Justice

Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Nicolás Maduro aura réussi à museler en quelques années une opposition hétérogène sur le plan idéologique, allant de la gauche modérée à la droite dure.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Les électeurs tchèques ont choisi de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
La France, autrefois hérissée de libertés (y compris provinciales), devient une peau de chagrin, façon léopard.
Karim Ouchikh est indigné par cette décision qui vient renforcer encore l’appel d’air migratoire.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
On va bien sûr faire quelques replâtrages. Mais le problème de fond va demeurer.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Jawad Bendaoud, le logeur de Saint-Denis surnommé « Stéphane Plaza » ou encore « Century 21 » par les policiers, comparaît ce mercredi devant la Justice.
Le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables.
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
Eric Zemmour avait été condamné par la cour d’appel pour provocation à la haine et à la discrimination. Il lui était reproché d’avoir utilisé le terme de « déportés » au sujet des musulmans en France.
Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites.
L’idéologie « progressiste » qui domine dans les médias en profite pour glisser sa désinformation. Les prisons seraient surpeuplées parce que la Justice condamnerait trop à la détention.
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Si le but de la Révolution était l’égalité fiscale et l’abolition des privilèges, l’objectif est loin d’être atteint aujourd’hui.
« Les conservateurs sont ceux qui allient rappel des principes et mise en œuvre des premières mesures allant dans leur sens. »
Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition.
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Les Français sont capables d’accepter un reniement de la part d’un responsable politique. Mais à certaines conditions, que ne remplissaient pas la cascade de reniements des présidents précédents.
« Je voudrais que ma mort fît le bonheur des Français et pût écarter les malheurs que je prévois, le peuple livré à l’anarchie, devenu la victime de toutes les factions. »
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.

Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Nicolás Maduro aura réussi à museler en quelques années une opposition hétérogène sur le plan idéologique, allant de la gauche modérée à la droite dure.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Les électeurs tchèques ont choisi de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
La France, autrefois hérissée de libertés (y compris provinciales), devient une peau de chagrin, façon léopard.
Karim Ouchikh est indigné par cette décision qui vient renforcer encore l’appel d’air migratoire.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
On va bien sûr faire quelques replâtrages. Mais le problème de fond va demeurer.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Jawad Bendaoud, le logeur de Saint-Denis surnommé « Stéphane Plaza » ou encore « Century 21 » par les policiers, comparaît ce mercredi devant la Justice.
Le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables.
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
Eric Zemmour avait été condamné par la cour d’appel pour provocation à la haine et à la discrimination. Il lui était reproché d’avoir utilisé le terme de « déportés » au sujet des musulmans en France.
Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites.
L’idéologie « progressiste » qui domine dans les médias en profite pour glisser sa désinformation. Les prisons seraient surpeuplées parce que la Justice condamnerait trop à la détention.
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Si le but de la Révolution était l’égalité fiscale et l’abolition des privilèges, l’objectif est loin d’être atteint aujourd’hui.
« Les conservateurs sont ceux qui allient rappel des principes et mise en œuvre des premières mesures allant dans leur sens. »
Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition.
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Les Français sont capables d’accepter un reniement de la part d’un responsable politique. Mais à certaines conditions, que ne remplissaient pas la cascade de reniements des présidents précédents.
« Je voudrais que ma mort fît le bonheur des Français et pût écarter les malheurs que je prévois, le peuple livré à l’anarchie, devenu la victime de toutes les factions. »
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Popular Posts
