Justice

Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.

« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».

Pour mémoire, le député avait porté des coups de casque de scooter sur le responsable socialiste, s’était excusé, avait démissionné de LREM mais avait conservé son mandat.
Le tribunal de Bobigny a condamné, ce jeudi 7 avril, trois frères dont Théo Luhaka – connu pour avoir été blessé lors d’une violente arrestation, en 2017, en Seine-Saint-Denis – pour escroquerie et pour avoir détourné des subventions de contrats aidés fictifs.

Plus que de réformer l’ENA, c’était bien le fonctionnement de ces administrations qu’il convenait de changer.
« Je pense qu’on était à quelques jours de devoir médiatiser cette affaire. Il fallait laisser passer la tempête électoraliste », a-t-il toutefois reconnu.

Parmi tous les problèmes soulevés par la commission d’enquête, certains illustrent de manière criante ce qu’incarne aujourd’hui la Macronie et posent de réels problèmes de souveraineté et de déontologie.

Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Ainsi, malgré les informations dont ils disposaient les ministères n’ont-ils jamais sérieusement envisagé la piste d’un attentat.
En outre, les sénateurs annoncent saisir la Justice pour « suspicion de faux témoignage » à l’encontre d’un dirigeant du cabinet McKinsey…

Ce n’est pas en se prononçant contre la légitime défense, et donc pour la loi imposée par les criminels, ainsi que l’a récemment fait le Président sortant, que l’on retrouvera une France apaisée.

Chaque campagne électorale est l’occasion, pour certains maires, de chercher à interdire la venue de certains de leurs adversaires politiques, qui, pour masquer les raisons idéologiques, se retranchent souvent derrière des considérations d’ordre public discutables…

Une première victoire judiciaire qui en annonce d’autres : antifas ou pas, on ne s’attaque pas impunément à Boulevard Voltaire !
Julie Grasset, présidente de l’association de victimes du Covid-19 Cœur vide 19, a déposé plainte en son nom propre contre des cabinets de conseil auprès du parquet national financier (PNF) pour « corruption », et « recel de favoritisme »

Celui qui a plaidé en audience la cause du parti Reconquête considère que l’attitude de l’élu ne se justifie par aucun fondement juridique.
L’agressé devient agresseur, et non content d’avoir vécu une situation traumatisante il se trouve embarqué dans les méandres de la Justice, inquiété pour avoir simplement défendu son bien.

Sultan Niazi, qui, le 31 août 2019, a tué Timothy Bonnet, 19 ans, à la station de métro Laurent-Bonnevay de Villeurbanne, ne sera finalement pas
Selon l’avocat, Ahmed Nasser Al-Raisi serait responsable de tortures, ayant, par ses fonctions, « directement supervisé la répression accrue des droits et libertés et de leurs défenseurs aux Émirats arabes unis, et en premier lieu Ahmed Mansoor ».
La loi est l’expression de la volonté générale. Enfin, elle l’était. Le mythe de la loi souveraine tenait car, sur le plan démocratique, l’élection de

Il est plus que jamais nécessaire d’adapter les dispositions légales sur la légitime défense à la réalité que vivent les Français, et ce, afin de donner aux juges la possibilité de prendre en compte l’état émotionnel et psychologique de la victime au moment des faits.
Deux hommes âgés de 20 et 28 ans ont été interpellés. Tous les deux étrangers, ils sont en situation irrégulière et sans domicile fixe.

Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.

L’histoire des réunions en non-mixité n’est pas la seule dérive du syndicat. SUD Éducation 93 a été plusieurs fois épinglé pour ses pratiques contraires à l’Éducation nationale.

Cependant, bien bordée, l’idée est à creuser. On se demande, d’ailleurs, pourquoi on n’y avait pas pensé plus tôt.

Scène de crime bâclée, dessaisissement des services compétents, instruction brouillonne, précipitation dans les interpel

Sept à quatorze ans d’emprisonnement avaient été requis contre ces trois accusés, finalement condamnés à des peines de huit à treize ans. Une peine suffisante ?

Pourtant, la statue n’a jamais posé de problème jusqu’au jour où une certaine association en a décidé autrement.
L’un des avocats d’Eric Zemmour, contacté par BFM TV, a indiqué que le candidat souhaitait faire appel.

Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.

« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».

