? C’est le dernier (maigre) espoir pour ceux qui sont attachés à la souveraineté des États.

Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.

Un hiatus idéologique dérange l’institution. Les femmes ukrainiennes accueillies dans ces pays conservateurs pourraient courir un autre grave danger : celui de ne pas pouvoir avorter.

Sur le papier, c’est idyllique. Mais par les temps qui courent, les entrepreneurs auront peut-être d’autres soucis en tête !

Mettre en place des listes « européennes » permet donc de déconnecter encore un peu plus « l’électeur » de « l’élu ».

La Chine, avec son crédit social que l’on a souvent moqué, est devenue un modèle pour certains.

Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.

La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.

Trois millions de franchissements clandestins des frontières des membres de l’Union européenne ont été détectés en sept ans.

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, à l’occasion de sa visite en Ukraine, a remis au président Volodymyr Zelensky un formulaire d’adhésion

Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.

Un signe qui ne trompe pas et qui démontre à quel point Orbán est l’antithèse de Macron : si, en France, les déclassés et les remplacés de la mondialisation sont les grands perdants et les oubliés du Président, en Hongrie ils gagnent et sont écoutés.

Qu’a donc fait la Hongrie, au-delà de ces accusations, pour mériter cet acharnement, alors que le pays traverse, comme ses voisins, une crise économique de plus en plus grave à cause de la guerre en Ukraine ?

À part le titre ronflant, ce rapport est un enfilement de phrases creuses…

Bien que louable, la mutualisation des achats de gaz n’aura malheureusement aucun impact immédiat sur les prix…

Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?

Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.

Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.

Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.

« Il n’y a pas une culture française mais des cultures françaises », avait dit Emmanuel Macron, durant sa campagne, mais c’est pourtant celle-là – la grande, l’éternelle, la belle, la seule qui incarne notre pays dans l’imaginaire étranger
Le drapeau européen devrait donc flotter sous l’Arc de Triomphe, ces 10 et 11 mars, jusqu’à la fin du sommet, vendredi après-midi, a indiqué l’Élysée.

Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…

Quant aux nations, pour avoir une voix, elles doivent refuser de se diluer dans la chimère macronienne de l’Union européenne d’une part, et dans la tutelle bien réelle de l’OTAN d’autre part.

Les Frères musulmans n’osaient pas en rêver, les idiots utiles l’ont fait.

Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.

Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.

L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.

Mais pour arriver à ses fins, pourra-t-il réellement faire l’économie d’un référendum ? C’est le dernier (maigre) espoir pour ceux qui sont attachés à la souveraineté des États.

Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.

Un hiatus idéologique dérange l’institution. Les femmes ukrainiennes accueillies dans ces pays conservateurs pourraient courir un autre grave danger : celui de ne pas pouvoir avorter.

Sur le papier, c’est idyllique. Mais par les temps qui courent, les entrepreneurs auront peut-être d’autres soucis en tête !

Mettre en place des listes « européennes » permet donc de déconnecter encore un peu plus « l’électeur » de « l’élu ».

La Chine, avec son crédit social que l’on a souvent moqué, est devenue un modèle pour certains.

Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.

La France fait preuve d’une étrange soumission à la machinerie bruxelloise.

Trois millions de franchissements clandestins des frontières des membres de l’Union européenne ont été détectés en sept ans.

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, à l’occasion de sa visite en Ukraine, a remis au président Volodymyr Zelensky un formulaire d’adhésion

Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.

Un signe qui ne trompe pas et qui démontre à quel point Orbán est l’antithèse de Macron : si, en France, les déclassés et les remplacés de la mondialisation sont les grands perdants et les oubliés du Président, en Hongrie ils gagnent et sont écoutés.

Qu’a donc fait la Hongrie, au-delà de ces accusations, pour mériter cet acharnement, alors que le pays traverse, comme ses voisins, une crise économique de plus en plus grave à cause de la guerre en Ukraine ?

À part le titre ronflant, ce rapport est un enfilement de phrases creuses…

Bien que louable, la mutualisation des achats de gaz n’aura malheureusement aucun impact immédiat sur les prix…

Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres ?

Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.

Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.

Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.

« Il n’y a pas une culture française mais des cultures françaises », avait dit Emmanuel Macron, durant sa campagne, mais c’est pourtant celle-là – la grande, l’éternelle, la belle, la seule qui incarne notre pays dans l’imaginaire étranger
Le drapeau européen devrait donc flotter sous l’Arc de Triomphe, ces 10 et 11 mars, jusqu’à la fin du sommet, vendredi après-midi, a indiqué l’Élysée.

Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…

Quant aux nations, pour avoir une voix, elles doivent refuser de se diluer dans la chimère macronienne de l’Union européenne d’une part, et dans la tutelle bien réelle de l’OTAN d’autre part.

Les Frères musulmans n’osaient pas en rêver, les idiots utiles l’ont fait.

Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.
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