Immigration et diversité

« Je ne permettrai pas de porter atteinte aux institutions de l’État ou de changer la composition démographique », martèle le président tunisien.

Emmanuel Macron a multiplié les efforts pour tenter de réchauffer les relations entre les deux pays.
Les structures du département étaient débordées et ne pouvaient plus les accueillir.

À l’heure où les discussions sur le projet de loi Immigration battent leur plein, cette nomination d’un homme aux partis pris idéologiques tranchés a de quoi inquiéter.

C’est nouveau : l’installation dans les campagnes françaises de centres d’accueil pour demandeurs d’asile suscite désormais des contre-manifestations… favorables !

Tenus à l’écart du projet, les élus, pourtant premiers responsables de la commune, se seraient alors retrouvés contraints de grapiller des informations dans la presse locale et nationale.

Si l’on comprend bien Madame Hédon, ne sachant de quoi demain sera fait, il est urgent de ne rien faire aujourd’hui.

Le 15 septembre 2022, Emmanuel Macron avait dévoilé sa grande idée en s’adressant aux préfets : mieux répartir les migrants sur notre territoire, dans nos

Après, on comprend donc mal ce fétichisme de la nationalité venant de gens estimant que cette dernière n’a finalement que peu de valeur.

Le président tunisien Kais Saied prévient que « des mesures urgentes doivent être prises pour faire face à l’arrivée en Tunisie d’un grand nombre de migrants clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne »…

Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.

Aux côtés de Saint-Brevin, Corlay et Beyssenac, les habitants des communes rurales visées par l’implantation d’un centre de migrants réfléchissent à se réunir dans une coordination nationale.

Mylène Levet, de « Sauvons Beyssenac », ne décolère pas. « Personne n’a été concerté avant le projet. »

La saynète « racisme », un incontournable, n’avait pas encore été jouée dans cette nouvelle saison théâtrale antifasciste, comme l’appelait Jospin.

Plus que de la solidarité, ces associatifs encouragent donc l’immigration illégale.

Elle a tout intérêt à présenter le projet de loi Darmanin comme répressif, alors qu’il est plutôt laxiste en organisant l’entrée légale de nouveaux immigrés et en facilitant la régularisation des clandestins plutôt que de se donner les moyens de les expulser.

Marion Lalisse ? Un engagement subjectif revendiqué lorsqu’elle tweetait, après son vote au second tour de l’élection présidentielle : « Ma voix est une déclaration de ma contribution au rejet du racisme »…

SOS Méditerranée elle-même nous indique sur son site que… « 15 % des personnes secourues par SOS Méditerranée depuis 2016 sont des femmes ». 15 % : on est donc bien loin de la parité.

À chaque fois, dans ces différents affaires, des Français, dans un excès de générosité, ont ouvert leurs portes à des migrants… ils en ont payé le prix du sang.

S’en prendre aux passeurs, c’est en quelque sorte contourner l’essentiel du problème et puis, peut-être un peu, se donner bonne conscience.

Courage aux Basques et aux policiers. Il leur en faudra, car ils doivent se sentir terriblement seuls.

Au milieu de cette situation plutôt inquiétante, il reste des raisons d’espérer.

Beyssenac, Callac, même combat : on prend les mêmes et on recommence.

Il faudrait construire des murs autour de l’Europe, mais sans le dire, lutter contre l’immigration clandestine, mais sans le faire, se dire Européens, mais tout en ayant honte de l’être et, surtout, honte de persister à le demeurer.

La petite ville de Haute-Garonne ne comprend pas pourquoi elle doit “accueillir la moitié des migrants du département” et compte sur la mobilisation des habitants pour que le projet soit abandonné, comme à Callac.

Depuis des semaines, l’opinion commence à se soulever sur l’accueil des réfugiés en période de crise du logement.

Le 23 janvier, la première famille de migrants prenait ses quartiers dans cette commune d’à peine plus de 900 âmes.

Huit pays membres de l’Union européenne viennent de signer une déclaration commune par laquelle ils demandent à la Commission de prendre des mesures concrètes pour renforcer le contrôle des frontières de l’Union.

