Tribune

Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.

On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie…

Et nous les avons vu défiler, les uns après les autres, ministre de la Justice, de l’Intérieur, et Président, tous avec leurs mines déconfites.

Il y a comme un bug. Le logiciel européen ne répond plus, fracassé sur le mur du réel. Ses algorithmes ne cessent de se contredire.
La seule façon de contrer la manip’ du grand business euro-mondialiste serait un mouvement de grande union souverainiste.
Malgré les annonces mirobolantes du chef de l’État en matière de renforts de police, lesquels arrivent de toute façon bien trop tard, ce sera donc aux Français de tirer les enseignements des ces fiascos et de ces mensonges successifs.

Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.

Au vu de sa gestion épidémique en cours, on peut craindre le pire.

Qu’a fait le gouvernement ? La même chose que face à l’islamisme : semblant.

Ce sont des félicitations et non des remontrances que Mgr Aupetit devrait adresser à l’abbé Guelfucci…

Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.
Après avoir « géré » la crise du Covid-19, le gouvernement entend procéder à un changement anthropologique majeur et soudain en faisant de la mort une modalité d’organisation de la vie.

Il ne doit pas y avoir, bien sûr, d’acharnement thérapeutique, mais il doit y avoir un respect absolu de la vie. C’est une question d’humanité.
Lorsque les acteurs de notre démocratie représentative sont pris en défaut, ils se croient particulièrement habiles en répondant à côté de la plaque.

Si les décisions prises sous l’ère Sarkozy de réduire de façon drastique les effectifs de la police et de la gendarmerie ont accéléré le processus, celui-ci était, en réalité, engagé bien avant.
L’abandon progressif du nucléaire constitue la première faute stratégique de nos gouvernants.

Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?

Ils acceptent l’impuissance de l’État et la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation de la santé dans le pays.

Les cancres ont trouvé à la télévision des émissions et des produits culturels à leur portée, des séries roboratives, des fictions binaires, des shows de télé-réalité…

Cette stratégie associe trois ressorts classiques de la désinformation : l’amalgame (grossier), la déformation mensongère des faits, la répétition massive et tous azimuts du mensonge.

Pour simplifier, quand la France donne cent euros à la Roumanie et à la Pologne, « par solidarité », ces deux pays achètent pour cinquante euros d’armes américaines.

L’intervention musclée du ministre de l’Intérieur ne constitue qu’une énième gesticulation sans conséquence.

Il a osé dire que la Justice française est négrophobe, sans oublier la rhétorique habituelle consistant à accuser la police de racisme.

Attaché aux valeurs portées par le général de Gaulle, L’Avenir français, aux côtés de ses alliés, se battra pour que l’idée d’une France libre ne reste pas qu’une simple référence historique.

La classe moyenne française est la grande persécutée de cette crise. Elle en sortira lessivée, la proie des grands groupes financiers qui s’enrichiront en ramassant les morceaux à la casse.
N’aurait il pas été plus « substantiel », et donc plus vrai, d’intituler directement sa proposition de loi « projet pour le droit à une aide active à mourir » ?

La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…

Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.

On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie…

Et nous les avons vu défiler, les uns après les autres, ministre de la Justice, de l’Intérieur, et Président, tous avec leurs mines déconfites.

Il y a comme un bug. Le logiciel européen ne répond plus, fracassé sur le mur du réel. Ses algorithmes ne cessent de se contredire.
La seule façon de contrer la manip’ du grand business euro-mondialiste serait un mouvement de grande union souverainiste.
Malgré les annonces mirobolantes du chef de l’État en matière de renforts de police, lesquels arrivent de toute façon bien trop tard, ce sera donc aux Français de tirer les enseignements des ces fiascos et de ces mensonges successifs.

Pour les victimes mondiales de l’ingérence américaine, la plus grande terreur n’est pas le suprémacisme blanc mais le suprémacisme de la Maison-Blanche.

Au vu de sa gestion épidémique en cours, on peut craindre le pire.

Qu’a fait le gouvernement ? La même chose que face à l’islamisme : semblant.

Ce sont des félicitations et non des remontrances que Mgr Aupetit devrait adresser à l’abbé Guelfucci…

Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.
Après avoir « géré » la crise du Covid-19, le gouvernement entend procéder à un changement anthropologique majeur et soudain en faisant de la mort une modalité d’organisation de la vie.

Il ne doit pas y avoir, bien sûr, d’acharnement thérapeutique, mais il doit y avoir un respect absolu de la vie. C’est une question d’humanité.
Lorsque les acteurs de notre démocratie représentative sont pris en défaut, ils se croient particulièrement habiles en répondant à côté de la plaque.

Si les décisions prises sous l’ère Sarkozy de réduire de façon drastique les effectifs de la police et de la gendarmerie ont accéléré le processus, celui-ci était, en réalité, engagé bien avant.
L’abandon progressif du nucléaire constitue la première faute stratégique de nos gouvernants.

Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?

Ils acceptent l’impuissance de l’État et la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur l’organisation de la santé dans le pays.

Les cancres ont trouvé à la télévision des émissions et des produits culturels à leur portée, des séries roboratives, des fictions binaires, des shows de télé-réalité…

Cette stratégie associe trois ressorts classiques de la désinformation : l’amalgame (grossier), la déformation mensongère des faits, la répétition massive et tous azimuts du mensonge.

Pour simplifier, quand la France donne cent euros à la Roumanie et à la Pologne, « par solidarité », ces deux pays achètent pour cinquante euros d’armes américaines.

L’intervention musclée du ministre de l’Intérieur ne constitue qu’une énième gesticulation sans conséquence.

Il a osé dire que la Justice française est négrophobe, sans oublier la rhétorique habituelle consistant à accuser la police de racisme.

Attaché aux valeurs portées par le général de Gaulle, L’Avenir français, aux côtés de ses alliés, se battra pour que l’idée d’une France libre ne reste pas qu’une simple référence historique.

La classe moyenne française est la grande persécutée de cette crise. Elle en sortira lessivée, la proie des grands groupes financiers qui s’enrichiront en ramassant les morceaux à la casse.
N’aurait il pas été plus « substantiel », et donc plus vrai, d’intituler directement sa proposition de loi « projet pour le droit à une aide active à mourir » ?

La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
