Santé et Politique

Dans ce contexte hystérique, de politique de la peur et de désignation des boucs émissaires, il apparaît de salubrité publique d’imposer des déclarations sur l’honneur de l’absence de tout conflit d’intérêts…

Le troisième depuis… le lundi 3 janvier, qui avait été annoncé en catastrophe la veille de la rentrée à tous les parents et aux directeurs d’école, quand ces derniers ne l’avaient pas appris par voie de presse.

Boulevard Voltaire donne la parole à la psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont, bien connue depuis la crise sanitaire. Elle revient sur l’historique de la crise, sa
Doit-on vraiment rappeler que soigner est un devoir, non un choix !
Au total, 131 manifestations ont été recensées par le ministère de l’Intérieur.

Cette crise ne fait que révéler certains travers de l’âme humaine auxquels les médecins n’échappent pas, et que les récentes déclarations du Président ne peuvent qu’encourager.

Le sénateur revient sur l’indignité des propos du président de la République, la division des Républicains sur la question du passe vaccinal, ou encore sur l’état des hôpitaux.
À partir du 15 février, le délai pour la dose de rappel sera réduit de sept à quatre mois, a annoncé le gouvernement. Interrogé par

Aux nicotiniques repentants se joindront ensuite l’immense cohorte des « franchisés » à venir de M. Huyghe : cirrhotiques, cannabiques, obèses ou anorexiques, sédentaires ou sportifs extrêmes, etc., qui ne doivent en fait une santé dégradée qu’à leurs choix personnels.

Ô Micron, que faut-il faire pour te plaire ? Nous ne mangerons plus dans les TGV ni dans les avions. Boire, nous éviterons. Respirer, peut-être mais avec circonspection. Exclusivement aux arrêts en gare…
Pour Guillaume Larrivé, cet amendement est une victoire et permettra « un exercice de vérité » avec « des personnes déraisonnables » n’exigeant pas le passe sanitaire et les « raisonnables, comme Les Républicains », qui le demanderont…
Ce type d’humiliation publique était interdit depuis 2010. Le pays a décidé d’en faire de nouveau usage pour stigmatiser les personnes ne respectant pas les contraintes sanitaires.

92 % ? Waouh ! On avait dit ministre de la Participation citoyenne, pas de la Propagande.

On aurait pu espérer que les autorités, devant les événements récents, mettent en place un programme visant à redynamiser le système de santé publique. Il n’en a rien été. Et, l’an dernier, on notait encore 5 700 suppressions de lits.

Avec les nouvelles mesures annoncées lundi soir par le Premier ministre, on confine cette fois au génie.

Le fromage gratuit, ça n’existe que dans les tapettes à souris, l’essentiel est de savoir qui paye à la fin.
Pas de couvre-feu pour le 31 décembre.
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
Parmi les solutions envisagées, la réduction de la durée d’isolement seulement pour des professions identifiées, comme celles indispensables des services de santé, serait sur la table.

Comme les vaches avec une clôture électrique, c’est en fait éloigner les importuns dans une démarche que l’on pourrait intituler « plus jamais avec mes semblables »…

Cette nouvelle arme anti-Covid sera-t-elle bien acceptée par ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ? Cela n’est pas sûr.
Pour autant, les médecins tiennent à rappeler que « ne pas se faire vacciner, c’est risquer sa vie, risquer celle des autres »…

Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, président de l’Union départementale de Paris, réagit à l’annonce du passe vaccinal. Il soulève les nombreuses contradictions de

Nous vous proposons donc le bêtisier du coronavirus avec, en vedette, le ministre de la Santé, l’homme des affirmations péremptoires qui seront démenties de façon tout aussi péremptoire le lendemain…
Dans un entretien accordé au Monde (20 décembre 2021), Uğur Şahin, cofondateur du laboratoire à l’origine du vaccin à ARN messager produit avec Pfizer, revient

Après avoir tout misé sur le passe et la vaccination qui devaient, précisément, nous en dispenser, et alors que près de 80 % de la population a joué le jeu bon gré mal gré, ce serait un terrible aveu d’échec.

Aujourd’hui, la Direction générale de la santé constate qu’en l’état actuel des effectifs, il sera impossible de gérer l’afflux de patients qui menace pour Noël, et suggère donc de réquisitionner les soignants.

