Santé et Politique

Boulevard Voltaire a retrouvé l’empêcheur de tourner en rond…

Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.

Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?

Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?

Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?

Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.


Le chef de l’État bouleverse son agenda pour « se consacrer sur la gestion de la crise » du coronavirus : il va, enfin, faire l’unanimité autour de sa personne !

On ne sait plus trop où donner de la respiration !

Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.

Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.

La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.

Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.

Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.

L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.

Mardi soir, c’était une nouvelle soirée de mobilisation pour les anti-PMA qui se sont retrouvés, une nouvelle fois, à quelques mètres seulement de l’Élysée pour

Si l’on en croit les historiens, cette épidémie aurait fait au moins 50 millions de morts dans le monde, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale, et ce, en un temps très limité…

Le Dr Legrand fait cet angoissant constat : sans masque de protection FFP2, les soignants des malades contaminés par le coronavirus deviendront, au mieux, des

« Soyons tranquilles, il n’y a qu’à faire confiance aux autorités et tout ira bien. » Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon la mortalité du coronavirus serait bien supérieure et certaines administrations décimées.

Faut-il envisager la fermeture du métro dans lequel circulent pas moins de 4.100.000 passagers par jour ? Mais encore : que sont devenus les 200 millions de masques FFP2 promis, il y a quelques jours, par Édouard Philippe ?

Lundi 2 mars est tombé le communiqué du diocèse de Vannes qui interdit que des messes publiques soient dites.

Samuel Pruvot, rédacteur en chef à Famille chrétienne, réagit au micro de Boulevard Voltaire après que l’évêque de Beauvais (Oise) a interdit les messes publiques

Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.

Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…

Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.

« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…

Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…

Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.

Boulevard Voltaire a retrouvé l’empêcheur de tourner en rond…

Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.

Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?

Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?

Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?

Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.


Le chef de l’État bouleverse son agenda pour « se consacrer sur la gestion de la crise » du coronavirus : il va, enfin, faire l’unanimité autour de sa personne !

On ne sait plus trop où donner de la respiration !

Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.

Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.

La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.

Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.

Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.

L’épidémie de niaiserie n’en finit donc plus de causer les ravages qu’on sait. Et il n’y a pas de vaccin contre ça.

Mardi soir, c’était une nouvelle soirée de mobilisation pour les anti-PMA qui se sont retrouvés, une nouvelle fois, à quelques mètres seulement de l’Élysée pour

Si l’on en croit les historiens, cette épidémie aurait fait au moins 50 millions de morts dans le monde, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale, et ce, en un temps très limité…

Le Dr Legrand fait cet angoissant constat : sans masque de protection FFP2, les soignants des malades contaminés par le coronavirus deviendront, au mieux, des

« Soyons tranquilles, il n’y a qu’à faire confiance aux autorités et tout ira bien. » Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon la mortalité du coronavirus serait bien supérieure et certaines administrations décimées.

Faut-il envisager la fermeture du métro dans lequel circulent pas moins de 4.100.000 passagers par jour ? Mais encore : que sont devenus les 200 millions de masques FFP2 promis, il y a quelques jours, par Édouard Philippe ?

Lundi 2 mars est tombé le communiqué du diocèse de Vannes qui interdit que des messes publiques soient dites.

Samuel Pruvot, rédacteur en chef à Famille chrétienne, réagit au micro de Boulevard Voltaire après que l’évêque de Beauvais (Oise) a interdit les messes publiques

Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.

Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…

Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.

« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…

Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…

Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
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