Santé et Politique

Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?

Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.


Le retour de frontières nationales semble inéluctable.

Le sénateur Sébastien Meurant donne un entretien très complet à Boulevard Voltaire : gestion de la crise par le gouvernement et sa succession de mensonges,

Nous avons eu droit à ce que nous avons tous plus ou moins mal vécu : les nouvelles sensationnelles, les débats entre « spécialistes » le plus souvent incultes sur les plateaux télévisés de certains médias, les directives diverses et variées de nos pauvres politiciens…

C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.

Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.

Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…

Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.

Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.

Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…

Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?

La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).

C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

La peur explique la difficulté, pour les politiques, de gérer cette crise sanitaire.

Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.

Selon un sondage Odoxa-CGI, 65 % des Français estiment que le gouvernement « n’est pas à la hauteur de la situation »

Déconfinement annoncé des écoles, des entreprises, des transports, des musées, des commerces… mais il ne serait toujours pas possible, le 11 mai, d’aller à la messe ?

Guillaume Bigot analyse le conflit entre le professeur Didier Raoult et le Conseil scientifique conseillant le gouvernement dans la crise du Covid-19 : deux approches

« Monte ranger ta chambre, va faire tes devoirs et, surtout, apprends à sourire aux grandes personnes. »

Gestion opaque, conflits d’intérêts, favoritisme : la liste des griefs formulés par la Cour des comptes à l’égard de l’Ordre des médecins en dit long sur cet organisme moralisateur.

« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?

Rare point de convergence : la difficulté à sortir du confinement sans risquer une nouvelle vague dévastatrice.

Sans doute un peu naïvement, le promoteur réactif de cette nouvelle production pensait obtenir des commandes de l’État, pour répondre aux besoins urgents dans les établissements de santé…

Atteinte à la liberté de culte, atteinte à la liberté de circulation, atteinte à la propriété (pour ceux qui ont une résidence secondaire), reprise de l’école oui-mais-non, bars et restaurants fermés, plages et parcs aussi…

Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?

Un pays dont les citoyens sont susceptibles d’être suivis à la trace par une puce électronique ou sommés de rendre compte de leur emploi du temps, un tel pays est-il encore une démocratie ?

Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.


Le retour de frontières nationales semble inéluctable.

Le sénateur Sébastien Meurant donne un entretien très complet à Boulevard Voltaire : gestion de la crise par le gouvernement et sa succession de mensonges,

Nous avons eu droit à ce que nous avons tous plus ou moins mal vécu : les nouvelles sensationnelles, les débats entre « spécialistes » le plus souvent incultes sur les plateaux télévisés de certains médias, les directives diverses et variées de nos pauvres politiciens…

C’est fou, quand on tire le fil, le nombre de libertés assez superflues.

Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.

Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…

Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.

Rappelons qu’en France, et depuis longtemps, tabac et alcool sont responsables, quotidiennement, de plus de 300 décès ; un chiffre de l’ordre de grandeur de la létalité du Covid-19 en sa phase aiguë.

Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…

Comment de tels stocks ont-ils pu être constitués en période de réquisition sans que les services de l’État en aient été informés ?

La spiritualité, là est le danger pour un monde de consommation, de distractions, de réseaux sociaux, où l’enseignement s’effondre et où l’on compte là-dessus pour tenir les masses.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).

C’était il y a un an. Le défilé du 1er mai cuvée 2019 finissait son parcours tumultueux à l’orée du service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

La peur explique la difficulté, pour les politiques, de gérer cette crise sanitaire.

Il ne faut pas voir les choses tout en noir, ce qui n’interdit pas non plus de rire jaune.

Selon un sondage Odoxa-CGI, 65 % des Français estiment que le gouvernement « n’est pas à la hauteur de la situation »

Déconfinement annoncé des écoles, des entreprises, des transports, des musées, des commerces… mais il ne serait toujours pas possible, le 11 mai, d’aller à la messe ?

Guillaume Bigot analyse le conflit entre le professeur Didier Raoult et le Conseil scientifique conseillant le gouvernement dans la crise du Covid-19 : deux approches

« Monte ranger ta chambre, va faire tes devoirs et, surtout, apprends à sourire aux grandes personnes. »

Gestion opaque, conflits d’intérêts, favoritisme : la liste des griefs formulés par la Cour des comptes à l’égard de l’Ordre des médecins en dit long sur cet organisme moralisateur.

« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?

Rare point de convergence : la difficulté à sortir du confinement sans risquer une nouvelle vague dévastatrice.

Sans doute un peu naïvement, le promoteur réactif de cette nouvelle production pensait obtenir des commandes de l’État, pour répondre aux besoins urgents dans les établissements de santé…

Atteinte à la liberté de culte, atteinte à la liberté de circulation, atteinte à la propriété (pour ceux qui ont une résidence secondaire), reprise de l’école oui-mais-non, bars et restaurants fermés, plages et parcs aussi…

Un « Bonjour, Madame ou Mademoiselle », appuyé par un sourire et une déférente inclination de la tête, vaut-il moins qu’une litanie de bises non souhaitées ?
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