L’OFII rappelle que « la France est le seul pays à offrir ce type de soins gratuitement et sans restriction de plafond »…

Dans ce contexte hystérique, de politique de la peur et de désignation des boucs émissaires, il apparaît de salubrité publique d’imposer des déclarations sur l’honneur de l’absence de tout conflit d’intérêts…

Le troisième depuis… le lundi 3 janvier, qui avait été annoncé en catastrophe la veille de la rentrée à tous les parents et aux directeurs d’école, quand ces derniers ne l’avaient pas appris par voie de presse.

Boulevard Voltaire donne la parole à la psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont, bien connue depuis la crise sanitaire. Elle revient sur l’historique de la crise, sa
Doit-on vraiment rappeler que soigner est un devoir, non un choix !
Au total, 131 manifestations ont été recensées par le ministère de l’Intérieur.

Cette crise ne fait que révéler certains travers de l’âme humaine auxquels les médecins n’échappent pas, et que les récentes déclarations du Président ne peuvent qu’encourager.

Le sénateur revient sur l’indignité des propos du président de la République, la division des Républicains sur la question du passe vaccinal, ou encore sur l’état des hôpitaux.
À partir du 15 février, le délai pour la dose de rappel sera réduit de sept à quatre mois, a annoncé le gouvernement. Interrogé par

Aux nicotiniques repentants se joindront ensuite l’immense cohorte des « franchisés » à venir de M. Huyghe : cirrhotiques, cannabiques, obèses ou anorexiques, sédentaires ou sportifs extrêmes, etc., qui ne doivent en fait une santé dégradée qu’à leurs choix personnels.

Ô Micron, que faut-il faire pour te plaire ? Nous ne mangerons plus dans les TGV ni dans les avions. Boire, nous éviterons. Respirer, peut-être mais avec circonspection. Exclusivement aux arrêts en gare…
Pour Guillaume Larrivé, cet amendement est une victoire et permettra « un exercice de vérité » avec « des personnes déraisonnables » n’exigeant pas le passe sanitaire et les « raisonnables, comme Les Républicains », qui le demanderont…
Ce type d’humiliation publique était interdit depuis 2010. Le pays a décidé d’en faire de nouveau usage pour stigmatiser les personnes ne respectant pas les contraintes sanitaires.

92 % ? Waouh ! On avait dit ministre de la Participation citoyenne, pas de la Propagande.

On aurait pu espérer que les autorités, devant les événements récents, mettent en place un programme visant à redynamiser le système de santé publique. Il n’en a rien été. Et, l’an dernier, on notait encore 5 700 suppressions de lits.

Avec les nouvelles mesures annoncées lundi soir par le Premier ministre, on confine cette fois au génie.

Le fromage gratuit, ça n’existe que dans les tapettes à souris, l’essentiel est de savoir qui paye à la fin.
Pas de couvre-feu pour le 31 décembre.
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
Parmi les solutions envisagées, la réduction de la durée d’isolement seulement pour des professions identifiées, comme celles indispensables des services de santé, serait sur la table.

Comme les vaches avec une clôture électrique, c’est en fait éloigner les importuns dans une démarche que l’on pourrait intituler « plus jamais avec mes semblables »…

Cette nouvelle arme anti-Covid sera-t-elle bien acceptée par ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ? Cela n’est pas sûr.
Pour autant, les médecins tiennent à rappeler que « ne pas se faire vacciner, c’est risquer sa vie, risquer celle des autres »…

Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC, président de l’Union départementale de Paris, réagit à l’annonce du passe vaccinal. Il soulève les nombreuses contradictions de

Nous vous proposons donc le bêtisier du coronavirus avec, en vedette, le ministre de la Santé, l’homme des affirmations péremptoires qui seront démenties de façon tout aussi péremptoire le lendemain…
Dans un entretien accordé au Monde (20 décembre 2021), Uğur Şahin, cofondateur du laboratoire à l’origine du vaccin à ARN messager produit avec Pfizer, revient

Après avoir tout misé sur le passe et la vaccination qui devaient, précisément, nous en dispenser, et alors que près de 80 % de la population a joué le jeu bon gré mal gré, ce serait un terrible aveu d’échec.

Aujourd’hui, la Direction générale de la santé constate qu’en l’état actuel des effectifs, il sera impossible de gérer l’afflux de patients qui menace pour Noël, et suggère donc de réquisitionner les soignants.

L’OFII rappelle que « la France est le seul pays à offrir ce type de soins gratuitement et sans restriction de plafond »…
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