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Avec madame Damidot, nous avons changé de siècle et de civilisation.

Question épure, le salon Napoléon III que nous a concocté Mme Emmanuel Macron (née Brigitte Trogneux) sous le regard attendri de son mari est digne d’un salon de funérarium.

On ne sait pas pour qui elle a voté, mais ce n’est certainement pas pour Marine Le Pen…

Après, on remarquera que François Hollande a encore des progrès à accomplir pour jouer dans la cour des grands, sachant qu’à lui seul, un Bill Clinton a déjà empoché 75 millions de dollars en faisant la causette aux puissants de ce monde.

Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu hais !
Il a besoin d’un tuteur, en l’occurrence d’une tutrice, pour l’empêcher de faire trop de bêtises ! Que serait-ce si Brigitte n’était pas à ses côtés ?

De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.

Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.


Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?

De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Sur le plateau, le malaise est palpable. Faut-il rire ou pas ?

On découvre en effet dans le clip une piñata à l’effigie de Marine Le Pen que Médine fait mine de frapper avec une batte avant que des enfants ne s’acharnent dessus à coups de bâton…
En tout cas, on l’a trouvé, le mâle blanc dominant de cinquante ans, version un tantinet aigrie.

Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites.

Deschamps a bien compris que, dans l’idéologie française, « égalité » venait loin devant « liberté »…

Dubosc, probablement un peu sonné – en tout cas, certain, maintenant, qu’il a parlé trop vite -, se dédit…

Les journalistes bien élevés et rompus aux arts du métier savent que Catherine Deneuve répugne à répondre aux questions relatives à sa vie privée. C’est son droit et son honneur.
Johnny Hallyday n’est plus mais il est toujours là, occupant le devant de la scène avec sa veuve, ses enfants, son pognon et ses chansons.

Elle n’est pas de la caste. Pire : une actrice populaire, plus souvent épinglée dans les cabines des camionneurs du Middle West qu’à la liste des Oscars®.

Le look « attachée de presse » fringuée comme un sapin de Noël à 2.000 euros la guirlande n’a pas séduit les foules.

Que Maïtena Biraben adopte de jeunes migrants… Mais qu’elle ne bafoue pas la loi.

Pouces en l’air, Brigitte ne tourne pas autour du pot.

En revanche, on a bien compris à qui il réserve sa haute estime. À Yassine Bellatar, celui qui considère Macron comme son « frère », et Médine qui, c’est trop injuste, n’a pu se produire au Bataclan.
Le petit fiancé de la France a pris de l’âge mais il a toujours le réflexe de la mise en scène.

Interrogé sur les gilets jaunes, dont il ne connaît pas les motivations parce qu’il vit au Portugal (on ne sait si c’est pour le climat ou les impôts), il les invite à se méfier du RN.
Ainsi, ce jeudi 15 novembre, le philosophe fils de philosophe réunissait-il le troupeau de ses fidèles à Montreuil.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.

Avec madame Damidot, nous avons changé de siècle et de civilisation.

Question épure, le salon Napoléon III que nous a concocté Mme Emmanuel Macron (née Brigitte Trogneux) sous le regard attendri de son mari est digne d’un salon de funérarium.

On ne sait pas pour qui elle a voté, mais ce n’est certainement pas pour Marine Le Pen…

Après, on remarquera que François Hollande a encore des progrès à accomplir pour jouer dans la cour des grands, sachant qu’à lui seul, un Bill Clinton a déjà empoché 75 millions de dollars en faisant la causette aux puissants de ce monde.

Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu hais !
Il a besoin d’un tuteur, en l’occurrence d’une tutrice, pour l’empêcher de faire trop de bêtises ! Que serait-ce si Brigitte n’était pas à ses côtés ?

De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.

Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.


Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?

De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Sur le plateau, le malaise est palpable. Faut-il rire ou pas ?

On découvre en effet dans le clip une piñata à l’effigie de Marine Le Pen que Médine fait mine de frapper avec une batte avant que des enfants ne s’acharnent dessus à coups de bâton…
En tout cas, on l’a trouvé, le mâle blanc dominant de cinquante ans, version un tantinet aigrie.

Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites.

Deschamps a bien compris que, dans l’idéologie française, « égalité » venait loin devant « liberté »…

Dubosc, probablement un peu sonné – en tout cas, certain, maintenant, qu’il a parlé trop vite -, se dédit…

Les journalistes bien élevés et rompus aux arts du métier savent que Catherine Deneuve répugne à répondre aux questions relatives à sa vie privée. C’est son droit et son honneur.
Johnny Hallyday n’est plus mais il est toujours là, occupant le devant de la scène avec sa veuve, ses enfants, son pognon et ses chansons.

Elle n’est pas de la caste. Pire : une actrice populaire, plus souvent épinglée dans les cabines des camionneurs du Middle West qu’à la liste des Oscars®.

Le look « attachée de presse » fringuée comme un sapin de Noël à 2.000 euros la guirlande n’a pas séduit les foules.

Que Maïtena Biraben adopte de jeunes migrants… Mais qu’elle ne bafoue pas la loi.

Pouces en l’air, Brigitte ne tourne pas autour du pot.

En revanche, on a bien compris à qui il réserve sa haute estime. À Yassine Bellatar, celui qui considère Macron comme son « frère », et Médine qui, c’est trop injuste, n’a pu se produire au Bataclan.
Le petit fiancé de la France a pris de l’âge mais il a toujours le réflexe de la mise en scène.

Interrogé sur les gilets jaunes, dont il ne connaît pas les motivations parce qu’il vit au Portugal (on ne sait si c’est pour le climat ou les impôts), il les invite à se méfier du RN.
Ainsi, ce jeudi 15 novembre, le philosophe fils de philosophe réunissait-il le troupeau de ses fidèles à Montreuil.

La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
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