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Appelés à quitter la France « au sifflet », les soldats du 27e bataillon de chasseurs alpins et ceux du 4e chasseurs, deux régiments issus de l’armée de terre, ont été placés « en réserve » à moins d’une centaine de kilomètres de la frontière ukrainienne.

Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.

L’hystérie médiatique actuelle permet difficilement d’analyser objectivement l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Il faut pourtant comprendre pourquoi, et à la surprise quasi générale, Vladimir Poutine a décidé de franchir le Rubicon pour une opération à très hauts risques.

Les jours suivants, les belligérants se munirent de sacs de confettis. La liste des sanctions s’allongeait, toutes plus amusantes les unes que les autres.

Ce vendredi, le journaliste Fabrice Arfi a publié, sur Twitter, les noms de trois oligarques russes qui n’ont pas (du moins pas encore) fait l’objet de sanctions de la part du gouvernement français.

Acculé au tragique, n’est-il pas devenu, quoi qu’on en pense, par ses déclarations irresponsables qui veulent entraîner les Européens et l’OTAN jusqu’à l’irréparable, l’imprévisible pyromane de l’escalade militaire la plus dangereuse qui soit ?

Ni Poutine, ni OTAN, Ukraine autonome… Europe indépendante !

Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.

L’OTAN était « en état de mort cérébrale », selon certain, Poutine l’a subitement ranimée.

Dix jours après que la Russie a envahi l’Ukraine, le conflit semble redoubler d’intensité. Samedi 5 mars matin, les combats font rage autour de Kiev
C’est donc un choix stratégique qu’a fait la France en conservant un dialogue avec la Russie, moyen incontournable d’aboutir à une désescalade des tensions.

Des stratégies de désinformation sont utilisées par les belligérants du conflit Russie-Ukraine. Un exemple ? Non, la Légion étrangère n’autorise pas les ressortissants ukrainiens à combattre aux côtés des forces armées ukrainiennes.

Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.

Une solidarité bienvenue pour tous et en particulier pour l’Union européenne qui, encore la veille, ne cessait de crucifier et d’humilier ce mauvais élève de l’Europe : la Pologne.

Hélas, la réalité revient parfois avec violence. On apprend ainsi que l’exil des Ukrainien.nes n’est pas si idyllique qu’on voudrait le croire. Imaginez-vous, en effet, que se posent aux frontières des questions de genre.

Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.

Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
Puisse le conflit ukrainien au moins révéler à l’Europe sa fragilité énergétique et contribuer à redéfinir une indispensable stratégie commune.

Depuis deux jours, Melilla fait face à un afflux de migrants, crochet à la main…

Nous avons suivi le début du chemin de ces volontaires français. Un voyage entre têtes brûlées éprises d’idéal et les soldats perdus.

« Vous n’êtes pas obligés de porter ces masques. S’il vous plaît, enlevez-les. Honnêtement, ça ne fait rien du tout. Donc si vous voulez le porter, très bien, mais c’est ridicule. »

Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.

Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.

Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.

Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?

Depuis la semaine dernière, les chefs des Églises orthodoxes se sont donc exprimés, tous appelant à la prière pour la paix, mais chacun défendant leur unité nationale.

Le général Vincent Desportes a résumé le rôle de l’OTAN. Cela dure moins de trois minutes au montage, c’est imparable et cela provoque, sur le plateau, un profond malaise.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.

Appelés à quitter la France « au sifflet », les soldats du 27e bataillon de chasseurs alpins et ceux du 4e chasseurs, deux régiments issus de l’armée de terre, ont été placés « en réserve » à moins d’une centaine de kilomètres de la frontière ukrainienne.

Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.

L’hystérie médiatique actuelle permet difficilement d’analyser objectivement l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Il faut pourtant comprendre pourquoi, et à la surprise quasi générale, Vladimir Poutine a décidé de franchir le Rubicon pour une opération à très hauts risques.

Les jours suivants, les belligérants se munirent de sacs de confettis. La liste des sanctions s’allongeait, toutes plus amusantes les unes que les autres.

Ce vendredi, le journaliste Fabrice Arfi a publié, sur Twitter, les noms de trois oligarques russes qui n’ont pas (du moins pas encore) fait l’objet de sanctions de la part du gouvernement français.

Acculé au tragique, n’est-il pas devenu, quoi qu’on en pense, par ses déclarations irresponsables qui veulent entraîner les Européens et l’OTAN jusqu’à l’irréparable, l’imprévisible pyromane de l’escalade militaire la plus dangereuse qui soit ?

Ni Poutine, ni OTAN, Ukraine autonome… Europe indépendante !

Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.

L’OTAN était « en état de mort cérébrale », selon certain, Poutine l’a subitement ranimée.

Dix jours après que la Russie a envahi l’Ukraine, le conflit semble redoubler d’intensité. Samedi 5 mars matin, les combats font rage autour de Kiev
C’est donc un choix stratégique qu’a fait la France en conservant un dialogue avec la Russie, moyen incontournable d’aboutir à une désescalade des tensions.

Des stratégies de désinformation sont utilisées par les belligérants du conflit Russie-Ukraine. Un exemple ? Non, la Légion étrangère n’autorise pas les ressortissants ukrainiens à combattre aux côtés des forces armées ukrainiennes.

Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.

Une solidarité bienvenue pour tous et en particulier pour l’Union européenne qui, encore la veille, ne cessait de crucifier et d’humilier ce mauvais élève de l’Europe : la Pologne.

Hélas, la réalité revient parfois avec violence. On apprend ainsi que l’exil des Ukrainien.nes n’est pas si idyllique qu’on voudrait le croire. Imaginez-vous, en effet, que se posent aux frontières des questions de genre.

Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.

Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
Puisse le conflit ukrainien au moins révéler à l’Europe sa fragilité énergétique et contribuer à redéfinir une indispensable stratégie commune.

Depuis deux jours, Melilla fait face à un afflux de migrants, crochet à la main…

Nous avons suivi le début du chemin de ces volontaires français. Un voyage entre têtes brûlées éprises d’idéal et les soldats perdus.

« Vous n’êtes pas obligés de porter ces masques. S’il vous plaît, enlevez-les. Honnêtement, ça ne fait rien du tout. Donc si vous voulez le porter, très bien, mais c’est ridicule. »

Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.

Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.

Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.

Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?

Depuis la semaine dernière, les chefs des Églises orthodoxes se sont donc exprimés, tous appelant à la prière pour la paix, mais chacun défendant leur unité nationale.

Le général Vincent Desportes a résumé le rôle de l’OTAN. Cela dure moins de trois minutes au montage, c’est imparable et cela provoque, sur le plateau, un profond malaise.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
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