Immigration et diversité

Le postulat de base est le suivant : la gentillesse commande d’accueillir tous les migrants. Mais la raison interdit de le faire. Et comme le gouvernement veut, bien sûr, être gentil et raisonnable, c’est inextricable.

L’imam a une manière de se défendre qui peut laisser perplexe : « J’ai juste cité un verset du Coran. Ce ne sont pas mes mots, mais ceux du prophète. »

La concurrence est rude, chez nos présidentiables de gauche et du centre, pour séduire l’électorat catho.

Le problème est que dans une société, tout ne saurait se ramener à de seuls chiffres.

Le gouvernement britannique s’apprête à durcir les conditions d’octroi d’asile afin de décourager les passeurs.
L’Europe doit-elle financer les murs de barbelés anti-migrants ?

Mais enfin, comment peut-on tolérer de la part de nos dirigeants qu’ils laissent ouvertes nos frontières et laissent ceux qui sont arrivés sur les côtes de la Manche tenter l’aventure improbable d’une traversée à hauts risques ?

Au fond, c’est quoi, 700.000 clandestins, sur une population de 67 millions d’habitants ?

Finalement, on y vit au quotidien la prédiction que l’ancien maire de Lyon, Gérard Collomb, a formulée en quittant la place Beauvau et qu’il n’a pas empêchée à la Guill’ lorsqu’il régnait sur Lyon : des gens qui vivaient côte à côte vivent désormais face à face.
De fait, les chiffres sont éloquents : de 6 murs en 1989, nous sommes passés à près de 63 murs physiques aujourd’hui, dit ce rapport.

On préconise des mesures, non pour freiner l’immigration, mais pour la gérer le mieux possible.

On a vu, sur les réseaux sociaux, circuler des images où les migrants africains et orientaux, à coups de bâton et de pierre, attaquent les soldats polonais et tentent de percer la clôture provisoire de barbelés aux cris de Allah Akbar.

Les « experts » médiatiques, sociologues, psychologues, spécialistes de l’extrême droite et grands manipulateurs ont de la chance : les médias n’ont pas de mémoire.

Les Britanniques peuvent compter sur Mme Patel et sur le Premier ministre Boris Johnson.
Selon la Cour de Justice de l’UE, la Hongrie a enfreint le droit européen en criminalisant l’aide apportée aux demandeurs d’asile, et en leur interdisant l’accès au territoire.

La Biélorussie est déjà sous sanctions et l’Europe, au lieu d’ouvrir le dialogue avec Loukachenko, menace de les renforcer.

Racheté par un philanthrope argentin, l’Open Arms Uno a été utilisé sur des plates-formes pétrolières en mer du Nord. Il va désormais errer au large de la Libye pour aller à la pêche aux migrants, exilés ou manipulés.

Des pays comme la Pologne, qui s’opposent à l’immigration massive, sont combattus durement par l’Union européenne.

La Commission européenne a donc explicitement évoqué, le lundi 8 novembre, la possibilité d’établir des sanctions contre ces compagnies.
« Nous savions tout cela. Mais nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper. »

« Avant même qu’on ne parle de sanctions contre l’immigration ou quoi que ce soit, je suis pour le fait qu’il faille limiter les transferts de fonds partant de France pour l’Afrique », conclut-elle. Voilà qui a de quoi décoiffer ! Booba n’a pas aimé.

Les discriminations existent, certes, mais par qui sont-elles exercées ? Contre qui ? Pourquoi ?

Depuis plusieurs mois, des migrants, aidés par le gouvernement biélorusse, tentent de franchir les frontières de la Pologne, qui mobilise son armée pour tenter de

Sur un plan purement économique et au-delà des OQTF, la France aurait tout intérêt, dans le même esprit que « l’exit tax », à ne pas laisser fuir cet argent vers d’autres cieux.

Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.

Jeudi 4 novembre, à Calais, un migrant a perdu la vie, percuté par un train alors qu’il traversait la voie ferrée. Pour Marc de Fleurian,
Notre civilisation européenne, gréco-latine, pagano-chrétienne, ne meurt pas seulement sous les coups de ses envahisseurs. Elle meurt aussi de la dépression suicidaire de ses élites.

Les départements et régions d’outre-mer sont cités comme s’il s’agissait de pays. Pourtant, les Antilles sont devenues françaises avant Nice ou la Corse.

