Polémiques

Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.

Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.

Une vision très unilatérale qui pose question.

Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.

Pourtant, la statue n’a jamais posé de problème jusqu’au jour où une certaine association en a décidé autrement.

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.

Alors que l’Ukraine flambe, que la France est toujours le pays le plus riche du tiers-monde et que nous portons toujours des masques dans le métro, ça fait du bien de se recentrer sur les vrais sujets…
Sur décision du tribunal administratif de Poitiers, la ville a désormais six mois pour retirer ce monument, soit jusqu’en septembre prochain.

Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?

Un prêtre qui demande justice pour un chapelet récité devant une église… notre époque est décidément très très étonnante.

Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.

Une des pires taches du quinquennat pourtant passée presque inaperçue il y a une semaine.

La riposte, en effet, ne tarda pas à venir. Et comme une guerre peut en cacher une autre, on (le gouvernement) décida d’afficher le drapeau ukrainien dans l’application TousAntiCovid.

Côté LR, la candidate Valérie Pécresse dénonce, bien sûr, « des accusations grotesques » et le parti annonce vouloir saisir la Justice. Avec quels chefs d’accusation ?

Cela fait quelques années, maintenant, que la cause animale a trouvé un écho dans le milieu des stars.

Jamais dans l’Histoire du pays, en dehors des deux guerres mondiales, le gouvernement canadien n’avait mis en œuvre l’état de siège, encore moins la loi martiale.

Tout est bon pour essayer de se faire élire à la fonction suprême.

Ça aurait pu être l’église Saint-Truc ou la chapelle Sainte-Machine, voire même la mosquée du quartier ou la synagogue du coin, non ? Oui, mais non.

À quelques semaines du premier tour, le long métrage vient donner le petit coup de pouce qui aurait peut-être manqué à la campagne d’Emmanuel Macron.

On peut, comme Anne Hidalgo, considérer que si l’on n’a pas 500 parrainages, c’est qu’on ne mérite pas de concourir. On peut aussi se dire que tout cela n’est pas très démocratique ; on peut même en conclure que la démocratie française sent le sapin.

Quand s’agit d’une agression verbale et physique sur un militant de droite, les convictions sont vites oubliées.

C’est un véritable score de république soviétique qui aura marqué cette « consultation citoyenne » : 92,4 % des votes validés se sont exprimés en faveur du « oui » au retour de l’Alsace sur ses terres.

Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?

Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).
Selon Brigitte Bardot, Éric Zemmour ne pourra pas emporter l’adhésion des Français.

Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.

Croit-on qu’en supprimant en plus le statut de fonctionnaire – qui restait l’un des derniers attraits du métier pour beaucoup de familles et d’étudiants – on parviendra à attirer davantage de candidats ?

Visiblement, on ne doit pas vivre dans le même monde.

Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.

Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.

Une vision très unilatérale qui pose question.

Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.

Pourtant, la statue n’a jamais posé de problème jusqu’au jour où une certaine association en a décidé autrement.

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.

Alors que l’Ukraine flambe, que la France est toujours le pays le plus riche du tiers-monde et que nous portons toujours des masques dans le métro, ça fait du bien de se recentrer sur les vrais sujets…
Sur décision du tribunal administratif de Poitiers, la ville a désormais six mois pour retirer ce monument, soit jusqu’en septembre prochain.

Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?

Un prêtre qui demande justice pour un chapelet récité devant une église… notre époque est décidément très très étonnante.

Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.

Une des pires taches du quinquennat pourtant passée presque inaperçue il y a une semaine.

La riposte, en effet, ne tarda pas à venir. Et comme une guerre peut en cacher une autre, on (le gouvernement) décida d’afficher le drapeau ukrainien dans l’application TousAntiCovid.

Côté LR, la candidate Valérie Pécresse dénonce, bien sûr, « des accusations grotesques » et le parti annonce vouloir saisir la Justice. Avec quels chefs d’accusation ?

Cela fait quelques années, maintenant, que la cause animale a trouvé un écho dans le milieu des stars.

Jamais dans l’Histoire du pays, en dehors des deux guerres mondiales, le gouvernement canadien n’avait mis en œuvre l’état de siège, encore moins la loi martiale.

Tout est bon pour essayer de se faire élire à la fonction suprême.

Ça aurait pu être l’église Saint-Truc ou la chapelle Sainte-Machine, voire même la mosquée du quartier ou la synagogue du coin, non ? Oui, mais non.

À quelques semaines du premier tour, le long métrage vient donner le petit coup de pouce qui aurait peut-être manqué à la campagne d’Emmanuel Macron.

On peut, comme Anne Hidalgo, considérer que si l’on n’a pas 500 parrainages, c’est qu’on ne mérite pas de concourir. On peut aussi se dire que tout cela n’est pas très démocratique ; on peut même en conclure que la démocratie française sent le sapin.

Quand s’agit d’une agression verbale et physique sur un militant de droite, les convictions sont vites oubliées.

C’est un véritable score de république soviétique qui aura marqué cette « consultation citoyenne » : 92,4 % des votes validés se sont exprimés en faveur du « oui » au retour de l’Alsace sur ses terres.

Alors, après le Penelopegate, le Rousselgate ?

Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).
Selon Brigitte Bardot, Éric Zemmour ne pourra pas emporter l’adhésion des Français.

Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.

Croit-on qu’en supprimant en plus le statut de fonctionnaire – qui restait l’un des derniers attraits du métier pour beaucoup de familles et d’étudiants – on parviendra à attirer davantage de candidats ?

Visiblement, on ne doit pas vivre dans le même monde.
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