Religion

Si les réponses culturelles et judiciaires ne sont pas à la hauteur, elles encourageront encore ce genre d’actions.

Au nom de la laïcité et sans doute aussi du wokisme, les chrétiens peuvent voir leurs lieux de culte partir en fumée sans que la classe politique ni les médias bon teint ne s’en indignent.
Deux des imams qui devaient tenir une conférence à proximité d’Avignon (Vaucluse), le 9 janvier dernier, ont annoncé organiser un nouveau rassemblement, ce samedi 29 janvier, à Grenoble (Isère).

Sœur André ne s’est pourtant pas ménagée, le développement personnel et le « care » lui étaient étrangers, ce sont rusticité et oubli de soi qui lui ont réussi.

L’organisation à l’origine du rassemblement n’est pas une inconnue.

Signe de la progression de cet antichristianisme bien français, les actes antichrétiens perpétrés sur notre territoire n’émeuvent plus qu’une maigre partie de la population.
Une manifestation aura lieu le samedi 28 janvier à 14 h devant la statue de la Vierge à La Flotte-en-Ré pour s’opposer à la décision du tribunal administratif de Bordeaux qui demande son retrait de l’espace public.
« Le presbytère a été entièrement brûlé et le curé, le révérend père Isaac Achi, a été tué tandis que l’assistant paroissial a été blessé par balle mais répond aux soins », explique le communiqué du diocèse de Minna.

La présence d’une statue de la Vierge à un carrefour est ainsi intolérable, quand la vision de la femme que sous-tend le port du burkini ne semble, quant à elle, poser problème à personne.
L’ancienne église Sainte-Marguerite-Marie d’Ottawa devrait être rachetée en mars par le Conseil suprême islamique du Canada.

Le sanctuaire a beaucoup fait parler de lui, ces dernières années, tant pour la pratique religieuse radicale qui s’y se tenait que pour le traitement de faveur dont il bénéficiait grâce aux largesses de la mairie.

La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.

Nous attendons avec hâte la prochaine jurisprudence, quand le Conseil d’Etat validera la préemption d’un terrain qui permettra l’extension du presbytère accolé à l’église du village afin de créer une école catholique hors contrat…
Au vu de cet « élément nouveau », le député de la 3e circonscription de Vaucluse, Hervé de Lépinau, a saisi le ministère de l’Intérieur.

Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).

Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Des élus avaient manifesté leur inquiétude auprès des services de l’État.

Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.

Une tradition, presque aussi vieille que le Christ lui-même, qui est fermement ancrée dans notre culture judéo-chrétienne ainsi que dans nos maisons.

Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.

Jeudi, l’Occident des lettres, des moines, des vastes bibliothèques antiques et feutrées, du savoir-vivre et du long dépôt civilisationnel hérité des siècles, l’Occident qui fascina si longtemps le monde s’effacera un peu avec lui.

Dans le Vaucluse, même si le logo de BarakaCity a été soigneusement effacé de la nouvelle affiche, la réunion continue donc d’inquiéter.
Les anciens chef d’État, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ne se rendront pas non plus aux obsèques de Benoît XVI.

Est-ce aux fidèles de la paroisse Saint-Roch de Paris ou à l’épiscopat parisien de dire quelles sont les brebis égarées à sauver et celles que l’on peut négliger ?

Nous autres ne crachons pas sur les tombes, et autrefois nos aïeuls se découvraient au passage d’un corbillard…

Le pape Benoît XVI vient de s’éteindre au monastère Mater Ecclesiae, dans l’enceinte de la cité du Vatican où il s’était retiré après sa renonciation à la charge pontificale, le 11 février 2013.

Sa mort révèle, par contraste, l’étendue immense de son héritage spirituel, immatériel : des prêtres dynamiques et embrasés par la charité, dans le sillage du cardinal Sarah, désormais bien seul pour écoper la barque de Pierre.

Le journaliste et écrivain Laurent Dandrieu réagit à notre micro au décès du pape émérite Benoît XVI. Derrière les clichés et les polémiques qui ont

Si les réponses culturelles et judiciaires ne sont pas à la hauteur, elles encourageront encore ce genre d’actions.

