Tribune


C’est une exigence de salut public que le macronisme soit chassé du pouvoir !
On est face à une réalité de nature fondamentalement différente de celle des autres religions.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.


Bien sûr, l’État faible qui ne souhaite pas avouer sa faiblesse va continuer de rouler des mécaniques là où il le peut : mettre au pas les écoles privées (catholiques) hors contrat, éradiquer l’école à la maison, et il prétendra lutter contre le séparatisme.

Mme Souad Zitouni, députée LREM de la première circonscription de Vaucluse, est intervenue, ces derniers jours, à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la loi
Ce recours coûteux à la longue liste d’observatoires socio-économiques illustre bien la présidence de Macron par l’audit permanent d’une société dont il est déconnecté.

Par ces nouvelles dispositions l’AMA renonce aux effets de prévention qu’exerçait le sport sur les toxicomanies ; elle renonce à l’exemplarité dont il était porteur pour la jeunesse…

Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.

La majorité du Parlement européen se félicite de l’arrivée de Joe Biden au pouvoir. Et pourtant, l’Europe et la France voient partir leur meilleure chance d’exister à nouveau au niveau international.

En moyenne annuelle, les éoliennes ne fournissent pas plus de 20 à 25 % de leur puissance nominale. Dérisoire.

Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.

L’analyse des deux économistes occulte complètement les enjeux de pouvoir et la redistribution des cartes que la mutation économique en cours est en train de catalyser, avec le concours zélé des gouvernements.

Le Premier ministre mentionne le triptyque tester/alerter/protéger. Un mot nous manque terriblement. Il s’agit du verbe soigner.

Mais au-delà de la forme et du pathos roboratif, la perte de crédibilité politique du président de la République aux yeux des Français s’explique simplement : il n’a pas l’étoffe d’un chef d’État.


Reste à définir ce qu’Olivier Véran appelle le populisme.

Mais le temps presse car la France a déjà un pied dans le néant.

Joe Biden affiche sa volonté de remettre en place un leadership mondial américain aux accents bellicistes. Cela ne peut que nous inquiéter après le mandat de Donald Trump marqué par des années sans aventure militaire.

Je m’associe pleinement aux voix de plus en plus nombreuses qui s’élèvent contre cette stratégie gouvernementale « Confinement – Couvre-feu – Vaccin » qui nie toute efficacité à la médecine.

Il faut redire combien le renouveau industriel de la France est vital pour l’avenir. C’est seulement à cette condition que nous pourrons retrouver une authentique autonomie stratégique et notre souveraineté tous azimuts.

Voici maintenant un an que nous subissons les effets d’un virus, mais surtout ses dommages collatéraux avec la gestion catastrophique du gouvernement.
Toute l’Europe est désormais soumise à la politique idéologique progressiste de la Silicon Valley américaine. Vous avez dit vassalisation ? Le mot est faible.

Ces élections lui offrent donc une occasion rêvée de marquer l’Histoire. Elles lui offrent également une candidature en or dans quatre ans.

La citadelle est assiégée, déjà envahie, les murailles s’écroulent pendant que nos soldats sont engagés au loin dans une lutte sans espoir de succès final.

C’est la tradition d’adresser ses vœux à ceux qu’on aime. Et c’est très volontiers que la rédaction de Boulevard Voltaire se plie à cette heureuse coutume.

Pour le ministre de la Justice polonais, « la liberté d’expression et la liberté de débat sont l’essence même de la démocratie […] les médias sociaux devraient être un espace de liberté d’expression ».


C’est une exigence de salut public que le macronisme soit chassé du pouvoir !
On est face à une réalité de nature fondamentalement différente de celle des autres religions.
Tout est fait pour que le fossé entre les Français et leur police se creuse chaque jour davantage.


Bien sûr, l’État faible qui ne souhaite pas avouer sa faiblesse va continuer de rouler des mécaniques là où il le peut : mettre au pas les écoles privées (catholiques) hors contrat, éradiquer l’école à la maison, et il prétendra lutter contre le séparatisme.

Mme Souad Zitouni, députée LREM de la première circonscription de Vaucluse, est intervenue, ces derniers jours, à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la loi
Ce recours coûteux à la longue liste d’observatoires socio-économiques illustre bien la présidence de Macron par l’audit permanent d’une société dont il est déconnecté.

Par ces nouvelles dispositions l’AMA renonce aux effets de prévention qu’exerçait le sport sur les toxicomanies ; elle renonce à l’exemplarité dont il était porteur pour la jeunesse…

Les Italiens peuvent en être certains : Draghi ne fera rien qui puisse nuire au cénacle financier qui l’a promu au sommet.

La majorité du Parlement européen se félicite de l’arrivée de Joe Biden au pouvoir. Et pourtant, l’Europe et la France voient partir leur meilleure chance d’exister à nouveau au niveau international.

En moyenne annuelle, les éoliennes ne fournissent pas plus de 20 à 25 % de leur puissance nominale. Dérisoire.

Hormis quelques secteurs de pointe, comme le luxe ou l’aéronautique, l’économie française repose désormais essentiellement sur la finance, les assurances, les services et le tourisme.

L’analyse des deux économistes occulte complètement les enjeux de pouvoir et la redistribution des cartes que la mutation économique en cours est en train de catalyser, avec le concours zélé des gouvernements.

Le Premier ministre mentionne le triptyque tester/alerter/protéger. Un mot nous manque terriblement. Il s’agit du verbe soigner.

Mais au-delà de la forme et du pathos roboratif, la perte de crédibilité politique du président de la République aux yeux des Français s’explique simplement : il n’a pas l’étoffe d’un chef d’État.


Reste à définir ce qu’Olivier Véran appelle le populisme.

Mais le temps presse car la France a déjà un pied dans le néant.

Joe Biden affiche sa volonté de remettre en place un leadership mondial américain aux accents bellicistes. Cela ne peut que nous inquiéter après le mandat de Donald Trump marqué par des années sans aventure militaire.

Je m’associe pleinement aux voix de plus en plus nombreuses qui s’élèvent contre cette stratégie gouvernementale « Confinement – Couvre-feu – Vaccin » qui nie toute efficacité à la médecine.

Il faut redire combien le renouveau industriel de la France est vital pour l’avenir. C’est seulement à cette condition que nous pourrons retrouver une authentique autonomie stratégique et notre souveraineté tous azimuts.

Voici maintenant un an que nous subissons les effets d’un virus, mais surtout ses dommages collatéraux avec la gestion catastrophique du gouvernement.
Toute l’Europe est désormais soumise à la politique idéologique progressiste de la Silicon Valley américaine. Vous avez dit vassalisation ? Le mot est faible.

Ces élections lui offrent donc une occasion rêvée de marquer l’Histoire. Elles lui offrent également une candidature en or dans quatre ans.

La citadelle est assiégée, déjà envahie, les murailles s’écroulent pendant que nos soldats sont engagés au loin dans une lutte sans espoir de succès final.

C’est la tradition d’adresser ses vœux à ceux qu’on aime. Et c’est très volontiers que la rédaction de Boulevard Voltaire se plie à cette heureuse coutume.

Pour le ministre de la Justice polonais, « la liberté d’expression et la liberté de débat sont l’essence même de la démocratie […] les médias sociaux devraient être un espace de liberté d’expression ».
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