Manifestations

Certes, la liberté doit être défendue par tous les moyens, mais ce n’est pas dans on ne sait quelle autogestion généralisée, somme d’individualismes sourcilleux, que le peuple français trouvera son chemin.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.

On serait intéressé de connaître la fréquence d’emploi de cette arme dans ces coins de France qui doivent faire l’objet de cette fameuse « reconquête républicaine ».
Son nom est déjà revenu dans l’actualité la semaine dernière. À deux reprises, et en relation avec la crise des gilets jaunes. Mais en suscitant un certain malaise.

S’il est des drapeaux que les gilets jaunes refusent de voir dans leurs manifestations, ce sont ceux du camp qui cherche à les récupérer.

Samedi 19 janvier, acte X des gilets jaunes à Paris. Boulevard Voltaire était présent. https://www.youtube.com/watch?v=Kedvlz4_fl8&feature=youtu.be

De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…

Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.

Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…

Pour sauver le mouvement, celui-ci doit frapper plus fort en mettant le Président devant ses contradictions.
Accusé par sa hiérarchie de « déloyauté », le policier Alexandre Langlois passera en conseil de discipline le 14 février prochain. Au micro de Boulevard Voltaire, il

Cette crise des gilets jaunes aura au moins eu le mérite de faire tomber les masques et de démontrer l’incroyable mépris de cette droite de toutes les trahisons pour le peuple de France.

Emmanuel Macron est allé chercher un peu de lumière et de légitimité auprès de deux rares institutions qui en avaient encore, en les instrumentalisant.

J’ai toujours refusé le parallélisme choquant entre la violence illégitime de certains gilets jaunes et la riposte légitime de la police.
Ce vendredi 18 janvier, Emmanuel Macron est à Souillac, dans le Lot, pour une nouvelle étape du grand débat national, à la rencontre des maires

La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».

Les gilets jaunes, n’en déplaise à la bourgeoisie des beaux quartiers, ont de la gueule et du panache.

Fiorina L., 20 ans, a perdu un œil dans une manifestation des gilets jaunes, le 8 décembre dernier, après avoir reçu une grenade lacrymogène lancée

Lors des émeutes de mai 1968, le Président Charles de Gaulle avait eu, lui, la lucidité de remettre son gouvernement en cause en dissolvant l’Assemblée nationale.

Le jeu du gars qui se plaint de violences qu’il a lui même provoquées était bien essayé.

Les gilets jaunes savent-ils exactement ce qu’ils veulent ? Rien n’est moins sûr. En revanche, il est un fait avéré qu’ils savent très bien ce dont ils ne veulent plus.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Voilà que la réponse éclate dans la bouche d’Olivier Py, que Le Monde est allé questionner : « Le lien à l’extrême droite m’empêche d’être solidaire des gilets jaunes. »

Les gilets jaunes, sans qui ce grand débat n’aurait pas lieu, ne sont ni conviés ni cités, puisqu’il s’agit avant tout de les isoler ou d’en piéger quelques-uns, plus naïfs que les autres.

Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.
Au micro de Boulevard Voltaire, le député (LR) du Lot Aurélien Pradié, qui réagit après la publication de la lettre aux Français du président de

Certes, la liberté doit être défendue par tous les moyens, mais ce n’est pas dans on ne sait quelle autogestion généralisée, somme d’individualismes sourcilleux, que le peuple français trouvera son chemin.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.

On serait intéressé de connaître la fréquence d’emploi de cette arme dans ces coins de France qui doivent faire l’objet de cette fameuse « reconquête républicaine ».
Son nom est déjà revenu dans l’actualité la semaine dernière. À deux reprises, et en relation avec la crise des gilets jaunes. Mais en suscitant un certain malaise.

S’il est des drapeaux que les gilets jaunes refusent de voir dans leurs manifestations, ce sont ceux du camp qui cherche à les récupérer.

Samedi 19 janvier, acte X des gilets jaunes à Paris. Boulevard Voltaire était présent. https://www.youtube.com/watch?v=Kedvlz4_fl8&feature=youtu.be

De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…

Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.

Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…

Pour sauver le mouvement, celui-ci doit frapper plus fort en mettant le Président devant ses contradictions.
Accusé par sa hiérarchie de « déloyauté », le policier Alexandre Langlois passera en conseil de discipline le 14 février prochain. Au micro de Boulevard Voltaire, il

Cette crise des gilets jaunes aura au moins eu le mérite de faire tomber les masques et de démontrer l’incroyable mépris de cette droite de toutes les trahisons pour le peuple de France.

Emmanuel Macron est allé chercher un peu de lumière et de légitimité auprès de deux rares institutions qui en avaient encore, en les instrumentalisant.

J’ai toujours refusé le parallélisme choquant entre la violence illégitime de certains gilets jaunes et la riposte légitime de la police.
Ce vendredi 18 janvier, Emmanuel Macron est à Souillac, dans le Lot, pour une nouvelle étape du grand débat national, à la rencontre des maires

La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».

Les gilets jaunes, n’en déplaise à la bourgeoisie des beaux quartiers, ont de la gueule et du panache.

Fiorina L., 20 ans, a perdu un œil dans une manifestation des gilets jaunes, le 8 décembre dernier, après avoir reçu une grenade lacrymogène lancée

Lors des émeutes de mai 1968, le Président Charles de Gaulle avait eu, lui, la lucidité de remettre son gouvernement en cause en dissolvant l’Assemblée nationale.

Le jeu du gars qui se plaint de violences qu’il a lui même provoquées était bien essayé.

Les gilets jaunes savent-ils exactement ce qu’ils veulent ? Rien n’est moins sûr. En revanche, il est un fait avéré qu’ils savent très bien ce dont ils ne veulent plus.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Voilà que la réponse éclate dans la bouche d’Olivier Py, que Le Monde est allé questionner : « Le lien à l’extrême droite m’empêche d’être solidaire des gilets jaunes. »

Les gilets jaunes, sans qui ce grand débat n’aurait pas lieu, ne sont ni conviés ni cités, puisqu’il s’agit avant tout de les isoler ou d’en piéger quelques-uns, plus naïfs que les autres.

Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.
Au micro de Boulevard Voltaire, le député (LR) du Lot Aurélien Pradié, qui réagit après la publication de la lettre aux Français du président de
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