Le postulat de base est le suivant : la gentillesse commande d’accueillir tous les migrants. Mais la raison interdit de le faire. Et comme le gouvernement veut, bien sûr, être gentil et raisonnable, c’est inextricable.

L’imam a une manière de se défendre qui peut laisser perplexe : « J’ai juste cité un verset du Coran. Ce ne sont pas mes mots, mais ceux du prophète. »

La concurrence est rude, chez nos présidentiables de gauche et du centre, pour séduire l’électorat catho.

Le problème est que dans une société, tout ne saurait se ramener à de seuls chiffres.

Le gouvernement britannique s’apprête à durcir les conditions d’octroi d’asile afin de décourager les passeurs.
L’Europe doit-elle financer les murs de barbelés anti-migrants ?

Mais enfin, comment peut-on tolérer de la part de nos dirigeants qu’ils laissent ouvertes nos frontières et laissent ceux qui sont arrivés sur les côtes de la Manche tenter l’aventure improbable d’une traversée à hauts risques ?

Au fond, c’est quoi, 700.000 clandestins, sur une population de 67 millions d’habitants ?

Finalement, on y vit au quotidien la prédiction que l’ancien maire de Lyon, Gérard Collomb, a formulée en quittant la place Beauvau et qu’il n’a pas empêchée à la Guill’ lorsqu’il régnait sur Lyon : des gens qui vivaient côte à côte vivent désormais face à face.
De fait, les chiffres sont éloquents : de 6 murs en 1989, nous sommes passés à près de 63 murs physiques aujourd’hui, dit ce rapport.

On préconise des mesures, non pour freiner l’immigration, mais pour la gérer le mieux possible.

On a vu, sur les réseaux sociaux, circuler des images où les migrants africains et orientaux, à coups de bâton et de pierre, attaquent les soldats polonais et tentent de percer la clôture provisoire de barbelés aux cris de Allah Akbar.

Les « experts » médiatiques, sociologues, psychologues, spécialistes de l’extrême droite et grands manipulateurs ont de la chance : les médias n’ont pas de mémoire.

Les Britanniques peuvent compter sur Mme Patel et sur le Premier ministre Boris Johnson.
Selon la Cour de Justice de l’UE, la Hongrie a enfreint le droit européen en criminalisant l’aide apportée aux demandeurs d’asile, et en leur interdisant l’accès au territoire.

La Biélorussie est déjà sous sanctions et l’Europe, au lieu d’ouvrir le dialogue avec Loukachenko, menace de les renforcer.

Racheté par un philanthrope argentin, l’Open Arms Uno a été utilisé sur des plates-formes pétrolières en mer du Nord. Il va désormais errer au large de la Libye pour aller à la pêche aux migrants, exilés ou manipulés.

Des pays comme la Pologne, qui s’opposent à l’immigration massive, sont combattus durement par l’Union européenne.

La Commission européenne a donc explicitement évoqué, le lundi 8 novembre, la possibilité d’établir des sanctions contre ces compagnies.
« Nous savions tout cela. Mais nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper. »

« Avant même qu’on ne parle de sanctions contre l’immigration ou quoi que ce soit, je suis pour le fait qu’il faille limiter les transferts de fonds partant de France pour l’Afrique », conclut-elle. Voilà qui a de quoi décoiffer ! Booba n’a pas aimé.

Les discriminations existent, certes, mais par qui sont-elles exercées ? Contre qui ? Pourquoi ?

Depuis plusieurs mois, des migrants, aidés par le gouvernement biélorusse, tentent de franchir les frontières de la Pologne, qui mobilise son armée pour tenter de

Sur un plan purement économique et au-delà des OQTF, la France aurait tout intérêt, dans le même esprit que « l’exit tax », à ne pas laisser fuir cet argent vers d’autres cieux.

Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.

Jeudi 4 novembre, à Calais, un migrant a perdu la vie, percuté par un train alors qu’il traversait la voie ferrée. Pour Marc de Fleurian,
Notre civilisation européenne, gréco-latine, pagano-chrétienne, ne meurt pas seulement sous les coups de ses envahisseurs. Elle meurt aussi de la dépression suicidaire de ses élites.

Les départements et régions d’outre-mer sont cités comme s’il s’agissait de pays. Pourtant, les Antilles sont devenues françaises avant Nice ou la Corse.
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