Tribune

Si les étrangers résidant sur le territoire national ont un jour les mêmes droits que les citoyens français, alors il n’y aura plus que des citoyens tout court, c’est-à-dire, à terme, des citoyens du monde.

À l’instar de ce qui se passe partout ailleurs, Macron et Darmanin font le choix de la facilité et sont sur le point de brader un des piliers fondamentaux de la République.

Aujourd’hui, cette enclave islamique, reste un lieu d’instabilité et de troubles. Les minorités serbes et tziganes, chrétiennes, y sont perpétuellement menacées.

Comment ne pas voir dans cet avis lapidaire une validation politique a posteriori ?

Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Devant les menaces qui s’accumulent, les conservateurs authentiques doivent se réveiller : c’est précisément dans ce but que nous avons rédigé ce plaidoyer.

La France doit retrouver son indépendance. Il n’y a de politique que dans une vision de long terme.

Que pourraient-ils bien savoir de la réalité d’entrepreneurs qui, après avoir investi toutes leurs économies dans leur projet, ne comptent pas leurs heures pour le faire vivre ? Rien.

Le sujet n’est ni médical ni social. Il est politique et François Braun, par sa volte-face, le démontre.

Les députés européens vont même jusqu’à affirmer que « l’indépendance du Kosovo est irréversible », ce qui est une position opposée à celle de l’ONU et de nombreux pays…

Objectif caché qu’il s’agit aujourd’hui de révéler aux yeux de l’ensemble des Français et de déchirer lorsque la représentation nationale, désormais plus légitime, devra s’emparer de la question.

C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.

Le dernier épisode de notre bêtise est la séquence de l’élection du président de la commission des finances de l’Assemblée nationale

Ces propos contorsionnistes relèvent de la pure flagornerie et rappellent Le livre de la jungle où le fameux python Kaa tentait de charmer par des danses enjôleuses et hypnotiques Mowgli pour l’endormir et le croquer.

Ce « monument phare de la ville », de l’aveu même de la délibération municipale, est aujourd’hui condamné à la désacralisation en vue de son aménagement en un projet culturel dont on ne sait rien…

Si aucune décision forte n’est prise rapidement afin d’endiguer d’abord, puis d’éradiquer ensuite, la poussée criminelle que nous connaissons actuellement, alors l’embrasement de nos villes et de nos villages deviendra sous peu inéluctable.
La France repart pour cinq ans d’incertitude, d’approximation et, vraisemblablement, la poursuite de son inexorable déclin.

Que faire qui soit acceptable par les deux parties en guerre ?

Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.

Mathieu Bock-Côté est la nouvelle victime de l’intolérance de la gauche que nous vivons quotidiennement.

Les cinq années à venir façonneront l’avenir de notre pays et de nos enfants.

Considérer que Reconquête était un feu de paille relève du confortable désespoir bourgeois qui caractérise la droite.

Les LR deviennent des supplétifs de Macron qui va continuer à les plumer telle de la volaille : c’est une faute sans appel, un suicide politique.

À l’évidence, nous sommes aujourd’hui en face d’une entreprise idéologique de grande ampleur contre les libertés démocratiques des peuples.

Élisabeth II incarne le devoir dans un monde où l’on veut nous faire croire que seuls importent le choix individuel immédiat, le caprice du consommateur, le confort de l’égoïsme.

Ces unions-là ne sont pas les filles d’un concept-hochet qu’on agite à n’en plus finir sur les plateaux de chaîne d’info. Ce sont des réalités, faites de patience, d’un travail de longue haleine, nées à la base, de la base, entre gens vivant ici et qui ne repartent pas au lendemain d’une élection.

Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.

Les choses sont limpides : ce sont les ONG et leur idéologie pro-immigration qui ont pris le pouvoir au mépris de la volonté des peuples.

Si les étrangers résidant sur le territoire national ont un jour les mêmes droits que les citoyens français, alors il n’y aura plus que des citoyens tout court, c’est-à-dire, à terme, des citoyens du monde.

