Société

Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.

Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?

Très concrètement, si demain les 390 équipages de chasse à courre sont interdits de pratiquer leur discipline, les conséquences sur les animaux seront dramatiques.

Comme à chaque fois qu’il s’agit d’enlever un peu d’humanité à notre société, la majorité présidentielle avance masquée.

Au-delà de la ville portuaire de Douvres, c’est tout le Royaume-Uni qui s’est ému de cette affaire.

Au-delà de l’humour, cependant, le temps n’est peut-être pas loin où il faudra, paradoxalement, s’enfermer à double tour dans sa bibliothèque pour être enfin libre.

Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.

Quand on est en train de sauver la planète, on ne peut s’encombrer de ces petitesses.

Tout cela est triste, sordide, inquiétant, révoltant. Toutefois, il y a des données qui n’apparaissent pas dans tous ces décomptes et qu’on aimerait connaître : qui sont ces « personnes en situation de rue » ?

L’uniforme qui, hier, protégeait est aujourd’hui devenu une cible.

Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.

Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.

Ne ratons pas cette occasion, ne gâchons pas cet avertissement au prix terrible. Il nous faut retrouver l’énergie d’affirmer que la volonté est la noblesse d’une existence.

Vincent Cassel ne le sait peut-être pas, mais il a résumé, en trois points, une sagesse millénaire.

Les boomers de gauche (car tous les boomers ne sont pas mauvais) vont finir par mourir, mais ils nous auront bien emm… avant.

Pas sûr qu’un consensus comparable puisse naître pour lutter contre un autre animal qui envahit nos villes, et plus particulièrement le Grand Lyon : les chats. Oui, les chats ! Les chats errants, bien sûr…

Les meurtres de femmes, et particulièrement les meurtres à l’arme blanche, se multiplient.

Le New York Times rappelle quelques vérités simples, comme la liberté d’expression dans une démocratie. Trop tard, hélas : la chasse aux sorcières « transphobes » a déjà commencé, des deux côtés de l’Atlantique.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin

Cette loi autorise les mineurs à s’auto-diagnostiquer sans que les médecins puissent douter ou proposer des analyses psychologiques préalables à la prescription de médicaments très dangereux comme les bloqueurs de puberté ou les hormones. D’autre part, ces mêmes mineurs auront recours à des opérations de changement de sexe, des chirurgies d’amputation d’organes sains, stérilisantes.

Ces pratiques « épouvantables », loin d’être anodines, ont brisé les vies de centaines de jeunes.

Gustave Flaubert nous l’avait dit dans La Tentation de saint Antoine : « Le monde est l’œuvre d’un Dieu en délire. » Et les hommes sont très bons élèves…

A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.

La tradition de la Saint Valentin n’est pas du goût de tous, comme a pu le constater notre journaliste, Inès Chopard, dans les rues commerçantes de Paris.

S’il y a bien une chose avec laquelle on ne plaisante pas, en Wokistan, c’est la Saint-Valentin !

En France, un Grenelle de la pissotière est espéré par diverses associations féministes.

Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.

Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.

La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.

Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?

Très concrètement, si demain les 390 équipages de chasse à courre sont interdits de pratiquer leur discipline, les conséquences sur les animaux seront dramatiques.

Comme à chaque fois qu’il s’agit d’enlever un peu d’humanité à notre société, la majorité présidentielle avance masquée.

Au-delà de la ville portuaire de Douvres, c’est tout le Royaume-Uni qui s’est ému de cette affaire.

Au-delà de l’humour, cependant, le temps n’est peut-être pas loin où il faudra, paradoxalement, s’enfermer à double tour dans sa bibliothèque pour être enfin libre.

Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.

Quand on est en train de sauver la planète, on ne peut s’encombrer de ces petitesses.

Tout cela est triste, sordide, inquiétant, révoltant. Toutefois, il y a des données qui n’apparaissent pas dans tous ces décomptes et qu’on aimerait connaître : qui sont ces « personnes en situation de rue » ?

L’uniforme qui, hier, protégeait est aujourd’hui devenu une cible.

Une poignée de citoyens tirés au sort, pilotée par un conseil non élu, a donné une orientation décisive sur une question sociétale qui méritait, semble-t-il, un débat bien plus élevé.

Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.

Ne ratons pas cette occasion, ne gâchons pas cet avertissement au prix terrible. Il nous faut retrouver l’énergie d’affirmer que la volonté est la noblesse d’une existence.

Vincent Cassel ne le sait peut-être pas, mais il a résumé, en trois points, une sagesse millénaire.

Les boomers de gauche (car tous les boomers ne sont pas mauvais) vont finir par mourir, mais ils nous auront bien emm… avant.

Pas sûr qu’un consensus comparable puisse naître pour lutter contre un autre animal qui envahit nos villes, et plus particulièrement le Grand Lyon : les chats. Oui, les chats ! Les chats errants, bien sûr…

Les meurtres de femmes, et particulièrement les meurtres à l’arme blanche, se multiplient.

Le New York Times rappelle quelques vérités simples, comme la liberté d’expression dans une démocratie. Trop tard, hélas : la chasse aux sorcières « transphobes » a déjà commencé, des deux côtés de l’Atlantique.
Treize organisations professionnelles et sociétés savantes, représentant aux alentours de 800.000 soignants, ont lancé un cri d’alerte pour rejeter l’euthanasie, qu’ils jugent « incompatible » avec les métiers du soin

Cette loi autorise les mineurs à s’auto-diagnostiquer sans que les médecins puissent douter ou proposer des analyses psychologiques préalables à la prescription de médicaments très dangereux comme les bloqueurs de puberté ou les hormones. D’autre part, ces mêmes mineurs auront recours à des opérations de changement de sexe, des chirurgies d’amputation d’organes sains, stérilisantes.

Ces pratiques « épouvantables », loin d’être anodines, ont brisé les vies de centaines de jeunes.

Gustave Flaubert nous l’avait dit dans La Tentation de saint Antoine : « Le monde est l’œuvre d’un Dieu en délire. » Et les hommes sont très bons élèves…

A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.

La tradition de la Saint Valentin n’est pas du goût de tous, comme a pu le constater notre journaliste, Inès Chopard, dans les rues commerçantes de Paris.

S’il y a bien une chose avec laquelle on ne plaisante pas, en Wokistan, c’est la Saint-Valentin !

En France, un Grenelle de la pissotière est espéré par diverses associations féministes.
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