Société

Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.

On a appris, ce matin, les premières nominations dans son cabinet : rien que des énarques et des proches du Parti social

En filigrane se pose également la question de la diversité culturelle dans le choix de ne plus effectuer de bricolage pour la fête des Mères…

« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
La synthèse de l’Observatoire fait état de 15 actes d’agressions de personnes et 197 attaques de lieux de culte. C’est énorme !
Les organisations islamiques ne se sont pas trompées en apportant leur soutien à Macron.
Premier rallié premier baisé, c’est la figure la plus classique de la politique.
Tous les journaux du plat pays, ou presque, se sont doctement posé la question : qui sera le Macron belge ?
Le problème de notre économie n’est pas structurel, il est fondamentalement mental !
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Voilà un défi posé à notre nouveau Président.

L’Élysée sera dominé par la personnalité de cette élégante sexagénaire, à la fois grand-mère, mère et épouse d’un jeune homme.
71 % des catholiques pratiquants réguliers ont voté pour Emmanuel Macron le 7 mai dernier.
Jean Sévillia replace le discours de Hollande sur l’esclavage dans le contexte de la loi qui a reconnu la traité négrière comme un crime contre l’humanité.
Le mercantilisme décomplexé a, décidément, de beaux jours devant lui.

Il reste seize jours à notre sémillant vainqueur pour se plonger dans les rudes dossiers défense et alliances.

Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.

Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Il est stérile de dépenser son énergie à viser un pouvoir que nous n’atteindrons jamais.
La France est à cran. Elle est divisée. Une grande partie des Français ne se parlent plus, ne se comprennent plus.
Monsieur Baroin va mener la campagne pour Les Républicains ! Et là, on ne comprend plus.
Est-il possible, par la voie démocratique, de sortir la France du marasme dans lequel elle s’enfonce depuis quarante ans ?
La maladie mentale a gangrené une partie trop importante du corps social.

Greenpeace aime le monde dichotomique tiré de sa vision manichéenne…
Le débat fut révélateur de la dysharmonie d’une société française divisée suivant un clivage opposant la bonne conscience à la culpabilisation.
La CGT semble cautionner une certaine violence…
Ne cédez pas au découragement : les qualités d’un débatteur ne sont pas celles d’un chef d’État !

Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.

On a appris, ce matin, les premières nominations dans son cabinet : rien que des énarques et des proches du Parti social

En filigrane se pose également la question de la diversité culturelle dans le choix de ne plus effectuer de bricolage pour la fête des Mères…

« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
La synthèse de l’Observatoire fait état de 15 actes d’agressions de personnes et 197 attaques de lieux de culte. C’est énorme !
Les organisations islamiques ne se sont pas trompées en apportant leur soutien à Macron.
Premier rallié premier baisé, c’est la figure la plus classique de la politique.
Tous les journaux du plat pays, ou presque, se sont doctement posé la question : qui sera le Macron belge ?
Le problème de notre économie n’est pas structurel, il est fondamentalement mental !
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Voilà un défi posé à notre nouveau Président.

L’Élysée sera dominé par la personnalité de cette élégante sexagénaire, à la fois grand-mère, mère et épouse d’un jeune homme.
71 % des catholiques pratiquants réguliers ont voté pour Emmanuel Macron le 7 mai dernier.
Jean Sévillia replace le discours de Hollande sur l’esclavage dans le contexte de la loi qui a reconnu la traité négrière comme un crime contre l’humanité.
Le mercantilisme décomplexé a, décidément, de beaux jours devant lui.

Il reste seize jours à notre sémillant vainqueur pour se plonger dans les rudes dossiers défense et alliances.

Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.

Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Il est stérile de dépenser son énergie à viser un pouvoir que nous n’atteindrons jamais.
La France est à cran. Elle est divisée. Une grande partie des Français ne se parlent plus, ne se comprennent plus.
Monsieur Baroin va mener la campagne pour Les Républicains ! Et là, on ne comprend plus.
Est-il possible, par la voie démocratique, de sortir la France du marasme dans lequel elle s’enfonce depuis quarante ans ?
La maladie mentale a gangrené une partie trop importante du corps social.

Greenpeace aime le monde dichotomique tiré de sa vision manichéenne…
Le débat fut révélateur de la dysharmonie d’une société française divisée suivant un clivage opposant la bonne conscience à la culpabilisation.
La CGT semble cautionner une certaine violence…
Ne cédez pas au découragement : les qualités d’un débatteur ne sont pas celles d’un chef d’État !
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