Manifestations

Peut-être une sortie « Courtepaille » de temps en temps.

Donc, il y aura (au moins) une liste « gilets jaunes » aux élections européennes. C’est dit, mais ce n’est pas fait.

Quand, dans une démocratie, naît une presse dissidente, alternative, c’est le signe que cette démocratie va mal.

Cette opposition binaire comporte un grand non-dit, toujours le même : celui de l’immigration.

Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.

C’est ainsi que Georges Pompidou avait mis fin au chaos de 1968.

Les images font peur : l’exécution du mannequin représentant Emmanuel Macron à l’issue d’un procès et d’une mise en scène à Angoulême…

Quelques millions d’écriture à déchiffrer par un ordinateur qui, comme les boules du Loto, sortira par magie les dix propositions les plus populaires.

Et c’est l’enseignement éclatant de cet automne 2018 : le mouvement social et populaire se fait désormais sans la gauche (partis et syndicats) voire contre elle…
Ce jeudi soir, environ 200 policiers ont répondu présent à l’appel du mystérieux collectif des « gyros bleus » et se sont rassemblés, à proximité de l’Élysée.
L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.

Le sujet est le même : les impôts et l’égalité de tous ; comme si, en un peu plus de deux siècles, la société française avait peu ou pas évolué.

Où sont les défenseurs de la famille, dans ce grand débat annoncé ? Quid des militants de la manif pour tous ? Où sont les hommes d’Église, les responsables d’associations familiales ?

Ainsi, l’économie et l’écologie, qui semblent irréconciliables à des Français acculés, pourraient leur offrir un horizon qui ne serait pas fait d’aumônes ni de subventions…

Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.
Deux vrais thèmes ne sont pas abordés : l’immigration et le rôle des banques dans le financement des TPE/PME/PMI, là où il y a de réels gisements d’emplois…

Les discussions des gilets jaunes portaient plus sur les cadeaux gouvernementaux que sur ceux mis au bas du sapin.

La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !

Je me risque à prédire que la grogne va reprendre de plus belle.

Les Français plus macronistes que le roi ou plus royalistes que Macron, si vous voulez.
Mais Christophe Barbier n’est pas homme à se défiler devant les enjeux : le moment est venu de parler de la question migratoire !

Après les fêtes, les bénéfices des uns paraîtront bien maigres, et la rancœur de ceux que la complexité des plafonds et des seuils aura laissés à l’écart de la distribution n’en sera que plus vive.

Il ne faudrait pas que ces augmentations de salaire deviennent un solde de tous comptes, laissant l’essentiel de côté.

Ce sont les mêmes motivations qui ont conduit les Américains des régions sinistrées des États-Unis à voter pour Trump que celles qui mettent tant de gilets jaunes dans la rue en France.

Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.

On ne sait pas, pour le moment, l’origine exacte de l’incendie. Mais cela n’a pas empêché Christophe Castaner d’en attribuer illico la responsabilité aux gilets jaunes.

Un premier pas vient d’être franchi lundi puisque le chanteur Francis Lalanne a annoncé avoir trouvé un début de financement pour la constitution d’une liste « gilet jaune » en vue des prochaines échéances électorales.

Peut-être une sortie « Courtepaille » de temps en temps.

Donc, il y aura (au moins) une liste « gilets jaunes » aux élections européennes. C’est dit, mais ce n’est pas fait.

Quand, dans une démocratie, naît une presse dissidente, alternative, c’est le signe que cette démocratie va mal.

Cette opposition binaire comporte un grand non-dit, toujours le même : celui de l’immigration.

Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.

C’est ainsi que Georges Pompidou avait mis fin au chaos de 1968.

Les images font peur : l’exécution du mannequin représentant Emmanuel Macron à l’issue d’un procès et d’une mise en scène à Angoulême…

Quelques millions d’écriture à déchiffrer par un ordinateur qui, comme les boules du Loto, sortira par magie les dix propositions les plus populaires.

Et c’est l’enseignement éclatant de cet automne 2018 : le mouvement social et populaire se fait désormais sans la gauche (partis et syndicats) voire contre elle…
Ce jeudi soir, environ 200 policiers ont répondu présent à l’appel du mystérieux collectif des « gyros bleus » et se sont rassemblés, à proximité de l’Élysée.
L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.

Le sujet est le même : les impôts et l’égalité de tous ; comme si, en un peu plus de deux siècles, la société française avait peu ou pas évolué.

Où sont les défenseurs de la famille, dans ce grand débat annoncé ? Quid des militants de la manif pour tous ? Où sont les hommes d’Église, les responsables d’associations familiales ?

Ainsi, l’économie et l’écologie, qui semblent irréconciliables à des Français acculés, pourraient leur offrir un horizon qui ne serait pas fait d’aumônes ni de subventions…

Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.
Deux vrais thèmes ne sont pas abordés : l’immigration et le rôle des banques dans le financement des TPE/PME/PMI, là où il y a de réels gisements d’emplois…

Les discussions des gilets jaunes portaient plus sur les cadeaux gouvernementaux que sur ceux mis au bas du sapin.

La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !

Je me risque à prédire que la grogne va reprendre de plus belle.

Les Français plus macronistes que le roi ou plus royalistes que Macron, si vous voulez.
Mais Christophe Barbier n’est pas homme à se défiler devant les enjeux : le moment est venu de parler de la question migratoire !

Après les fêtes, les bénéfices des uns paraîtront bien maigres, et la rancœur de ceux que la complexité des plafonds et des seuils aura laissés à l’écart de la distribution n’en sera que plus vive.

Il ne faudrait pas que ces augmentations de salaire deviennent un solde de tous comptes, laissant l’essentiel de côté.

Ce sont les mêmes motivations qui ont conduit les Américains des régions sinistrées des États-Unis à voter pour Trump que celles qui mettent tant de gilets jaunes dans la rue en France.

Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.

On ne sait pas, pour le moment, l’origine exacte de l’incendie. Mais cela n’a pas empêché Christophe Castaner d’en attribuer illico la responsabilité aux gilets jaunes.

Un premier pas vient d’être franchi lundi puisque le chanteur Francis Lalanne a annoncé avoir trouvé un début de financement pour la constitution d’une liste « gilet jaune » en vue des prochaines échéances électorales.
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