Tribune

Mais si Éric Zemmour n’était pas physiquement à Madrid, tout l’esprit qu’il incarne, tout ce qu’il défend, était bien là. À commencer par le discours de Santiago Abascal…

Viktor Orbán est taillé pour résister. Il fera entendre la voix de son peuple en organisant un référendum, en février 2022, sur le sujet de la protection des mineurs.

M. Macron vient de célébrer cet anniversaire et nous donne la mission exaltante de convaincre le monde entier d’abolir la peine capitale. La tâche va être rude ; je doute que ce projet soit favorablement accueilli partout…

Il se propose enfin de remplacer les sommets France-Afrique par des sommets Europe-Afrique, ainsi nos intérêts seront-ils mieux défendus par Bruxelles et l’Allemagne…

Le roman national ne peut pas se définir selon une approche communautariste, il est global : on est français et nous devons d’abord assumer notre part de francité… point à la ligne !

Il serait intéressant que ceux qui se prononcent doctement sur le sujet depuis le fond de leurs bureaux nous expliquent comment, au cœur d’une manifestation qui dégénère, il convient d’interpréter les termes de la loi.

Le vide spirituel que nous observons dans notre pays doit être comblé.

C’est lui, aussi, qui est la cible de tirs nourris venant de toutes parts.

Trahir le secret de la confession revient ainsi à trahir l’aveu fait à Dieu lui-même.

Il est grand temps qu’à côté de l’indispensable construction des 40.000 places de prison manquantes, l’État apporte des réponses concrètes à celles et ceux qui sont chargés, en bout de chaîne, de contenir une population que la société a décidé de mettre momentanément à l’écart.

Pour redonner du sens et de l’efficacité au système de lutte contre la délinquance, il convient de réorganiser de fond en comble l’architecture sécuritaire du pays.

Lundi 20 septembre dernier, Emmanuel Macron a souhaité demander pardon aux harkis au nom de la France et a promis de porter un projet de

Jamais la politique sanitaire n’a autant préoccupé nos vies et, paradoxalement, jamais notre système hospitalier n’a été à ce point en danger, au détriment de la santé des Français.

Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.

Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?

La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…

On sait que la droite française porte un lourd héritage des occasions manquées.

Gageons que la gifle reçue réveille notre conscience nationale !

Avoir une réelle vision de ce que doit être une politique de sécurité pour le pays pour les prochaines décennies, c’est être capable, tout en anticipant les défis à venir, de forger un outil sécuritaire solide, fiable et performant.

On retiendra de ce discours déjà électoral un grand manque d’ambition pour la police nationale.

Diriger, rassembler, incarner : essayons de retenir ces critères…

Mais quand et qui va pouvoir payer la facture ?

Christian de Moliner était, à sa manière, un lanceur d’alerte et un éveilleur des consciences.

Quoi qu’il en soit, Zemmour a déjà réussi son pari : avant même d’entrer en campagne, il contraint les nains qui occupent l’espace politique à parler des vrais sujets.

Pendant ce temps, Jean-Marie Le Pen est jugé pour un mot prononcé sur le site du Front national… le 6 juin 2014.

Qui peut prendre de telles mesures ? En tous cas, pas ceux qui dirigent le pays depuis tant d’années.

Cette étape ne peut que souligner davantage la manipulation éhontée qui consiste à faire croire que la théâtrocratie actuelle serait un tant soit peu libérale.

On prend une kalachnikov et on va se battre sur place à côté des rares qui résistent, ou bien on prend des Afghans chez soi et on ferme sa gueule, on n’en parle à personne…. Ça, c’est du courage, de l’engagement et de la bonté d’âme. Tout le reste n’est que pitrerie !

Mais si Éric Zemmour n’était pas physiquement à Madrid, tout l’esprit qu’il incarne, tout ce qu’il défend, était bien là. À commencer par le discours de Santiago Abascal…

Viktor Orbán est taillé pour résister. Il fera entendre la voix de son peuple en organisant un référendum, en février 2022, sur le sujet de la protection des mineurs.

M. Macron vient de célébrer cet anniversaire et nous donne la mission exaltante de convaincre le monde entier d’abolir la peine capitale. La tâche va être rude ; je doute que ce projet soit favorablement accueilli partout…

Il se propose enfin de remplacer les sommets France-Afrique par des sommets Europe-Afrique, ainsi nos intérêts seront-ils mieux défendus par Bruxelles et l’Allemagne…

Le roman national ne peut pas se définir selon une approche communautariste, il est global : on est français et nous devons d’abord assumer notre part de francité… point à la ligne !

Il serait intéressant que ceux qui se prononcent doctement sur le sujet depuis le fond de leurs bureaux nous expliquent comment, au cœur d’une manifestation qui dégénère, il convient d’interpréter les termes de la loi.

Le vide spirituel que nous observons dans notre pays doit être comblé.

C’est lui, aussi, qui est la cible de tirs nourris venant de toutes parts.

Trahir le secret de la confession revient ainsi à trahir l’aveu fait à Dieu lui-même.

Il est grand temps qu’à côté de l’indispensable construction des 40.000 places de prison manquantes, l’État apporte des réponses concrètes à celles et ceux qui sont chargés, en bout de chaîne, de contenir une population que la société a décidé de mettre momentanément à l’écart.

Pour redonner du sens et de l’efficacité au système de lutte contre la délinquance, il convient de réorganiser de fond en comble l’architecture sécuritaire du pays.

Lundi 20 septembre dernier, Emmanuel Macron a souhaité demander pardon aux harkis au nom de la France et a promis de porter un projet de

Jamais la politique sanitaire n’a autant préoccupé nos vies et, paradoxalement, jamais notre système hospitalier n’a été à ce point en danger, au détriment de la santé des Français.

Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.

Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?

La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…

On sait que la droite française porte un lourd héritage des occasions manquées.

Gageons que la gifle reçue réveille notre conscience nationale !

Avoir une réelle vision de ce que doit être une politique de sécurité pour le pays pour les prochaines décennies, c’est être capable, tout en anticipant les défis à venir, de forger un outil sécuritaire solide, fiable et performant.

On retiendra de ce discours déjà électoral un grand manque d’ambition pour la police nationale.

Diriger, rassembler, incarner : essayons de retenir ces critères…

Mais quand et qui va pouvoir payer la facture ?

Christian de Moliner était, à sa manière, un lanceur d’alerte et un éveilleur des consciences.

Quoi qu’il en soit, Zemmour a déjà réussi son pari : avant même d’entrer en campagne, il contraint les nains qui occupent l’espace politique à parler des vrais sujets.

Pendant ce temps, Jean-Marie Le Pen est jugé pour un mot prononcé sur le site du Front national… le 6 juin 2014.

Qui peut prendre de telles mesures ? En tous cas, pas ceux qui dirigent le pays depuis tant d’années.

Cette étape ne peut que souligner davantage la manipulation éhontée qui consiste à faire croire que la théâtrocratie actuelle serait un tant soit peu libérale.

On prend une kalachnikov et on va se battre sur place à côté des rares qui résistent, ou bien on prend des Afghans chez soi et on ferme sa gueule, on n’en parle à personne…. Ça, c’est du courage, de l’engagement et de la bonté d’âme. Tout le reste n’est que pitrerie !
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
