Société

Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.

La République en marche aurait-elle abandonné son sectarisme et, surtout, son arrogance ?

Alors que la France est frappée par l’épidémie du coronavirus, l’appel à la prière des musulmans a retenti dans plusieurs villes de France.

Pour que la redistribution soit viable sur le temps long, il faut que le riche et le pauvre se sentent appartenir à un même corps : ce n’est pas le cas quand la redistribution est ouverte à la Terre entière.

Pour l’instant, j’ai l’impression que c’est l’atmosphère générale qui est contaminée par la maladie, plus que les gens.

Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Face à la dégradation de cette situation, l’Ordre de Malte organise une montée en puissance de son dispositif : les maraudes sont rétablies, leur fréquence augmentée. Un appel à volontaires est lancé !

Le cimetière est très grand, il n’y a pas de confinement dans un cimetière, très peu de personne se croisent, pourquoi faire autant souffrir les gens quand ils perdent un être cher ?

Pour reprendre l’anaphore de Darmanin, « qu’est-il arrivé à l’Europe » pour qu’on doive mettre la nourriture sous clef ?

La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !

Kathya de Brinon est fondatrice et présidente de l’association SOS Violenfance (prévention de l’inceste et de la pédocriminalit). Une association beaucoup sollicitée via Facebook en

on n’entend pas les professionnels s’exprimer sur les effets psychologiques attendus d’un confinement prolongé ou renforcé, sous la pression d’un danger omniprésent ; d’autant plus quand celui-ci n’est pas visible.
Les provinciaux ne peuvent pourtant pas à la fois rejeter les envahisseurs parisiens et fonder l’intégralité de la politique économique, culturelle et urbaine locale sur leur présence saisonnière.

Nous sommes en train de redécouvrir la valeur des frontières et des distances. Le virus ne vient pas tout seul et sans passeport.

Bon nombre de défis sont lancés pour nous occuper pendant cette période de vacuité.

« Rends-moi mes impôts ! », pourraient entendre murmurer, la nuit, durant de longues années, nos gouvernants inconséquents…

À l’heure confinée où il est interdit de s’approcher de son voisin, est-il bien opportun de l’inviter à partouzer, donc à adopter les comportements très « à risque » de contamination ?

Le fonctionnement des EHPAD, en France, était déjà un symptôme en lui-même de la place que nous accordons aux personnes âgées et dépendantes.

Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »

L’occasion actuelle est trop belle. Les esprits bornés, les rétrécis du cerveau, les aigris, les paranoïaques, les redresseurs de torts, les Zorro de cages d’escalier, les hystériques, les collabos dans l’âme et les imbéciles s’en donnent à cœur joie.

Ce sont ces ruines de l’âme que dénonce le pape François. Pour une fois, difficile d’être en désaccord.

Face à la pandémie du Covid-19, l’Église, comme le reste du monde, doit fait face à une situation sans précédent. Le confinement quasi généralisé impose de

Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.

Dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19, les personnes âgées sont-elles lésées ? Au micro de Boulevard Voltaire, Tugdual Derville alerte sur certaines pratiques qui

N’attendant pas la fin du carême qui signifie la sainte quarantaine, notre sympathique Homo ventrus, ayant visiblement plus peur de mourir de faim que de ce satané virus, s’est mis en chasse d’un nouveau trophée.

Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.

L’heure est grave. Plus question de randonner sur les trottoirs…

Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.

La République en marche aurait-elle abandonné son sectarisme et, surtout, son arrogance ?

Alors que la France est frappée par l’épidémie du coronavirus, l’appel à la prière des musulmans a retenti dans plusieurs villes de France.

Pour que la redistribution soit viable sur le temps long, il faut que le riche et le pauvre se sentent appartenir à un même corps : ce n’est pas le cas quand la redistribution est ouverte à la Terre entière.

Pour l’instant, j’ai l’impression que c’est l’atmosphère générale qui est contaminée par la maladie, plus que les gens.

Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Face à la dégradation de cette situation, l’Ordre de Malte organise une montée en puissance de son dispositif : les maraudes sont rétablies, leur fréquence augmentée. Un appel à volontaires est lancé !

Le cimetière est très grand, il n’y a pas de confinement dans un cimetière, très peu de personne se croisent, pourquoi faire autant souffrir les gens quand ils perdent un être cher ?

Pour reprendre l’anaphore de Darmanin, « qu’est-il arrivé à l’Europe » pour qu’on doive mettre la nourriture sous clef ?

La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !

Kathya de Brinon est fondatrice et présidente de l’association SOS Violenfance (prévention de l’inceste et de la pédocriminalit). Une association beaucoup sollicitée via Facebook en

on n’entend pas les professionnels s’exprimer sur les effets psychologiques attendus d’un confinement prolongé ou renforcé, sous la pression d’un danger omniprésent ; d’autant plus quand celui-ci n’est pas visible.
Les provinciaux ne peuvent pourtant pas à la fois rejeter les envahisseurs parisiens et fonder l’intégralité de la politique économique, culturelle et urbaine locale sur leur présence saisonnière.

Nous sommes en train de redécouvrir la valeur des frontières et des distances. Le virus ne vient pas tout seul et sans passeport.

Bon nombre de défis sont lancés pour nous occuper pendant cette période de vacuité.

« Rends-moi mes impôts ! », pourraient entendre murmurer, la nuit, durant de longues années, nos gouvernants inconséquents…

À l’heure confinée où il est interdit de s’approcher de son voisin, est-il bien opportun de l’inviter à partouzer, donc à adopter les comportements très « à risque » de contamination ?

Le fonctionnement des EHPAD, en France, était déjà un symptôme en lui-même de la place que nous accordons aux personnes âgées et dépendantes.

Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »

L’occasion actuelle est trop belle. Les esprits bornés, les rétrécis du cerveau, les aigris, les paranoïaques, les redresseurs de torts, les Zorro de cages d’escalier, les hystériques, les collabos dans l’âme et les imbéciles s’en donnent à cœur joie.

Ce sont ces ruines de l’âme que dénonce le pape François. Pour une fois, difficile d’être en désaccord.

Face à la pandémie du Covid-19, l’Église, comme le reste du monde, doit fait face à une situation sans précédent. Le confinement quasi généralisé impose de

Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.

Dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19, les personnes âgées sont-elles lésées ? Au micro de Boulevard Voltaire, Tugdual Derville alerte sur certaines pratiques qui

N’attendant pas la fin du carême qui signifie la sainte quarantaine, notre sympathique Homo ventrus, ayant visiblement plus peur de mourir de faim que de ce satané virus, s’est mis en chasse d’un nouveau trophée.

Les femmes pourraient donc se montrer aussi teignes que les hommes sont balourds et la violence serait la chose la mieux partagée, au-delà des sexes, depuis que le monde est monde.

L’heure est grave. Plus question de randonner sur les trottoirs…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
