Manifestations

Cette censure n’est que partielle et le gouvernement pourrait réécrire l’article afin de conformer le critère d’intervention de l’administration aux exigences constitutionnelles. Le fera-t-il ?
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 4 avril, l’article 3 de la proposition de loi « anti-casseurs », qui aurait permis aux préfets d’interdire à

Le pouvoir tire à hue et à dia, chacun des ministres ayant sa propre idée qu’il développe dans les médias dans une cacophonie assourdissante.

Boulevard Voltaire s’est rendu à l’Assemblée nationale pour l’ouverture du grand débat des députés. Des gilets jaunes dits « constituants » s’en sont fait déloger
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.

« Les dirigeants de la classe politique qui nous gouverne ont eu peur. Et ils ont eu peur physiquement. Et ça, je crois qu’ils ne le pardonneront jamais. »

Pour cet acte XX, tout le monde peut pousser un « ouf » de soulagement, le temps d’un samedi printanier.

Envoyés en garde à vue par un commissaire aux ordres qui a empêché ce personnel médical d’intervenir pour porter secours à une blessée. Comment appelleriez-vous cette action ?

Macron ne cédera pas, lui qui n’a jamais connu l’échec.

A la veille de l’acte XX, le sociologue Michel Maffesoli, dont le dernier ouvrage – La Force de l’imaginaire – Contre les bien-pensants – revient


Sommes-nous devenus fous ? Qui pourra, après cela, expliquer à ses enfants que le vol est un délit ?

Un tee-shirt « Che Guevara » est-il un signe ostentatoire de rébellion sur la voie publique ? Un début d’émeute ?

La caméra de Boulevard Voltaire s’est rendue sur les Champs-Élysées, interdits à toute manifestation, ce samedi 23 mars, jour du XIXe acte des gilets jaunes.

Mes sept ans d’expérience de commandement d’escadrons de gendarmerie mobile m’autorisent à donner un éclairage technique sur ce qui s’est passé à la vue d’images très claires et parlantes diffusées sur les médias d’information.
Chassez le naturel et il revient au galop.

Ce pouvoir peut-il changer ? Tout porte à croire qu’il en est génétiquement incapable…
Le triomphalisme du duo de la place Beauvau doit donc être relativisé, car si une « bataille » a bien été gagnée, la victoire est loin d’être assurée.

Voilà de longs mois que les discours du pouvoir sonnent faux !

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

De moins en moins d’inscrits sur les listes électorales, de plus en plus de protestataires dans les rues.

Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

Ah ! les sous, le fric, le flouze, le pognon, l’oseille et les fifrelins…

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Cette guerre civile que nous prévoyaient les bien-pensants avec l’élection de Marine Le Pen, Jupiter, par son inaptitude, est en train de l’organiser.

Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.

Cette censure n’est que partielle et le gouvernement pourrait réécrire l’article afin de conformer le critère d’intervention de l’administration aux exigences constitutionnelles. Le fera-t-il ?
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 4 avril, l’article 3 de la proposition de loi « anti-casseurs », qui aurait permis aux préfets d’interdire à

Le pouvoir tire à hue et à dia, chacun des ministres ayant sa propre idée qu’il développe dans les médias dans une cacophonie assourdissante.

Boulevard Voltaire s’est rendu à l’Assemblée nationale pour l’ouverture du grand débat des députés. Des gilets jaunes dits « constituants » s’en sont fait déloger
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.

« Les dirigeants de la classe politique qui nous gouverne ont eu peur. Et ils ont eu peur physiquement. Et ça, je crois qu’ils ne le pardonneront jamais. »

Pour cet acte XX, tout le monde peut pousser un « ouf » de soulagement, le temps d’un samedi printanier.

Envoyés en garde à vue par un commissaire aux ordres qui a empêché ce personnel médical d’intervenir pour porter secours à une blessée. Comment appelleriez-vous cette action ?

Macron ne cédera pas, lui qui n’a jamais connu l’échec.

A la veille de l’acte XX, le sociologue Michel Maffesoli, dont le dernier ouvrage – La Force de l’imaginaire – Contre les bien-pensants – revient


Sommes-nous devenus fous ? Qui pourra, après cela, expliquer à ses enfants que le vol est un délit ?

Un tee-shirt « Che Guevara » est-il un signe ostentatoire de rébellion sur la voie publique ? Un début d’émeute ?

La caméra de Boulevard Voltaire s’est rendue sur les Champs-Élysées, interdits à toute manifestation, ce samedi 23 mars, jour du XIXe acte des gilets jaunes.

Mes sept ans d’expérience de commandement d’escadrons de gendarmerie mobile m’autorisent à donner un éclairage technique sur ce qui s’est passé à la vue d’images très claires et parlantes diffusées sur les médias d’information.
Chassez le naturel et il revient au galop.

Ce pouvoir peut-il changer ? Tout porte à croire qu’il en est génétiquement incapable…
Le triomphalisme du duo de la place Beauvau doit donc être relativisé, car si une « bataille » a bien été gagnée, la victoire est loin d’être assurée.

Voilà de longs mois que les discours du pouvoir sonnent faux !

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

De moins en moins d’inscrits sur les listes électorales, de plus en plus de protestataires dans les rues.

Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

Ah ! les sous, le fric, le flouze, le pognon, l’oseille et les fifrelins…

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Cette guerre civile que nous prévoyaient les bien-pensants avec l’élection de Marine Le Pen, Jupiter, par son inaptitude, est en train de l’organiser.

Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.
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