Tribune

Arrêtons de jouer les tartarins ; il n’y a pas d’enjeu vital pour nous.
Heureusement, depuis la flambée des cours, le vent tourne et les langues se délient. Le Président a enfin compris l’impasse dans laquelle nous nous étions engouffrés et a revu à 180° sa politique énergétique.

Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !

Il ne s’agit nullement d’octroyer un permis de tuer à qui que ce soit.

Avec une circulation du virus Omicron aussi forte, la vaccination de masse constitue plus une stratégie hasardeuse, voire dangereuse, et risque de conduire à un scandale sanitaire sans précédent.

Si on ne peut qu’applaudir à la dissolution du CFCM qui a institutionnalisé les ingérences étrangères, pourquoi vouloir à nouveau organiser et réglementer la religion musulmane ?

Lors des prochaines élections présidentielles et législatives, le choix crucial auquel les Français sont confrontés est celui de la survie de la France…

« Porter la liberté est la seule charge qui redresse bien le dos » (Patrick Chamoiseau)

Les mouvements salafistes et leur détermination à vouloir appliquer en France la « charia » sont l’exemple accompli du dépérissement de l’État et de son échec…

Plus gardiens de squares que policiers, ce sont ainsi des centaines d’agents qui, à cause des choix idéologiques de leurs élus, ne contribueront que de très loin à la sécurité publique.

Le ministre dont on pouvait louer le courage d’avocat ne peut que décevoir, tant la loi qu’il propose est loin des véritables préoccupations d’un public davantage en recherche d’équité que de justice.

À quelques semaines d’une élection majeure pour notre pays, je refuse d’être pris en otage par un pouvoir dont le seul objectif sera de se reconduire, fût-ce au prix de l’instrumentalisation à son seul profit de l’une des plus graves crises sanitaires que la France ait connues au cours de son Histoire.

On réalise aujourd’hui que cette loi de 2016, dont on n’a vraiment pas mesuré le caractère inique lors de l’élection de 2017, peut mettre en péril notre démocratie.

Je ne peux m’empêcher d’ajouter à ce coup d’index rageur les mots affreux de « Ta gueule » et autres exclamations du même acabit. Pardon !

Nul doute qu’Emmanuel Macron, qui ne se fixe aucune limite, pas même celle de la décence, avait l’idée d’installer son concept de « souveraineté européenne » par une disparition pure et simple de notre emblème national.


Toute l’équipe de la rédaction se joint à moi pour vous remercier infiniment de votre fidélité.

Notre civilisation doit désormais s’écrire avec une gomme, celle qui efface les noms des hommes à admirer, et même leur sexe ou leur couleur.

Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.

Encore une fois, le sujet n’est pas la France réelle, mais l’individu Macron.

Pour comprendre la radicalité du changement d’attitude, il faut bien observer que ce calcul de « risque admissible », extrêmement courant en santé publique, irrigue d’innombrables situations de la vie publique.

S’ajoute la défiance vis-à-vis d’un ministre de la Justice qui n’a pas été accepté par les magistrats et dont l’incompétence dans les fonctions qui sont les siennes s’affiche chaque jour davantage.

La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.

Quant à Gisèle Halimi, elle s’installera ailleurs.

La souveraineté européenne est la solution d’Emmanuel Macron, la France se fondant, se sublimant même dans une entité supérieure : l’Europe.

Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.

Une fois encore, la police nationale va en ressortir fragilisée parce que des apprentis sorciers auront préféré faire valoir des corporatismes au lieu de l’intérêt des Français.

Le navire France tangue et roule au gré des vents et des événements, sans cap ni boussole.

Arrêtons de jouer les tartarins ; il n’y a pas d’enjeu vital pour nous.
Heureusement, depuis la flambée des cours, le vent tourne et les langues se délient. Le Président a enfin compris l’impasse dans laquelle nous nous étions engouffrés et a revu à 180° sa politique énergétique.

Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !

Il ne s’agit nullement d’octroyer un permis de tuer à qui que ce soit.

Avec une circulation du virus Omicron aussi forte, la vaccination de masse constitue plus une stratégie hasardeuse, voire dangereuse, et risque de conduire à un scandale sanitaire sans précédent.

Si on ne peut qu’applaudir à la dissolution du CFCM qui a institutionnalisé les ingérences étrangères, pourquoi vouloir à nouveau organiser et réglementer la religion musulmane ?

Lors des prochaines élections présidentielles et législatives, le choix crucial auquel les Français sont confrontés est celui de la survie de la France…

« Porter la liberté est la seule charge qui redresse bien le dos » (Patrick Chamoiseau)

Les mouvements salafistes et leur détermination à vouloir appliquer en France la « charia » sont l’exemple accompli du dépérissement de l’État et de son échec…

Plus gardiens de squares que policiers, ce sont ainsi des centaines d’agents qui, à cause des choix idéologiques de leurs élus, ne contribueront que de très loin à la sécurité publique.

Le ministre dont on pouvait louer le courage d’avocat ne peut que décevoir, tant la loi qu’il propose est loin des véritables préoccupations d’un public davantage en recherche d’équité que de justice.

À quelques semaines d’une élection majeure pour notre pays, je refuse d’être pris en otage par un pouvoir dont le seul objectif sera de se reconduire, fût-ce au prix de l’instrumentalisation à son seul profit de l’une des plus graves crises sanitaires que la France ait connues au cours de son Histoire.

On réalise aujourd’hui que cette loi de 2016, dont on n’a vraiment pas mesuré le caractère inique lors de l’élection de 2017, peut mettre en péril notre démocratie.

Je ne peux m’empêcher d’ajouter à ce coup d’index rageur les mots affreux de « Ta gueule » et autres exclamations du même acabit. Pardon !

Nul doute qu’Emmanuel Macron, qui ne se fixe aucune limite, pas même celle de la décence, avait l’idée d’installer son concept de « souveraineté européenne » par une disparition pure et simple de notre emblème national.


Toute l’équipe de la rédaction se joint à moi pour vous remercier infiniment de votre fidélité.

Notre civilisation doit désormais s’écrire avec une gomme, celle qui efface les noms des hommes à admirer, et même leur sexe ou leur couleur.

Aujourd’hui, la Commission européenne prend conscience, comme à chaque fois, que ce qu’elle a encouragé lui échappe et que, loin d’aider les travailleurs à trouver un équilibre dans leur vie, elle les plonge dans la précarité.

Encore une fois, le sujet n’est pas la France réelle, mais l’individu Macron.

Pour comprendre la radicalité du changement d’attitude, il faut bien observer que ce calcul de « risque admissible », extrêmement courant en santé publique, irrigue d’innombrables situations de la vie publique.

S’ajoute la défiance vis-à-vis d’un ministre de la Justice qui n’a pas été accepté par les magistrats et dont l’incompétence dans les fonctions qui sont les siennes s’affiche chaque jour davantage.

La Pologne, la Hongrie avaient donc raison de résister à l’oukase de Bruxelles concernant la promotion sexuelle à l’école primaire.

Quant à Gisèle Halimi, elle s’installera ailleurs.

La souveraineté européenne est la solution d’Emmanuel Macron, la France se fondant, se sublimant même dans une entité supérieure : l’Europe.

Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.

Une fois encore, la police nationale va en ressortir fragilisée parce que des apprentis sorciers auront préféré faire valoir des corporatismes au lieu de l’intérêt des Français.

Le navire France tangue et roule au gré des vents et des événements, sans cap ni boussole.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
