Histoire
Charles de Meyer dénonce l’exploitation politique de la simple vérification de l’identité d’une électrice portant un foulard lors du second tour.

Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.

Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
On a le droit, pour lui comme pour l’ensemble de la vie publique, de ne pas avoir peur d’une table rase.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.

Il y a soixante-sept ans, la déclaration Schuman marqua le premier jour de la construction européenne.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.

On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.

De cette incroyable et insupportable manipulation subie par la France depuis dix semaines, on pourra tirer nombre d’enseignements sociologiques.
Continuons ce suicide collectif et ensuite pleurons !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».
Monsieur Baroin va mener la campagne pour Les Républicains ! Et là, on ne comprend plus.

Et le Président s’est exprimé, lâchant quelques phrases pour l’Histoire. Là encore, le verbatim suffira.

La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Est-il possible, par la voie démocratique, de sortir la France du marasme dans lequel elle s’enfonce depuis quarante ans ?
C’est vraiment la guerre sur tous les fronts… Il reste plus de 560 jours à tenir avant l’armistice.

Victor Lanoux n’a jamais fait rêver, mais tout un chacun pouvait aisément se retrouver en lui.

N’en déplaise à quelques belles âmes, il faut voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle.
À Rennes, Nantes, Troyes, Poitiers ou maintenant Lyon on osa se prononcer expressément contre Marine.
Le débat fut révélateur de la dysharmonie d’une société française divisée suivant un clivage opposant la bonne conscience à la culpabilisation.
Emmanuel Macron est porteur d’un projet mondialiste, qui remet en cause le concept même de nation.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…

Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.
Ne cédez pas au découragement : les qualités d’un débatteur ne sont pas celles d’un chef d’État !

Avant même le procès, je sentais qu’on voulait en faire à tout prix un procès politique.

Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
Charles de Meyer dénonce l’exploitation politique de la simple vérification de l’identité d’une électrice portant un foulard lors du second tour.

Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.

Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
On a le droit, pour lui comme pour l’ensemble de la vie publique, de ne pas avoir peur d’une table rase.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.

Il y a soixante-sept ans, la déclaration Schuman marqua le premier jour de la construction européenne.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.

On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.

De cette incroyable et insupportable manipulation subie par la France depuis dix semaines, on pourra tirer nombre d’enseignements sociologiques.
Continuons ce suicide collectif et ensuite pleurons !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».
Monsieur Baroin va mener la campagne pour Les Républicains ! Et là, on ne comprend plus.

Et le Président s’est exprimé, lâchant quelques phrases pour l’Histoire. Là encore, le verbatim suffira.

La politique, et l’Histoire, sont d’abord affaire de passion.
Est-il possible, par la voie démocratique, de sortir la France du marasme dans lequel elle s’enfonce depuis quarante ans ?
C’est vraiment la guerre sur tous les fronts… Il reste plus de 560 jours à tenir avant l’armistice.

Victor Lanoux n’a jamais fait rêver, mais tout un chacun pouvait aisément se retrouver en lui.

N’en déplaise à quelques belles âmes, il faut voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle.
À Rennes, Nantes, Troyes, Poitiers ou maintenant Lyon on osa se prononcer expressément contre Marine.
Le débat fut révélateur de la dysharmonie d’une société française divisée suivant un clivage opposant la bonne conscience à la culpabilisation.
Emmanuel Macron est porteur d’un projet mondialiste, qui remet en cause le concept même de nation.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…

Il serait sot de trop espérer. Il serait tout aussi idiot de désespérer.
Ne cédez pas au découragement : les qualités d’un débatteur ne sont pas celles d’un chef d’État !

Avant même le procès, je sentais qu’on voulait en faire à tout prix un procès politique.

Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
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