Pour mémoire, le député avait porté des coups de casque de scooter sur le responsable socialiste, s’était excusé, avait démissionné de LREM mais avait conservé son mandat.
Le tribunal de Bobigny a condamné, ce jeudi 7 avril, trois frères dont Théo Luhaka – connu pour avoir été blessé lors d’une violente arrestation, en 2017, en Seine-Saint-Denis – pour escroquerie et pour avoir détourné des subventions de contrats aidés fictifs.

Plus que de réformer l’ENA, c’était bien le fonctionnement de ces administrations qu’il convenait de changer.
« Je pense qu’on était à quelques jours de devoir médiatiser cette affaire. Il fallait laisser passer la tempête électoraliste », a-t-il toutefois reconnu.

Parmi tous les problèmes soulevés par la commission d’enquête, certains illustrent de manière criante ce qu’incarne aujourd’hui la Macronie et posent de réels problèmes de souveraineté et de déontologie.

Ces trois actions judiciaires soulignent toutes les trois un trait majeur de la Macronie : la légèreté.
Ainsi, malgré les informations dont ils disposaient les ministères n’ont-ils jamais sérieusement envisagé la piste d’un attentat.
En outre, les sénateurs annoncent saisir la Justice pour « suspicion de faux témoignage » à l’encontre d’un dirigeant du cabinet McKinsey…

Ce n’est pas en se prononçant contre la légitime défense, et donc pour la loi imposée par les criminels, ainsi que l’a récemment fait le Président sortant, que l’on retrouvera une France apaisée.

Chaque campagne électorale est l’occasion, pour certains maires, de chercher à interdire la venue de certains de leurs adversaires politiques, qui, pour masquer les raisons idéologiques, se retranchent souvent derrière des considérations d’ordre public discutables…

Une première victoire judiciaire qui en annonce d’autres : antifas ou pas, on ne s’attaque pas impunément à Boulevard Voltaire !
Julie Grasset, présidente de l’association de victimes du Covid-19 Cœur vide 19, a déposé plainte en son nom propre contre des cabinets de conseil auprès du parquet national financier (PNF) pour « corruption », et « recel de favoritisme »

Celui qui a plaidé en audience la cause du parti Reconquête considère que l’attitude de l’élu ne se justifie par aucun fondement juridique.
L’agressé devient agresseur, et non content d’avoir vécu une situation traumatisante il se trouve embarqué dans les méandres de la Justice, inquiété pour avoir simplement défendu son bien.

Sultan Niazi, qui, le 31 août 2019, a tué Timothy Bonnet, 19 ans, à la station de métro Laurent-Bonnevay de Villeurbanne, ne sera finalement pas
Selon l’avocat, Ahmed Nasser Al-Raisi serait responsable de tortures, ayant, par ses fonctions, « directement supervisé la répression accrue des droits et libertés et de leurs défenseurs aux Émirats arabes unis, et en premier lieu Ahmed Mansoor ».
La loi est l’expression de la volonté générale. Enfin, elle l’était. Le mythe de la loi souveraine tenait car, sur le plan démocratique, l’élection de

Il est plus que jamais nécessaire d’adapter les dispositions légales sur la légitime défense à la réalité que vivent les Français, et ce, afin de donner aux juges la possibilité de prendre en compte l’état émotionnel et psychologique de la victime au moment des faits.
Deux hommes âgés de 20 et 28 ans ont été interpellés. Tous les deux étrangers, ils sont en situation irrégulière et sans domicile fixe.

Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.

L’histoire des réunions en non-mixité n’est pas la seule dérive du syndicat. SUD Éducation 93 a été plusieurs fois épinglé pour ses pratiques contraires à l’Éducation nationale.

Cependant, bien bordée, l’idée est à creuser. On se demande, d’ailleurs, pourquoi on n’y avait pas pensé plus tôt.

Scène de crime bâclée, dessaisissement des services compétents, instruction brouillonne, précipitation dans les interpel

Sept à quatorze ans d’emprisonnement avaient été requis contre ces trois accusés, finalement condamnés à des peines de huit à treize ans. Une peine suffisante ?

Pourtant, la statue n’a jamais posé de problème jusqu’au jour où une certaine association en a décidé autrement.
L’un des avocats d’Eric Zemmour, contacté par BFM TV, a indiqué que le candidat souhaitait faire appel.
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