« Je ne permettrai pas de porter atteinte aux institutions de l’État ou de changer la composition démographique », martèle le président tunisien.

Emmanuel Macron a multiplié les efforts pour tenter de réchauffer les relations entre les deux pays.
Les structures du département étaient débordées et ne pouvaient plus les accueillir.

À l’heure où les discussions sur le projet de loi Immigration battent leur plein, cette nomination d’un homme aux partis pris idéologiques tranchés a de quoi inquiéter.

C’est nouveau : l’installation dans les campagnes françaises de centres d’accueil pour demandeurs d’asile suscite désormais des contre-manifestations… favorables !

Tenus à l’écart du projet, les élus, pourtant premiers responsables de la commune, se seraient alors retrouvés contraints de grapiller des informations dans la presse locale et nationale.

Si l’on comprend bien Madame Hédon, ne sachant de quoi demain sera fait, il est urgent de ne rien faire aujourd’hui.

Le 15 septembre 2022, Emmanuel Macron avait dévoilé sa grande idée en s’adressant aux préfets : mieux répartir les migrants sur notre territoire, dans nos

Après, on comprend donc mal ce fétichisme de la nationalité venant de gens estimant que cette dernière n’a finalement que peu de valeur.

Le président tunisien Kais Saied prévient que « des mesures urgentes doivent être prises pour faire face à l’arrivée en Tunisie d’un grand nombre de migrants clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne »…

Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.

Aux côtés de Saint-Brevin, Corlay et Beyssenac, les habitants des communes rurales visées par l’implantation d’un centre de migrants réfléchissent à se réunir dans une coordination nationale.

Mylène Levet, de « Sauvons Beyssenac », ne décolère pas. « Personne n’a été concerté avant le projet. »

La saynète « racisme », un incontournable, n’avait pas encore été jouée dans cette nouvelle saison théâtrale antifasciste, comme l’appelait Jospin.

Plus que de la solidarité, ces associatifs encouragent donc l’immigration illégale.

Elle a tout intérêt à présenter le projet de loi Darmanin comme répressif, alors qu’il est plutôt laxiste en organisant l’entrée légale de nouveaux immigrés et en facilitant la régularisation des clandestins plutôt que de se donner les moyens de les expulser.

Marion Lalisse ? Un engagement subjectif revendiqué lorsqu’elle tweetait, après son vote au second tour de l’élection présidentielle : « Ma voix est une déclaration de ma contribution au rejet du racisme »…

SOS Méditerranée elle-même nous indique sur son site que… « 15 % des personnes secourues par SOS Méditerranée depuis 2016 sont des femmes ». 15 % : on est donc bien loin de la parité.

À chaque fois, dans ces différents affaires, des Français, dans un excès de générosité, ont ouvert leurs portes à des migrants… ils en ont payé le prix du sang.

S’en prendre aux passeurs, c’est en quelque sorte contourner l’essentiel du problème et puis, peut-être un peu, se donner bonne conscience.

Courage aux Basques et aux policiers. Il leur en faudra, car ils doivent se sentir terriblement seuls.

Au milieu de cette situation plutôt inquiétante, il reste des raisons d’espérer.

Beyssenac, Callac, même combat : on prend les mêmes et on recommence.

Il faudrait construire des murs autour de l’Europe, mais sans le dire, lutter contre l’immigration clandestine, mais sans le faire, se dire Européens, mais tout en ayant honte de l’être et, surtout, honte de persister à le demeurer.

La petite ville de Haute-Garonne ne comprend pas pourquoi elle doit “accueillir la moitié des migrants du département” et compte sur la mobilisation des habitants pour que le projet soit abandonné, comme à Callac.

Depuis des semaines, l’opinion commence à se soulever sur l’accueil des réfugiés en période de crise du logement.

Le 23 janvier, la première famille de migrants prenait ses quartiers dans cette commune d’à peine plus de 900 âmes.

Huit pays membres de l’Union européenne viennent de signer une déclaration commune par laquelle ils demandent à la Commission de prendre des mesures concrètes pour renforcer le contrôle des frontières de l’Union.
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