Coronavirus

Oui, chers compatriotes, vous allez pouvoir prendre des vacances cet été. Ah, Monsieur Philippe, que vous êtes bon !

Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.

François Nicolas, président d’Amaclio Productions, crée des spectacles multi-technologiques valorisant l’Histoire et le patrimoine français

Interdit de rien faire ! Faut que ça bouge ! Et, bien sûr, c’est pour notre bien…

Dans leur ensemble, les personnels n’ont que faire des hochets. Ils veulent travailler dans de meilleures conditions et être mieux rémunérés.

On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.

Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.

Après avoir engendré un tel désastre, la Chine se vante donc d’être un pays totalitaire et nous incite à l’imiter.

Distribuer des masques de protection à ses administrés durant le déconfinement n’exclut pas de leur rappeler ô combien leur maire est formidable.

À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.

Les régimes les plus autoritaires n’avaient pas pensé à inventer le métier de contrôleur de gestes.

Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »


Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.

La vérité sur les responsabilités n’est toujours pas très claire.

Parmi les classiques mille fois rabâchés, l’aventure du lavage de mains avec du savon a été confiée à la mascotte de l’hôtel de ville : Bilal Hassani.
L’essai clinique Discovery, initiative européenne, visant à trouver un traitement contre le coronavirus, visiblement patine. Réaction du docteur Alain Houpert, sénateur LR de la Côte-d’Or.

Le Président français court avec un poids très lourd sur ses épaules. Il avance mais mal, il convainc mais peu.

Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.

Nous avions le très surréaliste « Ceci n’est pas une pipe », de René Magritte, le post-réaliste « Je ne suis pas un homme, monsieur » d’Arnaud Gauthier-Fawas. Nous avons désormais le « Ce n’est pas un raté », d’Olivier Véran.

Peut-être, aussi, enfonce-t-il quelques portes ouvertes et commet-il quelques contresens.

Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.

Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.
Infantilisante et anxiogène, telle est la parole gouvernementale.

Quel est le bilan de la gestion de la crise à J-1 ?

Et puis, elle a la science pour elle, Anne Hidalgo. Autre chose que le café du commerce, fermé jusqu’à nouvel ordre.

En cherchant bien, on peut apprendre quelques cas rares détectés dans ces lointains territoires, ce qui laisserait supposer que les mouvements d’entrée et sortie de personnes y sont rares…

Dire qu’on en a trop, et trop mal, fait – surtout en France –, au prix d’une casse économique qu’on pressent dramatique, est une idée défendable.

Oui, chers compatriotes, vous allez pouvoir prendre des vacances cet été. Ah, Monsieur Philippe, que vous êtes bon !

Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.

François Nicolas, président d’Amaclio Productions, crée des spectacles multi-technologiques valorisant l’Histoire et le patrimoine français

Interdit de rien faire ! Faut que ça bouge ! Et, bien sûr, c’est pour notre bien…

Dans leur ensemble, les personnels n’ont que faire des hochets. Ils veulent travailler dans de meilleures conditions et être mieux rémunérés.

On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.

Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.

Après avoir engendré un tel désastre, la Chine se vante donc d’être un pays totalitaire et nous incite à l’imiter.

Distribuer des masques de protection à ses administrés durant le déconfinement n’exclut pas de leur rappeler ô combien leur maire est formidable.

À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.

Les régimes les plus autoritaires n’avaient pas pensé à inventer le métier de contrôleur de gestes.

Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »


Comme les goélands opportunistes revenus vers la ville, les milliards s’envolent et planent au-dessus de nos têtes.

La vérité sur les responsabilités n’est toujours pas très claire.

Parmi les classiques mille fois rabâchés, l’aventure du lavage de mains avec du savon a été confiée à la mascotte de l’hôtel de ville : Bilal Hassani.
L’essai clinique Discovery, initiative européenne, visant à trouver un traitement contre le coronavirus, visiblement patine. Réaction du docteur Alain Houpert, sénateur LR de la Côte-d’Or.

Le Président français court avec un poids très lourd sur ses épaules. Il avance mais mal, il convainc mais peu.

Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.

Nous avions le très surréaliste « Ceci n’est pas une pipe », de René Magritte, le post-réaliste « Je ne suis pas un homme, monsieur » d’Arnaud Gauthier-Fawas. Nous avons désormais le « Ce n’est pas un raté », d’Olivier Véran.

Peut-être, aussi, enfonce-t-il quelques portes ouvertes et commet-il quelques contresens.

Il paraît qu’après avoir tant râlé après ces mesures « dignes du Moyen Âge » et ces odieuses atteintes à nos libertés fondamentales, 35 % des Français ne tiennent pas à ressortir de chez eux.

Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.
Infantilisante et anxiogène, telle est la parole gouvernementale.

Quel est le bilan de la gestion de la crise à J-1 ?

Et puis, elle a la science pour elle, Anne Hidalgo. Autre chose que le café du commerce, fermé jusqu’à nouvel ordre.

En cherchant bien, on peut apprendre quelques cas rares détectés dans ces lointains territoires, ce qui laisserait supposer que les mouvements d’entrée et sortie de personnes y sont rares…

Dire qu’on en a trop, et trop mal, fait – surtout en France –, au prix d’une casse économique qu’on pressent dramatique, est une idée défendable.
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