Tribune

C’est au politique d’être à la hauteur de son rôle et de cet enjeu essentiel en répondant avec des choix forts d’incitation à la natalité afin de réunir des conditions favorables aux familles.

Pourquoi une étude complémentaire n’a-t-elle pas été mise à l’œuvre au sein des juridictions pénales pour que l’on connaisse véritablement le profil des responsables de ces violences sexuelles ?

Un coup de massue supplémentaire pour les automobilistes au profit des intérêts privés.

Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.

Il n’est pourtant pas trop tard pour dire et rappeler que cette guerre sur le Vieux Continent n’aurait jamais dû se produire.

Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.

La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.

L’utilisation massive de la planche à billets par les banques centrales pour empêcher l’effondrement de la croissance et l’effondrement financier en Occident est inflationniste.

Dans le système néolibéral, la montagne de dette publique accumulée en Occident (supérieure à 100 % du PIB) et la difficulté à obtenir de la croissance risquent d’imposer quelque temps encore cet outil inflationniste.

Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.

La situation actuelle était prévisible, et seul le gouvernement est coupable de manque d’anticipation.

La France démarre 2023 avec un goût amer dans la gorge, mélange de résignation et d’exaspération.

Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.

Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.

Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.

On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

Mes vœux pour la France ne sont pas de simples vœux mais une détermination, ils appellent à l’action…

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Désormais, la priorité est à la refondation plutôt qu’à la déconstruction.

Comment apporter à notre jeunesse de France un regard mûr sur l’amour humain si nous nous abaissons sans cesse à un champ lexical grossier, choquant, subversif et vulgaire ?

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.

C’est au politique d’être à la hauteur de son rôle et de cet enjeu essentiel en répondant avec des choix forts d’incitation à la natalité afin de réunir des conditions favorables aux familles.

Pourquoi une étude complémentaire n’a-t-elle pas été mise à l’œuvre au sein des juridictions pénales pour que l’on connaisse véritablement le profil des responsables de ces violences sexuelles ?

Un coup de massue supplémentaire pour les automobilistes au profit des intérêts privés.

Tous ont appelé, de façon explicite ou implicite, à voter pour Emmanuel Macron, par une sorte de réflexe pavlovien anti-Le Pen, alors qu’ils savaient que la réforme du système de retraite était au programme.

Il n’est pourtant pas trop tard pour dire et rappeler que cette guerre sur le Vieux Continent n’aurait jamais dû se produire.

Cette impuissance juridique de l’État républicain est présentée comme une sorte de fatalité contre laquelle rien n’est possible.

La question de la réforme de notre système de retraite est un serpent de mer de la politique française, et s’il s’impose, c’est en raison de la réalité démographique, économique et sociale.

L’utilisation massive de la planche à billets par les banques centrales pour empêcher l’effondrement de la croissance et l’effondrement financier en Occident est inflationniste.

Dans le système néolibéral, la montagne de dette publique accumulée en Occident (supérieure à 100 % du PIB) et la difficulté à obtenir de la croissance risquent d’imposer quelque temps encore cet outil inflationniste.

Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.

La situation actuelle était prévisible, et seul le gouvernement est coupable de manque d’anticipation.

La France démarre 2023 avec un goût amer dans la gorge, mélange de résignation et d’exaspération.

Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.

Les vœux présidentiels, si l’on s’astreint à les réécouter, année après année, ont quelque chose de désespérant.

Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.

On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.

L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.

Mes vœux pour la France ne sont pas de simples vœux mais une détermination, ils appellent à l’action…

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Un monde où le sens du devoir se perd est un monde condamné.

« Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron », braillaient les Parisiennes quand elles allèrent chercher la famille royale à Versailles en octobre 1789. Le petit mitron, aujourd’hui, c’est le petit Macron.

Ceux qui prennent communication pour décision et réglementation pour acte de gouvernement laissent la France dériver comme un bateau ivre.

Désormais, la priorité est à la refondation plutôt qu’à la déconstruction.

Comment apporter à notre jeunesse de France un regard mûr sur l’amour humain si nous nous abaissons sans cesse à un champ lexical grossier, choquant, subversif et vulgaire ?

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…

Il apparaît nécessaire de créer une commission interparlementaire chargée de juger le délit d’opinion ou de langage du parlementaire.

Une fois encore, le Président tente de nous abuser pour imposer une politique favorable à l’immigration.
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