À l’instar de ce qui se passe partout ailleurs, Macron et Darmanin font le choix de la facilité et sont sur le point de brader un des piliers fondamentaux de la République.

Aujourd’hui, cette enclave islamique, reste un lieu d’instabilité et de troubles. Les minorités serbes et tziganes, chrétiennes, y sont perpétuellement menacées.

Comment ne pas voir dans cet avis lapidaire une validation politique a posteriori ?

Monsieur Dupond-Moretti peut bien vitupérer à l’Assemblée nationale, la question de l’immigration et de la non-assimilation de certaines populations est le grand échec de la Ve République.

Devant les menaces qui s’accumulent, les conservateurs authentiques doivent se réveiller : c’est précisément dans ce but que nous avons rédigé ce plaidoyer.

La France doit retrouver son indépendance. Il n’y a de politique que dans une vision de long terme.

Que pourraient-ils bien savoir de la réalité d’entrepreneurs qui, après avoir investi toutes leurs économies dans leur projet, ne comptent pas leurs heures pour le faire vivre ? Rien.

Le sujet n’est ni médical ni social. Il est politique et François Braun, par sa volte-face, le démontre.

Les députés européens vont même jusqu’à affirmer que « l’indépendance du Kosovo est irréversible », ce qui est une position opposée à celle de l’ONU et de nombreux pays…

Objectif caché qu’il s’agit aujourd’hui de révéler aux yeux de l’ensemble des Français et de déchirer lorsque la représentation nationale, désormais plus légitime, devra s’emparer de la question.

C’est une sorte de gouvernement par défaut que M. Macron a nommé. À défaut de mieux. À défaut, surtout, de l’adhésion des Français.

Le dernier épisode de notre bêtise est la séquence de l’élection du président de la commission des finances de l’Assemblée nationale

Ces propos contorsionnistes relèvent de la pure flagornerie et rappellent Le livre de la jungle où le fameux python Kaa tentait de charmer par des danses enjôleuses et hypnotiques Mowgli pour l’endormir et le croquer.

Ce « monument phare de la ville », de l’aveu même de la délibération municipale, est aujourd’hui condamné à la désacralisation en vue de son aménagement en un projet culturel dont on ne sait rien…

Si aucune décision forte n’est prise rapidement afin d’endiguer d’abord, puis d’éradiquer ensuite, la poussée criminelle que nous connaissons actuellement, alors l’embrasement de nos villes et de nos villages deviendra sous peu inéluctable.
La France repart pour cinq ans d’incertitude, d’approximation et, vraisemblablement, la poursuite de son inexorable déclin.

Que faire qui soit acceptable par les deux parties en guerre ?

Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.

Mathieu Bock-Côté est la nouvelle victime de l’intolérance de la gauche que nous vivons quotidiennement.

Les cinq années à venir façonneront l’avenir de notre pays et de nos enfants.

Considérer que Reconquête était un feu de paille relève du confortable désespoir bourgeois qui caractérise la droite.

Les LR deviennent des supplétifs de Macron qui va continuer à les plumer telle de la volaille : c’est une faute sans appel, un suicide politique.

À l’évidence, nous sommes aujourd’hui en face d’une entreprise idéologique de grande ampleur contre les libertés démocratiques des peuples.

Élisabeth II incarne le devoir dans un monde où l’on veut nous faire croire que seuls importent le choix individuel immédiat, le caprice du consommateur, le confort de l’égoïsme.

Ces unions-là ne sont pas les filles d’un concept-hochet qu’on agite à n’en plus finir sur les plateaux de chaîne d’info. Ce sont des réalités, faites de patience, d’un travail de longue haleine, nées à la base, de la base, entre gens vivant ici et qui ne repartent pas au lendemain d’une élection.

Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.

Les choses sont limpides : ce sont les ONG et leur idéologie pro-immigration qui ont pris le pouvoir au mépris de la volonté des peuples.
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