Polémiques

Vont-ils faire coïncider son retour avec celui de Grégoire de Fournas et couvrir ce dernier sous les cris pour planquer celui du député insoumis ?

Sans grande surprise, les réseaux sociaux se sont tôt emparés du sujet, rivalisant là aussi de délicatesse.

Quoi qu’on lui dise, Anne Hidalgo ricane. Elle le sait : en politique, les Français n’ont pas de mémoire. Alors…

Sandrine Rousseau, en vérité, n’a pas commis de faute de français… pour une fois.

Boyard, cela devenait évident, était venu faire un coup médiatique.

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

Monsieur le maire et le préfet maritime se recueillent devant le monument aux morts. Leur main droite ignore ce que fait leur main gauche car la petite cuisine immigrationniste, elle, se fait dans l’arsenal, à l’abri des regards.

« Au delà de ce tweet dégueulasse, on constate l’indignation à géométrie variable de la Nupes et des médias. A moins que vous n’ayez vu un bandeau sur BFM TV ? »

« Ce projet n’a jamais été validé par la hiérarchie. Produit interne d’un service, il n’a aucune valeur officielle. » C’est ce qui s’appelle couvrir ses subordonnés.

Le mot du député Fournas à l’Assemblée nationale le 3 novembre aura eu un mérite : prendre la main dans le sac nos médias publics en plein travestissement des faits. Une histoire révélatrice.

Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.

Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.

Objectif : contraindre les Français à accepter les migrants qui souhaitent se rendre sur notre sol. Et stopper l’ascension du RN dans les intentions de vote. Il y avait le feu.

Ce 4 novembre, la NUPES organisait une manifestation devant l’Assemblée nationale en soutien à Carlos Bilongo. Elle s’y révèle plus vraie que nature, insultant BV, prenant à partie le député RN Jean-Philippe Tanguy ou enchaînant les arguments de mauvaise foi.
Grégoire de Fournas a interdiction de paraître au palais Bourbon pendant quinze jours de séances et se voit supprimer la moitié de son indemnité parlementaire pendant deux mois.

Il ne faudrait pas oublier qu’une certaine gauche, extrême le plus souvent, a plus le goût de la dramaturgie que celui du sens commun.

On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.

Une saillie qui a fait se lever les députés des autres groupes et contraint la présidente de l’Assemblée nationale à demander une suspension de séance.

Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».

Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?

On ne sait d’ailleurs pas si elle y est retournée, à l’école. Peu importe, Greta Thunberg a un job en or, et qu’elle aille ou non à la COP27 n’a strictement aucune importance.

« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?

Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.

Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.

Où sont passés ces gentils rebelles qui tapent sur la tête des flics et des pompiers ? Grégory Doucet se désole. Ne reconnaît plus sa ville. S’indigne de l’indignation.

Par contraste avec ses adversaires, il est également en train d’apparaître, ces jours-ci, comme un homme modéré, intelligent, un défenseur de la liberté.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?

Vont-ils faire coïncider son retour avec celui de Grégoire de Fournas et couvrir ce dernier sous les cris pour planquer celui du député insoumis ?

Sans grande surprise, les réseaux sociaux se sont tôt emparés du sujet, rivalisant là aussi de délicatesse.

Quoi qu’on lui dise, Anne Hidalgo ricane. Elle le sait : en politique, les Français n’ont pas de mémoire. Alors…

Sandrine Rousseau, en vérité, n’a pas commis de faute de français… pour une fois.

Boyard, cela devenait évident, était venu faire un coup médiatique.

Emmanuel Macron s’entoure de ministres complaisants, qui pensent plus à leur carrière qu’à l’intérêt de la France. Ils servent leurs maîtres plus qu’ils ne servent l’État et ne se réveillent que quand ils ne risquent plus rien et qu’il est déjà trop tard.

Monsieur le maire et le préfet maritime se recueillent devant le monument aux morts. Leur main droite ignore ce que fait leur main gauche car la petite cuisine immigrationniste, elle, se fait dans l’arsenal, à l’abri des regards.

« Au delà de ce tweet dégueulasse, on constate l’indignation à géométrie variable de la Nupes et des médias. A moins que vous n’ayez vu un bandeau sur BFM TV ? »

« Ce projet n’a jamais été validé par la hiérarchie. Produit interne d’un service, il n’a aucune valeur officielle. » C’est ce qui s’appelle couvrir ses subordonnés.

Le mot du député Fournas à l’Assemblée nationale le 3 novembre aura eu un mérite : prendre la main dans le sac nos médias publics en plein travestissement des faits. Une histoire révélatrice.

Le seul qui s’en tire avec dignité, c’est, une fois de plus, François-Xavier Bellamy.

Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.

Objectif : contraindre les Français à accepter les migrants qui souhaitent se rendre sur notre sol. Et stopper l’ascension du RN dans les intentions de vote. Il y avait le feu.

Ce 4 novembre, la NUPES organisait une manifestation devant l’Assemblée nationale en soutien à Carlos Bilongo. Elle s’y révèle plus vraie que nature, insultant BV, prenant à partie le député RN Jean-Philippe Tanguy ou enchaînant les arguments de mauvaise foi.
Grégoire de Fournas a interdiction de paraître au palais Bourbon pendant quinze jours de séances et se voit supprimer la moitié de son indemnité parlementaire pendant deux mois.

Il ne faudrait pas oublier qu’une certaine gauche, extrême le plus souvent, a plus le goût de la dramaturgie que celui du sens commun.

On savait que LR était un parti de bourgeois. On sait désormais que ces bourgeois sont ceux de Calais.

Une saillie qui a fait se lever les députés des autres groupes et contraint la présidente de l’Assemblée nationale à demander une suspension de séance.

Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».

Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?

On ne sait d’ailleurs pas si elle y est retournée, à l’école. Peu importe, Greta Thunberg a un job en or, et qu’elle aille ou non à la COP27 n’a strictement aucune importance.

« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?

Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.

Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.

Où sont passés ces gentils rebelles qui tapent sur la tête des flics et des pompiers ? Grégory Doucet se désole. Ne reconnaît plus sa ville. S’indigne de l’indignation.

Par contraste avec ses adversaires, il est également en train d’apparaître, ces jours-ci, comme un homme modéré, intelligent, un défenseur de la liberté.

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Darmanin aurait donc raconté n’importe quoi (on n’ose pas dire « une fois encore ») ?
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