Tribune

L’Ukraine représente à son paroxysme la vassalité de la France à la politique américaine.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.

Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…

La situation est-elle toujours maîtrisée ou est-elle à la merci d’une nouvelle provocation qui nourrira l’engrenage de la guerre ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Comment ne pas voir dans cette opération une amorce de remplacement de population qui peut engendrer le pire ?

Force est de constater qu’avec le temps, la Ve république semble plutôt cumuler les inconvénients de la monarchie et de la république plutôt que d’en conjuguer les avantages !

Bien entendu, cette réforme, à part satisfaire la haute hiérarchie policière, n’apportera rien au reste de la police ni à la sécurité des Français.

On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.

L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.

Il est grand temps de sortir des slogans politico-sécuritaires que l’on nous sert depuis trop longtemps, pour élaborer une vraie politique nationale de sécurité.

Des relations apaisées ne peuvent se concevoir si l’une des parties entretient la haine de l’autre.

Cette nouvelle donne géostratégique rappelle singulièrement la guerre froide et les confrontations de jadis, bloc à bloc : les bleus contre les rouges.

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.

On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.

Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.

Lorsque le système commence à perdre les élections, il en change les règles.

Ne pas vouloir qualifier l’obscurantisme musulman est une lâcheté de plus qui ne peut qu’encourager les fanatiques islamistes.

L’Ukraine représente à son paroxysme la vassalité de la France à la politique américaine.

Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?

Ce bouleversement arrive au pire moment pour la police nationale.

Durant quatre heures, les différents intervenants ont échangé sur ces sujets. Pas un n’a rappelé le contexte de montée de l’islamisme en Europe…

La situation est-elle toujours maîtrisée ou est-elle à la merci d’une nouvelle provocation qui nourrira l’engrenage de la guerre ?

On criera évidemment à la machination de la toujours méchante extrême droite.

Tandis que tous les indicateurs de la délinquance restent au rouge et qu’aucune amélioration notable ne semble poindre à l’horizon, Emmanuel Macron et son gouvernement font une nouvelle fois le choix de la communication au détriment de l’action.

Le retour au réel est cuisant. Il l’a été et continuera de l’être si cette formation s’obstine à demeurer dans l’ambiguïté…

Les gesticulations guerrières ne riment à rien, pas plus que la croyance dans la pérennité de ce modèle d’organisation européenne : l’Histoire est un cimetière d’empires.

Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !

Prétendre que l’on devrait la paix en Europe à une construction européenne d’inspiration marchande et ultralibérale constitue une supercherie supplémentaire.

Hurlons notre colère, appelons les Français à se réveiller ; assez d’illusions, assez d’utopies, assez de vassalité, la France doit reprendre son destin en main et dire NON.

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Comment ne pas voir dans cette opération une amorce de remplacement de population qui peut engendrer le pire ?

Force est de constater qu’avec le temps, la Ve république semble plutôt cumuler les inconvénients de la monarchie et de la république plutôt que d’en conjuguer les avantages !

Bien entendu, cette réforme, à part satisfaire la haute hiérarchie policière, n’apportera rien au reste de la police ni à la sécurité des Français.

On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais on importe ce que l’on s’interdit de produire !

Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.

L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration.

Il est grand temps de sortir des slogans politico-sécuritaires que l’on nous sert depuis trop longtemps, pour élaborer une vraie politique nationale de sécurité.

Des relations apaisées ne peuvent se concevoir si l’une des parties entretient la haine de l’autre.

Cette nouvelle donne géostratégique rappelle singulièrement la guerre froide et les confrontations de jadis, bloc à bloc : les bleus contre les rouges.

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.

On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.

Ce que les Français attendent de vous aujourd’hui n’est pas que vous les incitiez à de nouveaux et incessants sacrifices.

Lorsque le système commence à perdre les élections, il en change les règles.

Ne pas vouloir qualifier l’obscurantisme musulman est une lâcheté de plus qui ne peut qu’encourager les fanatiques islamistes.
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