Médias
Il a poussé un coup de gueule dans deux tweets percutants.
Il suffit qu’un mot soit américain pour qu’instantanément le journaliste prétendument français le fasse sien.
Pourquoi cette « décharlisation » des esprits ?
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La désinformation est un procédé bien plus redoutable pour répandre le mensonge, bien plus efficace pour normaliser les esprits.
Bizarrement quand les chiffres tombent, la presse n’en dit rien, car il n’y a qu’une seule vérité publiable.
Ce ne sont pas des fake news. Et cela en dit long sur l’état de la France périphérique…
Trump sera-t-il « dégagé » par les chrétiens populistes pour cause de haute trahison électorale ?
On ne doit pas couper en tranches un génie furieux de la littérature.
Présenter comme une icône « un bourreau sanguinaire, raciste et assoiffé de sang » ne correspond pas aux valeurs de la France.
Décidément, la peur d’être discriminés n’est rien à côté de celle d’être oubliés, plus encore sur des sujets qui n’ont rien à voir avec eux.
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
« Qu’Emmanuel Macron – qui s’est montré plutôt habile jusqu’ici – se lance dans cette chasse aux « fake news » me laisse perplexe. »
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Il ne suffit pas d’avoir à l’Élysée un beau gosse intelligent, cultivé, sachant se tenir, pour diriger notre pays dans la bonne direction.
Les onze morts de Charlie Hebdo, c’était il y a trois ans. Aujourd’hui, les survivants vivent dans une sorte de bunker.

Eurêka ! Gérard Collomb a trouvé l’origine de la violence des banlieues. C’est la faute à l’urbanisme.
La panique des Mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes.

Sur chaque continent, il y a un État pionnier des délires bobos. En Europe, c’est la Hollande ; en Amérique du Nord, c’est la Californie.
En ce jeudi 3 janvier, de nombreux journaux de la presse quotidienne nationale et régionale reviennent, dans leurs unes, sur deux affaires qui vont connaître un certain retentissement.
Daniel Cordier n’a jamais été communiste : au nom de la liberté, comme il le déclara dans une interview à L’Obs en 2013.
Le drame de Champigny, c’est le quotidien des Français !
Les aspects sanitaires de la légalisation sont totalement occultés.
Il a poussé un coup de gueule dans deux tweets percutants.
Il suffit qu’un mot soit américain pour qu’instantanément le journaliste prétendument français le fasse sien.
Pourquoi cette « décharlisation » des esprits ?
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La désinformation est un procédé bien plus redoutable pour répandre le mensonge, bien plus efficace pour normaliser les esprits.
Bizarrement quand les chiffres tombent, la presse n’en dit rien, car il n’y a qu’une seule vérité publiable.
Ce ne sont pas des fake news. Et cela en dit long sur l’état de la France périphérique…
Trump sera-t-il « dégagé » par les chrétiens populistes pour cause de haute trahison électorale ?
On ne doit pas couper en tranches un génie furieux de la littérature.
Présenter comme une icône « un bourreau sanguinaire, raciste et assoiffé de sang » ne correspond pas aux valeurs de la France.
Décidément, la peur d’être discriminés n’est rien à côté de celle d’être oubliés, plus encore sur des sujets qui n’ont rien à voir avec eux.
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
« Qu’Emmanuel Macron – qui s’est montré plutôt habile jusqu’ici – se lance dans cette chasse aux « fake news » me laisse perplexe. »
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Il ne suffit pas d’avoir à l’Élysée un beau gosse intelligent, cultivé, sachant se tenir, pour diriger notre pays dans la bonne direction.
Les onze morts de Charlie Hebdo, c’était il y a trois ans. Aujourd’hui, les survivants vivent dans une sorte de bunker.

Eurêka ! Gérard Collomb a trouvé l’origine de la violence des banlieues. C’est la faute à l’urbanisme.
La panique des Mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes.

Sur chaque continent, il y a un État pionnier des délires bobos. En Europe, c’est la Hollande ; en Amérique du Nord, c’est la Californie.
En ce jeudi 3 janvier, de nombreux journaux de la presse quotidienne nationale et régionale reviennent, dans leurs unes, sur deux affaires qui vont connaître un certain retentissement.
Daniel Cordier n’a jamais été communiste : au nom de la liberté, comme il le déclara dans une interview à L’Obs en 2013.
Le drame de Champigny, c’est le quotidien des Français !
Les aspects sanitaires de la légalisation sont totalement occultés.
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