Au nom de la laïcité et sans doute aussi du wokisme, les chrétiens peuvent voir leurs lieux de culte partir en fumée sans que la classe politique ni les médias bon teint ne s’en indignent.
Deux des imams qui devaient tenir une conférence à proximité d’Avignon (Vaucluse), le 9 janvier dernier, ont annoncé organiser un nouveau rassemblement, ce samedi 29 janvier, à Grenoble (Isère).

Sœur André ne s’est pourtant pas ménagée, le développement personnel et le « care » lui étaient étrangers, ce sont rusticité et oubli de soi qui lui ont réussi.

L’organisation à l’origine du rassemblement n’est pas une inconnue.

Signe de la progression de cet antichristianisme bien français, les actes antichrétiens perpétrés sur notre territoire n’émeuvent plus qu’une maigre partie de la population.
Une manifestation aura lieu le samedi 28 janvier à 14 h devant la statue de la Vierge à La Flotte-en-Ré pour s’opposer à la décision du tribunal administratif de Bordeaux qui demande son retrait de l’espace public.
« Le presbytère a été entièrement brûlé et le curé, le révérend père Isaac Achi, a été tué tandis que l’assistant paroissial a été blessé par balle mais répond aux soins », explique le communiqué du diocèse de Minna.

La présence d’une statue de la Vierge à un carrefour est ainsi intolérable, quand la vision de la femme que sous-tend le port du burkini ne semble, quant à elle, poser problème à personne.
L’ancienne église Sainte-Marguerite-Marie d’Ottawa devrait être rachetée en mars par le Conseil suprême islamique du Canada.

Le sanctuaire a beaucoup fait parler de lui, ces dernières années, tant pour la pratique religieuse radicale qui s’y se tenait que pour le traitement de faveur dont il bénéficiait grâce aux largesses de la mairie.

La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.

Nous attendons avec hâte la prochaine jurisprudence, quand le Conseil d’Etat validera la préemption d’un terrain qui permettra l’extension du presbytère accolé à l’église du village afin de créer une école catholique hors contrat…
Au vu de cet « élément nouveau », le député de la 3e circonscription de Vaucluse, Hervé de Lépinau, a saisi le ministère de l’Intérieur.

Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).

Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Des élus avaient manifesté leur inquiétude auprès des services de l’État.

Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.

Une tradition, presque aussi vieille que le Christ lui-même, qui est fermement ancrée dans notre culture judéo-chrétienne ainsi que dans nos maisons.

Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.

Jeudi, l’Occident des lettres, des moines, des vastes bibliothèques antiques et feutrées, du savoir-vivre et du long dépôt civilisationnel hérité des siècles, l’Occident qui fascina si longtemps le monde s’effacera un peu avec lui.

Dans le Vaucluse, même si le logo de BarakaCity a été soigneusement effacé de la nouvelle affiche, la réunion continue donc d’inquiéter.
Les anciens chef d’État, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ne se rendront pas non plus aux obsèques de Benoît XVI.

Est-ce aux fidèles de la paroisse Saint-Roch de Paris ou à l’épiscopat parisien de dire quelles sont les brebis égarées à sauver et celles que l’on peut négliger ?

Nous autres ne crachons pas sur les tombes, et autrefois nos aïeuls se découvraient au passage d’un corbillard…

Le pape Benoît XVI vient de s’éteindre au monastère Mater Ecclesiae, dans l’enceinte de la cité du Vatican où il s’était retiré après sa renonciation à la charge pontificale, le 11 février 2013.

Sa mort révèle, par contraste, l’étendue immense de son héritage spirituel, immatériel : des prêtres dynamiques et embrasés par la charité, dans le sillage du cardinal Sarah, désormais bien seul pour écoper la barque de Pierre.

Le journaliste et écrivain Laurent Dandrieu réagit à notre micro au décès du pape émérite Benoît XVI. Derrière les clichés et les polémiques qui ont
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