Tribune

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.

Le trafic de stupéfiants en France est une des activités criminelles les plus prospères.

Comptant moins de moins en sur les forces de l’ordre et sur la justice pour assurer leur protection, nombreux sont ceux qui font désormais le choix de se préparer au pire.

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

C’est compliqué de sauver la planète avec des politiques de gribouille.

En visite au salon du « Made in France » le jeudi 10 novembre 2022, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

La France doit réagir comme son opinion très majoritaire l’exige et cesser de diffamer un gouvernement italien qui ne fait qu’appliquer intelligemment le droit à la demande de sa nation.

Sur le cas particulier des rodéos urbains, force est de constater que leur nombre ne cesse de croître jusqu’à devenir un phénomène de société à très forte connotation sécuritaire.

Par humanisme instrumentalisé, par laxisme et crainte des ONG et de leur propagande idéologique à affronter, les gouvernements pratiquent la politique de l’autruche.

On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…

Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Les métropolitains n’en ont pas toujours suffisamment conscience. Nous disposons du deuxième domaine maritime mondial et, depuis des décennies, rien n’a été réellement entrepris pour le valoriser et même le connaître.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

C’est curieux que les écologistes le défendent mordicus car le loup est un destructeur de biodiversité. Il s’attaque à tout et sans aucun discernement

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

Alors oui, il y a un problème de contrôle de l’immigration en France, mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Une fois qu’on a posé le bon diagnostic, on fait quoi ?

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.

La loi du 5 août 1914 avait interdit la publication de toute information autre que celles transmises par les autorités. La Commission voudrait-elle s’en inspirer ?

Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.

Le trafic de stupéfiants en France est une des activités criminelles les plus prospères.

Comptant moins de moins en sur les forces de l’ordre et sur la justice pour assurer leur protection, nombreux sont ceux qui font désormais le choix de se préparer au pire.

Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.

C’est compliqué de sauver la planète avec des politiques de gribouille.

En visite au salon du « Made in France » le jeudi 10 novembre 2022, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire

Gérald Darmanin a déclaré au mois de septembre sur BFM que l’État islamique avait perdu la guerre sur le théâtre des opérations extérieures, que le risque était aujourd’hui principalement endogène et que l’on pouvait s’attendre à de nouveaux Bataclan.

Le malaise français est aussi celui d’une classe politique médiocre.

La France doit réagir comme son opinion très majoritaire l’exige et cesser de diffamer un gouvernement italien qui ne fait qu’appliquer intelligemment le droit à la demande de sa nation.

Sur le cas particulier des rodéos urbains, force est de constater que leur nombre ne cesse de croître jusqu’à devenir un phénomène de société à très forte connotation sécuritaire.

Par humanisme instrumentalisé, par laxisme et crainte des ONG et de leur propagande idéologique à affronter, les gouvernements pratiquent la politique de l’autruche.

On imagine donc que la rencontre de M. Herrou avec les lycéens de Luçon a plus de chance de porter sur la question migratoire que sur l’agriculture bio…

Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Ces violences manifestent le mépris de la loi, de l’ordre public, de l’autorité mais aussi du respect d’autrui. C’est l’annonce du retour au chaos et à la barbarie.

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Les métropolitains n’en ont pas toujours suffisamment conscience. Nous disposons du deuxième domaine maritime mondial et, depuis des décennies, rien n’a été réellement entrepris pour le valoriser et même le connaître.

La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.

C’est curieux que les écologistes le défendent mordicus car le loup est un destructeur de biodiversité. Il s’attaque à tout et sans aucun discernement

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

De même que la police nationale est aujourd’hui dans l’incapacité de faire face aux problématiques de sécurité intérieure, notre armée serait bien incapable d’assumer les conséquences d’un conflit de haute intensité

Alors oui, il y a un problème de contrôle de l’immigration en France, mais une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Une fois qu’on a posé le bon diagnostic, on fait quoi ?

Ce matin-là, Emmanuel Macron a « gazouillé » : « We do not want a world war » (« Nous ne voulons pas de guerre mondiale »), actant ainsi qu’il ne considère plus le français comme une langue internationale.
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